Discours en guise de réponse à un maire qui vient de prononcer une allocution de félicitations à l'occasion de noces d'or
Publié le 22/02/2012
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Monsieur le maire,
Les paroles que vous venez de prononcer nous touchent beaucoup et il est difficile de trouver les mots qui conviennent pour traduire notre émotion.
Le chemin que nous avons parcouru, côte à côte, mon épouse et moi, nous le trouvons naturel. Il nous a toujours paru comme allant de soi puisque nous nous sommes mariés pour le meilleur comme pour le pire à une époque où les couples avaient bien d'autres choses à faire et à penser qu'à divorcer !
Liens utiles
- «Apostrophe» «Prénom», Je vous adresse mes félicitations les plus sincères à l'occasion de vos noces de chêne et souhaite que les années à venir vous apportent encore plus de santé et de bonheur.
- On vient d'ouvrir dans votre ville, dans votre région, une nouvelle salle de spectacles destinée à promouvoir le théâtre sous toutes ses formes, principalement auprès des jeunes. Vous êtes chargé de prononcer le discours d'inauguration de cette salle devant un public d'élus locaux, de responsables politiques, de jeunes, d'habitant venus en curieux. Vous y faites l'éloge du théâtre, en développant l'idée que le théâtre « à de nos jours une importance immense ».
- de Sa Majesté, qu'il ne prenait conseil de personne, et ne faisait jamais rien à sa guise : ce qui résultait de ce qu'il procédait à l'inverse de ce qu'on vient de dire.
- « Et, faisant particulièrement réflexion, en chaque matière, sur ce qui la pouvait rendre suspecte et nous donner occasion de nous méprendre, je déracinais cependant de mon esprit toutes les erreurs qui s'y étaient pu glisser auparavant. » Descartes, Discours de la méthode, 1637. Commentez.
- Commentez ce jugement de Renan sur le XIXe siècle et notamment sur la poésie romantique : « On mêlait trop la poésie à la réalité. La poésie est faite pour nous dépayser, pour nous consoler de la vie par le rêve, non pour déteindre sur la vie. » (Feuilles détachées. Réponse au discours de Réception de Jules Claretie, 1889.)