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Le Romantisme

Publié le 28/05/2012

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Le romantisme est un mouvement culturel et artistique développé dans toute l’Europe au début du XIXe si�cle. C’est une révolution culturelle en réaction contre l’idéal classique et le rationalisme français. Ce sont les préromantiques, comme Chateaubriand avec René écrit en 1802 et Rousseau en abordant le th�me de l’amour malheureux dans la Nouvelle Héloise,  qui ont ouvert la voie à ce mouvement. Mais, le romantisme est aussi un mouvement combatif sur le plan littéraire avec Victor Hugo prêt à s’engager sur des questions politique et sociales.

L’âme du romantique est pessimiste quant à leur avenir, inqui�te et ses contradictions mêmes sont le signe d’une quête. Nous pouvons voir tout d’abord une quête du « moi ï¿½ qui est l’individualisme, toujours présent chez Rousseau, Lamartine et Hugo. C’est alors « le mal du si�cle ï¿½ ou plus particuli�rement chez Baudelaire le « spleen ï¿½. C’est ensuite une quête de liberté qui fait opposition à la société obsédé par l’argent et le pouvoir c’est ainsi qu’au court  de sa premi�re représentation de pi�ce, en 1830, qu’ Hugo donne lieu à la mémorable bataille d’Hernani : la polémique autour du drame romantique contre les défendeurs du théâtre classique. Privée de liberté, l’âme romantique part en quête d’un ailleurs, pour consoler ses peines ou pour retrouver l’image de la femme aimée, il se réfugie dans la nature et le paradis artificiel. Mais il est rare que cette quête se fixe et trouve définitivement sa vocation.

« Anthologie « L’horloge » J’ai choisi ce poème car d’emblée le titre m’a inspiré , l’ayant étudié en seconde je savais le thème principal.

Dans ce texte l’auteur nous raconte la peur qu ’il éprouve face au temps, la vieillesse e t la mort.

Tout d’abord « le doigt » v2 montre la direction que prend la menace, n ous voyons Charles Baudelaire accroché à l’arbre qui fuit l’horloge, pour lui la mort « j’ai pompé ta vie » vers 12, personnifiée par son chuchotement « Souviens -toi » vers 10.

En effet au pied de cet arbre y est préparée sa tombe.

« La géante » J’ai choisi ce poème car il m’a fait penser à Adam et Eve, certes -il n’y avait pas de petites maisons mais le fait que la géante ait son corps fleuri m’a interpelé pour le choix de l’illustration.

Dans ce poème, l'auteur peint le portrait d'une femme immense qu i se confond avec un village.

Baudelaire, fidèle à son esthétique particulière du beau, montre que la laideur , qualifiée de « monstrueux » v2, peut être source de beauté.. »

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