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Le cinéma portugais, entre renouveau et crépuscule

Publié le 05/12/2018

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1998 aura été Vannée du cinéma portugais : d’un côté, Inquiétude, de Manoel de Oliveira, offre un bilan kaléidoscopique de son œuvre tout entière, en multipliant les mises en abyme et la confusion des registres...

 

De l’autre, on voit se perpétuer un cinéma aussi novateur qu’enraciné dans les archaïsmes du pays : qu’il s’agisse de la chronique provinciale de Paulo Rocha (le Fleuve d’or) ou des mises en scène plus contemporaines d’une jeunesse à la dérive (Ossos, de Pedro Costa, Os Mutantes, de Teresa Villaverde), il semble que ce cinéma ne puisse se renouveler qu’en affrontant la mort de toute une culture.

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