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Henry Fielding par Pierre-François Caillé Henry Fielding qui " des deux mains allait se chauffer au feu de la vie ", naquit le 22 avril 1707 à Sharpham Park, dans le Comté de Somerset.

Publié le 05/04/2015

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Henry Fielding par Pierre-François Caillé Henry Fielding qui " des deux mains allait se chauffer au feu de la vie ", naquit le 22 avril 1707 à Sharpham Park, dans le Comté de Somerset. On n'en est pas absolument sûr. Certains de ses biographes prétendent qu'il vit le jour à Dublin où son père, le major Edmond Fielding, petit-fils du comte de Desmond, tenait alors garnison. Qu'importe. Ce qui compte davantage, c'est que, trois ans plus tard, son père fut mis en congé et se retira à la campagne où le jeune Henry prit le goût de la nature, la haine relative des grandes villes et commença d'observer un milieu qu'il dépeignit plus tard dans ses romans. Son père ne lui fournit pas l'exemple le plus strict des vertus familiales. Non point qu'on puisse lui reprocher de s'être remarié avec une papiste lorsque sa femme fut morte, mais il était homme à perdre 780 livres au pharaon en une journée, à confier l'éducation de son fils à un clergyman et à supporter, sinon à entretenir à son foyer un climat de querelles constantes. En 1719, peu de temps après la mort de sa mère, Fielding entra au collège d'Eton. Il y eut pour condisciples Pitt et Lyttleton. Ses études, tout imprégnées de classicisme, furent brillantes. Sa vingtième année fut marquée par une catastrophe financière. Son père confia sa fortune à un banquier véreux et, bien entendu, fut ruiné. " Je n'ai plus qu'à me faire écrivain ou cocher de louage ", déclara Fielding. La première solution fut la meilleure sans d'ailleurs jamais lui apporter la tranquillité à laquelle il pouvait aspirer. Il prit donc la plume. Le genre dramatique était à cette époque le plus lucratif. Il ...
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