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Molière

Publié le 17/01/2022

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Jean-Baptiste Poquelin, dit Né en : 1622 Mort en : 1673 Famille : Il est né à Paris dans une famille de la bourgeoisie aisée. Son père est tapissier ordinaire du roi, charge honorifique très recherchée. Études : Son père le met au collège de Clermont (actuel lycée Louis-le-Grand), chez les jésuites. Il y étudie notamment les auteurs antiques comme Plaute et Térence. Il fait ensuite sa licence en droit à Orléans. Pendant ses études, il est en relation avec les milieux libertins et se lie avec le prince de Conti. Les débuts En 1643, le jeune Poquelin a une liaison avec la comédienne Madeleine Béjart. Il décide alors de devenir comédien et prend le nom de Molière. Avec sa maîtresse, il fonde la compagnie de l'« Illustre Théâtre «. Mais la concurrence entre les théâtres est rude. En 1645, la troupe fait faillite. La province Pendant près de douze ans, la troupe de Molière joue en province. En association avec une autre troupe, celle de Du Fresne, la compagnie de Molière fait des tournées dans le midi de la France : Agen, Toulouse, Albi, Narbonne, Pézenas... La troupe rayonne ensuite autour de Lyon, protégée par le prince de Conti. Molière rencontre des troupes italiennes et va acquérir une nouvelle pratique théâtrale. En 1658, il s'installe à Rouen et prépare sa rentrée à Paris. Paris En 1658, il rentre à Paris. Très vite, sa troupe rencontre le succès et reçoit l'autorisation de jouer dans la salle du Petit-Bourbon, en alternance avec les Italiens. Sa troupe prend le nom de « troupe de Monsieur «, protégée par le frère du roi. Les succès se multiplient pour Molière, comme acteur et comme auteur. Le succès En 1661, la troupe s'installe au théâtre du Palais-Royal. Parallèlement, Molière crée des spectacles pour des occasions particulières, sur commande. Ainsi, le surintendant Fouquet, voulant donner des fêtes somptueuses dans son

château de Vaux, fait appel à lui. Durant toute sa carrière, le roi lui-même lui adressera des commandes pour les fêtes de Versailles ou de Saint-Germain, et notamment des comédies-ballets. Les cabales En 1662, il épouse Armande Béjart, sœur de Madeleine et de vingt ans sa cadette. Dès L'École des femmes, Molière se fait des ennemis, notamment les milieux dévots. Heureusement, il conserve l'appui du roi qui l'encourage à riposter contre la cabale. En 1664, le roi accepte d'être le parrain de son fils. La cabale se fait plus vive en 1664 avec Tartuffe. Le roi ne peut pas empêcher l'interdiction de la pièce que Molière fera jouer après remaniements en 1669 seulement. La lutte de Molière contre l'hypocrisie se prolonge avec Don Juan. La même année, le roi en fait le chef de la « troupe du Roi «. Il lui commande tous les ballets et les spectacles de ses fêtes. Il collabore avec Lulli pour la musique, notamment pour Le Bourgeois gentilhomme. La mort en scène C'est lors d'une représentation du Malade imaginaire sur la scène du Palais-Royal que Molière meurt en 1673. À la demande d'Armande, Louis XIV doit lui-même intervenir pour que Molière ait une sépulture chrétienne après un enterrement de nuit, puisque, à cette époque, les comédiens sont excommuniés. Œuvres Molière a écrit plus de 30 pièces, dont voici les principales. 1653 : L'Étourdi. 1659 : Les Précieuses ridicules. 1661 : Les Fâcheux. 1662 : L'École des femmes. 1664-1669 : Tartuffe. 1665 : Don Juan. 1666 : Le Misanthrope. Le Médecin malgré lui. 1668 : Georges Dandin. L'Avare. 1670 : Le Bourgeois gentilhomme. 1671 : Les Fourberies de Scapin. 1672 : Les Femmes savantes. 1673 : Le Malade imaginaire.  

Directeur de troupe, metteur en scène, acteur, auteur de pièces comiques, Molière consacra toute sa vie au théâtre. Molière et la musique Dans l'avant-propos de L'Amour médecin, une de ses comédies-ballets, Molière insiste sur l'importance qu'il accorde à la musique. C'est pourquoi on peut s'étonner que rares aient été les compagnies de théâtre qui se soient essayées à la représentation des comédies-ballets avec la musique prévue à l'époque. Il faut dire aussi que les partitions ont été parfois oubliées ou défigurées. L'avant-propos des Fâcheux est un véritable manifeste de la comédie-ballet : spectacle de cour, mêlant comédie et musique, elle est comme une sorte d'étape avant la création de l'opéra-comique. Les pièces de Molière ont bénéficié de sa rencontre avec Lulli, même si la rivalité entre eux ne pouvait déboucher que sur une brouille. C'est ensuite Marc-Antoine Charpentier, plus connu pour sa musique religieuse, qui assura la partie musicale des pièces de Molière et du Malade imaginaire notamment.   

 

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