Des hommes et des dieux. la violence est-elle toujours perdante ?
Publié le 15/02/2011
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En voyant tous ces nombreux cas où la violence est dominante, on peut effectivement finir par penser qu’utiliser la non-violence mène toujours à la défaite. Mais non, tout cela dépend face au degré de violence plus ou moins grand selon le contexte, la situation dans laquelle elle s’est formée et développée devant lequel la non-violence se trouve. Par exemple, ici, on se trouve dans un contexte historique difficile (conflits entre l’Algérie et la France) qui remonte à très loin et la violence a donc eu le temps de s’agrandir et de se renforcer.
Dans des situations moins compliquées, on arrive à instaurer un dialogue entre les deux camps et donc à trouver une solution au problème sans violence (ici, le dialogue n’a jamais été fait et aurait du être fait il y a bien longtemps, donc c’est très dur).
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- Un savant invité à préciser l'influence que lui semblait pouvoir exercer sur le bonheur de l'humanité le progrès scientifique, formulait la réponse suivante : La science est aveugle elle est capable de servir tous les maîtres et de répondre à tous les appels, à ceux de la violence aussi bien qu'à ceux de la charité et de la justice; c'est une esclave sans âme, se prêtant à toutes les fins, travaillant indifféremment au malheur et au bonheur des hommes. Expliquez, commentez et au besoin