Fêtes et coutumes de la communauté copte
Publié le 09/01/2015
Extrait du document
«
de pèlerinage et, dans les an
nées soixante, on
voyait en
core
des paysannes se rendre
au Musée égyptien
du Caire
afin de toucher les objets de
leurs doigts ...
Quand
tout se passe bien et
que la grossesse arrive à son
terme, la jeune femme se
rend pour l'accouchement
dans la maison paternelle.
Elle
met son enfant au monde as
sise sur un siège spécial ou
accroupie.
Le placenta (el
walad et-tâni: « l'autre »ou
le « second enfant ») est do -
té de vertus fertilisantes : on
l'enterre au seuil de la mai
son ou on
le jette dans le Nil
afin de garantir une seconde
naissance.
La jeune accou
chée
doit rester alitée une se
maine, aux bons soins de ses
parentes.
On ne lui donne
pendant deux jours que du
bouillon de poule et des in
fusions d'anis
et de carvi.
Au troisième
jour,
elle est pur
gée
à l'huile de ricin, lavée
avec une décoction de
feuilles d'oranges amères,
d'armoise, de myrrhe
et de
graines d'acacia.
Afin qu'elle
reprenne des forces et que
son
lait soit abondant, elle
est ensuite soumise à un régi
me reconstituant :
tou tes les
heures, on lui administre du.
»
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