Le confort de vie généralisé comporte en lui-même une sorte de désespérance, en tout cas d’insatisfaction.
Publié le 31/12/2018
Extrait du document
Georges POMPIDOU
1974
Le confort de vie généralisé comporte en lui-même une sorte de désespérance, en tout cas d’insatisfaction.
Ou encore : « L’ennui naît de la sécurité elle-même », « L’ennui, fruit de la morne incuriosité ». « Ce qui manque, c’est le divertissement, qui chasse l’ennui, et l’espérance, qui donne un but. »
Liens utiles
- François Mauriac nous livre cette réflexion, à propos du roman : « Nous devons donner raison à ceux qui prétendent que le roman est le premier des arts. Il l'est, en effet, par son objet qui est l'homme. Mais nous ne pouvons donner tort à ceux qui en parlent avec dédain, puisque, dans presque tous les cas, il détruit son objet en falsifiant la vie. » Si tout roman comporte en effet une part de vérité et une part d'imagination, quel est l'aspect qui vous touche le plus ? Peut-on condamn
- François MAURIAC nous livre cette réflexion, à propos du roman : « Nous devons donner raison à ceux qui prétendent que le roman est le premier des arts. Il l'est, en effet par son objet qui est l'homme. Mais nous ne pouvons donner tort à ceux qui en parlent avec dédain, puisque, dans presque tous les cas, il détruit son objet en falsifiant la vie. » Si tout roman comporte en effet une part de vérité et une part d'imagination, quel est l'aspect qui vous touche le plus? Peut-on condamne
- François MAURIAC nous livre cette réflexion, à propos du roman : « Nous devons donner raison à ceux qui prétendent que le roman est le premier des arts. Il l'est, en effet, par son objet qui est l'homme. Mais nous ne pouvons donner tort à ceux qui en parlent avec dédain, puisque, dans presque tous les cas, il détruit son objet en falsifiant la vie. » Si tout roman comporte en effet une part de vérité et une part d'imagination, quel est l'aspect qui vous touche le plus? Peut-on condamne
- L’art constitue-t-il un bon moyen pour échapper à un environnement physique et social trop oppressant, et doit-il en ce cas être qualifié d’illusoire ? Ou bien permet-il au contraire d’accéder à une réalité plus riche, que Rimbaud et Proust ont nommée « la vraie vie » ?
- « Il me semble que nous soyons parvenus à cette époque prédite par Descartes où les hommes em-ploieraient la force et les actions du feu, de l'eau, de l'air, des astres et de tous les autres corps, en même façon que les métiers d'artisan et se rendraient ainsi, maitres de la nature. Mais, par un renversement étrange, cette domination collective se transforme en asservissement dès que l'on descend à l'échelle de l'individu et en un asservissement assez proche de celui que comporte la vi