« La culture ne mérite d’être qualifiée de culture que si elle est transmissible » Guy SORMAN
Publié le 17/01/2022
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Guy SORMAN, un homme actif pour le libéralisme et la défense des droits de l’homme nous marquera pour sa volonté de « faire bien « et pour une de ses citations, que nous retiendrons particulièrement : « La culture ne mérite d’être qualifiée de culture que si elle est transmissible « ce thème qu’est la culture, nous le définissons en sociologie comme ce qui est commun à un groupe d'individus et comme ce qui le soude. Ainsi, « Dans son sens le plus large, la culture peut aujourd'hui être considérée comme l'ensemble des traits distinctifs, spirituels et matériels, intellectuels et affectifs, qui caractérisent une société ou un groupe social. Elle englobe, outre les arts et les lettres, les modes de vie, les droits fondamentaux de l'être humain, les systèmes de valeurs, les traditions et les croyances. « (Institution de l’UNESCO). La culture entendue en tant que « contenu «, mais aussi, en tant que vecteur d’apprentissage évolue dans le temps par et dans les formes des échanges. Il se constitue en manières distinctes d'être, de penser, d'agir et de communiquer.
«
Nous sommes avant tout marqués par notre passé qu’il ne faut pas oublier.
A cela joignons
aux souvenirs, le présent et le futur que nous concevons de notre culture.
L’intégralité de ce
que nous définissons de notre culture sera énoncée
C – Passé, état actuel et avenir
Le passé qu’à connue notre culture n’est pas forcément le plus brillant de tous mais il
appelle à réfléchir.
Les faits qui se sont déroulés en ce temps ne doivent être oubliés.
Il n’y a
pas que le moment présent qui compte, notre Histoire c’est avant tout ce que nos ancêtres
ont été et ont accomplis.
Exemple : Autrefois la société Polynésienne a connue des guerres, engendrés par des
colonisateurs qui voulaient imposer leur culture, par la suite les polynésiens se sont alliés,
ont migré.
Cela nous amène à faire le point actuel, voir l’influence qu’une culture moins avancé qu’une
autre peut subir.
Après constat la vision de l’avenir de notre culture s’éclairci, ou donne à
une suivre plus au moins une voie.
Allons-nous comme pour ce qu’a connu la Polynésie,
imposer notre culture ?
A travers cette analyse, nous nous enrichissons nous-mêmes de ce qu’on a pu trouver et
réaliser.
II) OR TRANSMETTRE LA CULTURE N’EST PAS SANS LIMITES
A – L’accessibilité aux évènements culturels
Nous nous rendons compte que pour faire profiter au mieux à une population de son
histoire, l’apprentissage par le biais d’évènements quelques qu’ils soient sont parfois plus
attractifs et plus saisissant que sous une autre forme.
La population s’y prête plus facilement
mais encore est il que derrière tout cela un financement réel est en jeu.
Prenons le cas pour
des familles de revenu moyen par mois, elles placeront en premier plan ce qui leur est
indispensable pour vivre, telle que la nourriture, les soins dont ils ont besoin, la culture
quant à elle passera en second plan car leur moyen ne leur permet pas de dépenser de
l’argent pour ce genre de chose.
Cela pourrait leur faire plaisir mais ils pensent avant tout à
vivre et nourrir leur famille.
Les moyens financiers d’une famille peut-être une contrainte majeure à l’encontre de la
culture.
Ces évènement se font plutôt sous la forme visuelle et orale mais quelle autre forme
de transmission peut il y avoir, la transmission est elle « totale » ?
B – La forme de la transmission
Lorsqu’il s’agit de contes et de légendes la transmission est possible sous deux formes : orale
et écrite.
La première façon est dite : de génération en génération.
Des personnes
spécifiques nous témoignent ce qu’ils savent, mais la difficulté à cette forme est qu’avec le
temps, l’évolution que connait la société, la signification des mots qui peuvent varier, la
version initiale connait des transformations : suivant les vecteurs précédents la langue
maternelle dans laquelle l’histoire est raconté devient ambigüe et nous nous retrouvons
avec une tout autre histoire, ce qui change tout : la culture d’avant n’est pas perçu de la
même façon par chaque génération, c’est un problème puisqu’une culture devrait être le
résultat de transmission identique quelque soit la période.
La mise en forme de l’écrit est
plus sur, car nous avons des traces.
Bien qu’il puisse avoir différente version des instant qu’à.
»
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