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Article 17 du Code de déontologie des médecins : commentaire

Publié le 17/01/2022

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« Tout médecin est habilité à pratiquer tous les actes de diagnostic, de prévention et de traitement. Mais un médecin ne doit pas, sauf circonstances exceptionnelles, entreprendre ou poursuivre des soins, ni formuler des prescriptions, dans des domaines qui dépassent sa compétence ou ses possibilités. «

Article 37:

« Le médecin doit formuler ses prescriptions avec toute la clarté nécessaire. Il doit veiller à la bonne compréhension de celles-ci par le malade et son entourage. Il doit s'efforcer d'obtenir la bonne exécution du traitement. «

« - ses distinctions honori- fiques reconnues par la Republique francaise.

Liberte therapeu- tique : La liberte de pres- crire, dite liberte thera- peutique, est un principe fondamental de la mede- cine liberale.

Toutefois, si le medecin est libre de ses prescriptions - qui seront celles qu'il estime le plus appropriees en la circons- tance le Code de deon- tologie des medecins pose des limiter a cette liberte.

Le medecin doit, dans toute la mesure compatible avec l'efficaate des soins et sans negliger son devoir d'assistance, limiterses prescriptions et ses actes a ce qui est necessaire ; cela pour eviter les ordon- nances excessives souvent demandees par les patients. Est expressement inter- dite ('acceptation par le medecin dune commis- sion pour un acte medical quelconque, et notam- ment pour examens, pres- criptions de medicaments et d'appareils, envoi dans une station de cure ou une maison de sante.

Par LA LOI ET VOUS Article 17 du Code de deontologie des medecin : « Tout medecin est habilite a pratiquer tous les actes de diagnostic, de prevention et de traitement.

Mais un medecin ne doit pas, sauf circonstances exceptionnelles, entre- prendre ou poursuivre des soins, ni formu- ler des prescriptions, dans des domaines qui depassent sa competence ou ses possi- bilites.

» Article 37 :ailleurs, la prudence im- pose au medecin - de ne pas prescrire des traitements, investigations ou interventions qui ris- quent de faire courir au malade un risque injustifie ; - de ne pas s'aventurer dans des domaines qui de- passent sa competence ou ses possibilites ; - bien evidemment, de ne pas recourir au charlata- nisme. Enfin, la Securite sociale oblige le medecin a pres- crire, a efficacite compa- rable, au moindre coat. « Le medecin doit formuler ses prescrip- tions avec toute Ia clarte necessaire.

II doit veiller A la bonne comprehension de celles- ci par le malade et son entourage.

Il doit s'efforcer d'obtenir Ia bonne execution du traitement.

». »

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