DEFINITIONS – L1 S1 DROIT

« Les pouvoirs publics se doivent de les internaliser en intégrant l’avantage ou le coût externe (social) aux fonction s de demande ou d’offre exprimées sur le marché. INVESTISSEMENT Acquisition par un agent économique de capital fixe (biens de production notamment participant à plusieurs cycles de production). LIBERALISME Doctrine postulant que la satisfaction collective sera maximale par la recherche de l’intérêt personnel de chacun.

Ainsi tous les individus doivent pouvo ir agir librement sur le marché c'est -à-dire avec une intervention limitée de l’Etat. MARCHE Lieu de rencontre de l’offre et de la demande de biens, de s ervices, de capitaux et de travail. Dans la théorie libérale, il peut conduire à l’équilibre général c’est à dire à l’allocation optimale des ressources. MACROECONOMIE – MI CROECONOMIE La macroéconomie est une branche de l’économie qui postule que les grand s équilibres nationaux doivent être étudiés en tant que tels sans être obligés de passer par l’étude des comportements individuels. La microéconomie part des comportements des agents individuels pour expliquer les lois économiques globales.

Elle est basée sur les comportements rationnels des consommateurs et des producteurs. MODE DE FINANCEMENT Sur le plan macroéconomique, il s’agit du système permettant la rencontre entre les agents à capacité de financement et à besoin de financement. Deux modes : intermé dié ou indirect (30 Glorieuses) ET désintermédié ou direct (après les années 80) PRODUCTIVITE C’est le rapport entre le volume de production et le volume de moyens (en termes physiques ou horaires). PRODUCTIVITE GLOBALE DES FACTEURS Production rapportée à la quantité totale de travail et de capital utilisée. La hausse de la PGF indique la hausse de la production qui n’est pas expliquée par une utilisation croissante du facteur capital et du facteur travail.

Elle résulte d’une meilleure efficacité de l’uti lisation des moyens de production c'est -à-dire de l’incorporation du progrès technique dans l’organisation productive.

Elle explique en moyenne la moitié de la croissance. RATIONALITE Capacité des agents économiques à mettre en œuvre des calculs pour atte indre des objectifs en fonctions des moyens dont ils disposent.

Pour cela ils opèrent à des calculs coûts -avantages en se basant sur les valeurs qu’ils attribuent aux échanges de biens et de services. Les agents pour choisir évaluent les conséquences de le urs actes notamment en calculant le coût d’opportunité (gain maximal que l’on aurait pu obtenir d’un emploi alternatif). Elle est limitée pour différentes raisons. RENDEMENTS D’ECHELLE Notion qui étudie l’évolution du niveau de production lorsque la quanti té des facteurs varie dans les mêmes proportions.

Ils peuvent être croissants, constants ou décroissants.

REVENUS Somme disponible pour la consommation ou l’épargne sans diminution du patrimoine.

Ils sont dits PRIMAIRES s’ils sont la contrepartie de la p articipation à la production et SECONDAIRES s’ils sont perçus sans contrepartie de la participation à la production. TITRISATION Il s’agit d’une technique financière qui intègre une créance dans un titre.

Celui -ci désigne donc une créance et est échangeabl e sur un marché.. »