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culture

Publié le 27/01/2013

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culture
Résumé du second chapitre de Gaudium et Spes L'essor de la culture Dans le second chapitre de la constitution pastorale du concile Vatican II l'Eglise dans le monde de ce temps (Gaudium et Spes), les pères conciliaires traitent le terme « Culture «.Dans ce chapitre, ils exposent le terme qui est L'essor de la culture en quatre parties dont l'introduction et trois sections. Après une lecture faite sur ce chapitre, on va essayer de faire son résumé. Dans l'introduction du chapitre, les pères conciliaires nous dirent que toute fois qu'il est question de la vie humaine, nature et culture sont étroitement liées. Ils définissent la culture. Au sens large le mot culture désigne tout ce que l'homme affine, développe et les multiples capacités de son esprit et de son corps. Ils résultent que la culture humaine comporte nécessairement un aspect historique, sociologique et même éthologique. En ce sens on parlera de la pluralité des cultures. Dans la première section, ils parlent de « la situation de la culture dans le monde actuel «. Ils développent ce sujet en trois points et chaque point à un titre. Le premier point parle des « nouveaux style de vie «, sur ce point les pères conciliaires nous dirent que les conditions de la vie de l'homme moderne au point de vue sociale et culturelle ont été profondément transforme si bien que l'on peut parler d'un nouvel âge dans l'histoire humaine. La culture moderne peut donc se caractériser ainsi : les sciences dites « exactes «développent au maximum le sens critique. En même temps, l'acroissement des échanges entre les différents notions et les groupes sociaux. Dans ...
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« utilisé les ressources des diverses cultures.

La Bonne Nouvelle du Christ rénove constamment la vie et la culture de l’homme déchu; elle combat et écarte les erreurs et les maux qui proviennent de la séduction permanente du péché.

Mais en même temps, l’Église, envoyée à tous les peuples de tous les temps et de tous les lieux, n’est liée d’une manière exclusive et indissoluble à aucune race ou nation.

Dans le troisième point les pères conciliaires parlent de la réalisation « l’harmonie des différentes valeurs au sein des cultures » en nous disant que l’Église rappelle à tous que la culture doit être subordonnée au développement intégral de la personne, La culture, en effet, puisqu’elle découle immédiatement du caractère raisonnable et social de l’homme, l’Église affirme l’autonomie légitime de la culture et particulièrement celle des sciences.

Voilà pourquoi il faut éviter à tout prix que la culture, détournée de sa propre fin, soit asservie aux pouvoirs politiques et économiques. Dans la troisième section, les pères conciliaires parlent de « quelques devoirs plus urgents des chrétiens par rapport à la culture » , ils traitent ce sujet en trois points.

Dans le premier point, ils développent « La reconnaissance du droit de tous à la culture et sa réalisation pratique ».

Il faut donc procurer à chacun une quantité suffisante de biens culturels, surtout de ceux qui constituent la culture dite « de base », En conséquence, il faut tendre à donner à ceux qui en sont capables la possibilité de poursuivre des études supérieures.

Il faut en outre tout faire pour que chacun prenne conscience et du droit et du devoir qu’il a de se cultiver, non moins que de l’obligation qui lui incombe d’aider les autres à le faire.

Dans le second point, ils parlent d’une formation à une culture intégrale en disant que : De nos jours, plus que par le passé, la difficulté est grande d’opérer la synthèse entre les différentes disciplines et branches du savoir.

La famille est au premier chef comme la mère nourricière de cette éducation C'est-à-dire la formation à une culture intégrale.

Pour cette même éducation, les sociétés actuelles disposent, en particulier grâce à la diffusion croissante des livres et aux nouveaux moyens de communication culturelle et sociale, Que les chrétiens collaborent donc aux manifestations et aux actions culturelles collectives qui sont de leur temps, qu’ils les humanisent et les imprègnent d’esprit chrétien.

Cependant tous ces avantages ne sauraient parvenir à réaliser l’éducation culturelle intégrale de l’homme si, en même temps, on néglige de s’interroger sur la signification profonde de la culture et de la science pour la personne humaine. Dans la fin de ce chapitre les pères du saint concile, mettent l’accent sur : « l’harmonie entre culture et christianisme ».

En disant, malgré la contribution de l’Église au progrès de la culture qu’il n’est pas toujours facile d’harmoniser ces deux.

Ces difficultés ne portent pas nécessairement préjudice à la vitalité de la foi, et même elles peuvent inciter à une plus exacte et plus profonde intelligence de celle-ci.ils nous dirent qu’a leur manière aussi, la littérature et les arts ont une grande importance pour la vie de l’Église.

Autre chose est le dépôt de la foi autre chose la façon d’exprimer ces vérités, sans toutefois porter atteinte a leur signification essentielle.

Ils dirent que ceux s’appliquent aux sciences théologiques dans les séminaires et les universités aimeront collaborer avec les spécialistes des autres disciplines.. »

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