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« il y a des héros en bien comme en mal » - La Rochefoucauld

Publié le 17/01/2022

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Après avoir étudié la maxime suivante de La Rochefoucauld : « Il y a des héros en mal comme en bien «, j’en conclus qu’en effet il y a deux types de héros. Les héros positifs et les héros négatifs, mais également les deux. J’en ai aussi conclus que chacun de ces types de héros dans un roman était tout autant distrayant et plaisant l’un autant que l’autre. Les notions de Héros et anti Héros ont désormais laissé place a des personnages sois intrigants, sois mystérieux, auquel on peut malgré tout s’identifier sur le plan psychologique. On peut penser aux romans de Eric Emmanuel Schmitt, comme « Lorsque j’étais une œuvre d’art «... 

« Enfin, il y a le héros tantôt positif, tantôt négatif.

Ce qui compte le plus dans le texte c’est la qualité littéraire.

Il y a en effet des roman très bien écris comme Œdipe Roi.

Ce roman est l’illustration parfaite du héros tantôt positif, tantôt négatif. Œdipe est un héros pour le peuple, il ne fait que servir le peuple, l’aider comme il peut.

Mais voulant échapper à une prophétie et croyant bien faire, il tue ses parents accidentellement sans savoir que c’était eux.

Ce roman, nous montre donc bien les deux facettes du héros.

L’histoire est plaisante, captivante et intéressante.

Grâce à ce genre de héros, nous avons un roman complet.

Il y a de l’action, tout en dénonçant les travers humains, mais aussi en mettant en valeur les qualités humaines. Après avoir étudié la maxime suivante de La Rochefoucauld : « Il y a des héros en mal comme en bien », j’en conclus qu’en effet il y a deux types de héros.

Les héros positifs et les héros négatifs, mais également les deux.

J’en ai aussi conclus que chacun de ces types de héros dans un roman était tout autant distrayant et plaisant l’un autant que l’autre.

Les notions de Héros et anti Héros ont désormais laissé place a des personnages sois intrigants, sois mystérieux, auquel on peut malgré tout s’identifier sur le plan psychologique.

On peut penser aux romans de Eric Emmanuel Schmitt, comme « Lorsque j’étais une œuvre d’art » ou le personnage principal est exposé dans un musé, comme un simple objet.

Durant tout le roman, on s’identifie au personnage et à sa façon de penser plutôt qu’a sa façon d’agir, ce qui le rends ni héros, ni anti héros.. »

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