Analyse recueil de nouvelles de Jean-François Léveillé

Biographie

 

 

François Léveillée a tout d’abord commencé sa carrière artistique en tant qu’auteur-compositeur-interprète, mais dès ce moment, ces chansons laissaient présager qu’il avait un avenir quelle conque en humour…Comme de fait, il y a un peu plus de 20 ans, M. Léveillée bifurqua peu à peu vers l’écriture de monologues humoristique dans lesquelles il fait découvrir plusieurs personnages plus absurde les uns que les autres. Suite à ce changement de domaine, François présentera 4 spectacles en solo qui seront toujours présentés au moins 200 fois, ans compter ses nombreuses participations a des galas juste pour rire ainsi qu’à d’autres évènements dans le domaine de l’humour québécois. François Léveillée, qui se présente comme étant un artiste multidisciplinaire, a trouvé l’inspiration pour écrire son premier recueil de nouvelles suite à son second spectacle : Welcome to l’an 2000.  Finalement, la carrière de M. Léveillée se poursuit toujours dans le succès autant comme humoriste, metteur en scène et scripteur que comme animateur, porte-parole et écrivain.

 

 

 

Résumés des nouvelles

 

 

Chercher L’idole

 

Un homme se rend avec sa fille pour achetez des nouvelles chaussures et il se fait critiquer par sa fille ainsi le vendeur qui lui disent que de ne pas avoir d’idole n’est pas normal pour quelqu’un de nos jours et que toute personne n’ayant pas d’idole n’a donc pas de personnalité. Finalement, après y avoir pensé, il dit à sa fille qu’il va commencer par essayer d’être fier de lui avant de se trouver un idole…

 

 

Dieux aime les pauvres ! La Preuve c’est qu’il en a de plus en plus !

 

Voyant que de moins en moins de personne sont de bons catholiques pratiquant et qu’en moyenne,  les pauvres sont beaucoup plus exemplaire comme pratiquant, le pape envoie une lettre à dieu pour que celui-ci règle ce problème. Dieu créa alors les deux premiers êtres humains venant au monde avec le gène de la misère et la pauvreté. Il fit en sorte que leurs chemins se croisent et qu’ils aient beaucoup d’enfant  pour que le nombre de croyant augmente. Cependant, ces deux êtres humains créèrent un phénomène de société révolutionnaire : l'appauvrissement volontaire, que seul le Vatican n'a pas voulu adopter.

 

Le Directeur d’école

 

Un directeur d’école invite les parents d’élève à la fameuse rencontre de parent de début d’année scolaire. Après de longues minutes de retard, il a arrive complètement saoul devant les parents et dit ce qu’il pense vraiment de leurs enfants. La nouvelles fait référence aux discours pré-faits de directeurs qui sont toujours semblables d’une année à l’autre et qui ne font que dire aux parents ce qu’ils veulent entendre.

 

L’amour, c’est le fumier qui fait pousser les roses…

 

Tous les dimanches matins, le personnage, un anciens militant pour l’union nationale,  rendait visite à sa femme enterrée depuis 1986 au cimetière. Ce jour la , il alla voir le prêtre pour lui demander s’il était possible de divorcer avec sa défunte femme. Malgré la réaction du prêtre, Théophile alla se recueillir sur la tombe de sa femme pour lui annoncer le divorce , puis alla voir un de ces anciens compagnon de guerre et finalement aller voir Fabienne Larose , la femme qu’il convoitait, qui était éaglement enterrer au cimetière…On constate que ce monsieur est un peu tordu, d’entretenir de telle relation avec des morts.

 

Je pense, donc je suis ; tu penses donc tu suis ?

 

George, un ex-reporter des iles-de-la-madeleine maintenant établi à Montréal, se  fait réprimander par son patron puisqu’il a apparemment fait honte à la station de télédiffusion à laquelle il travaille. En plein lorsqu’il était en direct, il a plongé sous une automobile dans un site d'accident sous-laquelle il y avait une flaque d'essence, pour ramasser le mégot de cigarette que son collègue avait jeté. Suite aux réprimandes de son patron,  le caméraman, Gingras, lui annonce que c'était un coup manigancé par Bournival. George décide qu'il en a assez de tout cela et c'est ce qui le pousse à se venger au surchargeant la régit de scoops et en manifestant contre la propagation de potins accrocheurs dans les médias pour provoquer son patron pour ensuite déclarer aux autorités et à un journaliste qu’il était en plein délit de fuite avec une voiture volée.  Par la suite, s'ennuyant de la tranquillité des Îles-de-la-Madeleine, George décida d'y retourner pour retrouver son ancien emploi.

 

 

 

 

Le serment d’hypocrite

 

 

Une vielle dame dont le mari est dans le coma proteste contre le système de santé et l’incompétence des docteurs, car ils n’ont pas suent régler le problème de son mari. Elle va jusqu’à mentir pour avoir un rendez-vous dans une clinique et parle avec un homme dans la salle d’attente : elle affirme que dieu ne peu plus venir cherchez son mari et lui partage son point de vue sur le système. Ensuite, elle quitta l’hôpital pour aller à  l’église. Finalement on retrouve la vieille dame dans un salon funéraire ou elle discute avec l’homme a qui elle parlait a la clinique et dit que ce sont les docteurs qui l’on débrancher et non dieu qui alla le cherchez exactement comme elle le pensait.

 

Requiem pour un baby-boomer

 

 

Un homme dans la cinquantaine vient juste de ce divorcé de ca femme, car elle a découvert qu’il faisait compétition avec ses collègues de travail concernant son chiffre de vente en fonction du nombre de fois qu’il faisait l’amour par semaine. On le voit ensuite  en train d’essayer de trouver des gens avec qui sortir puisqu’il les avait un peu laissé de coter en raison de son travail et de sa femme. Malheureusement il ne trouve personne et a la scène finale il décide d’appeler une dernière personne a laquelle il n’avait pas pensé : sa fille.

 

L’homme qui ne jugeait personne

 

Un homme parle avec lui-même qu’il appelle narcisse et il dit au début qu’il ne juge personne, mais tout le long de l’histoire il juge les gens et nous partage son opinion sure différentes personnes. À la fin on se rend compte que c’est un juge et quand sa secrétaire lui dit qu’il va juger un immigrant il s’exclame : un autre cas facile : Coupable (il payera pour la société)

 

Mal à Tête

 

Un homme est en consultation chez un psychologue, puisqu’il a lavé sa voiture en plein hiver nue avec de la vodka durant cette consultation, il raconte à quoi ressemblent ses journée et comment pour chaque petit problème qu’il rencontre, il consomme des drogues ou des médicaments différents.

 

 

 

Dieu soit loué, meublé ou pas meublé

 

Dans un monde où les religions perdent leur influence, soi la société d’aujourd’hui, deux prêtre ce font une lutte pour avoir le plus de paroissiens. Aimé D’amour le plus faible des deux est en bonne voix pour perdre son église ainsi que la compétition quand un jeune nommé Ralph vient lui parlé qu’il veut acheter l’église pour en faire un commerce de soutanes  et donc la mère du jeune se met de la partie pour redonner à l’église son éclat d’autrefois  pour soutenir la cause de son fils qui est de ce servir de l’église et donc a la scène finale l’église est pleine a craquer, car elle est transformé en marché au puce par Béatrice la mère de Ralph. Le jeune homme nous est finalement présenté comme étant le fils de l’autre prêtre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Liens entre les nouvelles et leurs titres

 

 

Chercher L’idole

 

Le lien entre cette nouvelle et son titre est assez claire et explicite. En effet, tout au long de la nouvelle, il est question d’une conversation entre un père, sa fille et un jeune vendeur de soulier. Les deux plus jeunes, soi la fille et le vendeur, sont d’accord pour dire que toute personne devrait avoir un idole. Cependant, lorsque la fille demande à son père qui est le tien, il n’en a aucune idée et lors du retour vers leurs maison le père se cherche une idole, recherche qui ne s’avère pas fructueuse.

 

 

Dieu aime les pauvres ! La preuve, c’est qu’il y en a de plus en plus !

 

Cette nouvelle abord en partie le fait que l’importance de l’Église dans la société d’aujourd’hui diminue dramatiquement. Étant donné qu’en moyenne, ce sont les pauvres qui sont les meilleurs pratiquants, Dieu les aiment biens et en ce sens, il décide de créer deux être qui portent le gène de la pauvreté, ce qui donna naissance à une nouvelle espèce d’humain : les pauvres, qui se reproduisent et génère une vague de changement dans la société. Le titre fait également référence avec l’augmentation de la pauvreté dans le monde et donne un raison, peu probable, à ce phénomène.

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Je pense donc je suis ; tu penses donc tu suis

 

Le lien est plus ou moins évident à faire entre cette nouvelle et son titre. En effet, le titre fait part d’une citation qu’on soupçonne fait parti de la mentalité des supérieurs du personnage principal qui méprise leur employé. Celui-ci, tanner de suivre, décide finalement de se venger.

 

 

Le serment d’hypocrite

 

            Le titre de cette nouvelle fait référence au serment que doivent prêter les médecins lorsqu’ils commencent à exercer leur profession : soi de faire tout en leur possible pour sauver la vie d’un patient. Dans le contexte de la nouvelle, un médecin affirme qu’il s’agit d’une erreur médicale et qu’il a tout fait ce qu’il a pu alors que l’auteur nous laisse présager qu’il s’agissait d’une erreur de la part du médecin qui agit en tant qu’hyporcrite. Donc on a transformer le nom, du serment des médecin par :  ».Le serment d’hyprocrite».     

L’homme qui ne jugeait personne

 

Dans cette nouvelle, le titre utilise l’ironie, puisque le personnage principal, Robert Duran, juge plusieurs personnes tout au long de l’histoire, alors qu’il prétend ne pas le faire. Finalement, on découvre qu’il est en fait un juge et que de juger les gens est son métier.

 

 

Mal à la tête

 

            En ce qui concerne cette nouvelle, le lien à faire avec son titre est assez évident. En effet, le titre ridiculise en quelques sortes la société de surconsommation de médicaments. Le personnage principal se plaint à sa psychologue de maux de tête persistants, alors que c’est lui qui les crée avec tous les stimulants et les relaxant qu’il ingère pour alléger le moindre petit effort ou problème qui se présente à lui dans sa journée

 

 

Liens entre le titre du recueil

et les nouvelles

 

 

Dans le titre, Le village représente le Québec ainsi que sa société d’aujourd’hui. Tandis que : des valeurs perdues, fait référence a tous les comportements qui sont dénoncés dans chacune des nouvelles et ceux-ci sont liés à des valeurs qui, au fil des années, on été remplacé par d’autre, dans ce cas, pour le pire. C’est pour sa que l’on considère ces valeurs comme perdus puisque d’autres valeurs tel que l’argent ou la consommation les ont remplacé. Ce changement s’est produit en raison d’évènements ou d’influences internationales quelconques qui ont modifié partiellement la mentalité des Québécois.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Analyse de 2 nouvelles

 

Le Directeur d’école

 

Dans la nouvelle : Le Directeur d’école, j’ai constaté que M. Léveillée tente de dénoncer plusieurs aspects de la société. Évidement, si je prend uniquement le premier degré : on dénonce les discours des directeurs d’institutions scolaires adressés aux parents qui sont, d’année en année et ce partout, constamment pareils et ils contiennent uniquement ce que les parents sont venu pour entendre : soi que l’école tient la réussite de leurs enfants à cœur et qu’ils font tout ce qu’ils sont capable pour leur offrir un environnement pour s’épanouir, se développer et s’éduquer correctement pour que les parents ne soient pas inquiets. Je me permets d’affirmer ceci puisque mes parents sont directeur et chaque année je les vois préparer leurs discours et cela reviens toujours au même.

Cependant, j’ai remarqué qu’il y avait, au second degré, une dénonciation du système d’éducation : soi le manque de ressource (évidement, on ne parle pas d’école privé ici). Aussi, le fameux directeur d’école complètement saoul et qui commence à dire des bêtises à propos des plaintes de parents et du comportement des enfants n’a pas tout à fait tort…En effet, les parents d’aujourd’hui voudrait que l’école s’adapte complètement à tout leurs désirs, mais considérant qu’aucun couple de parent n’est pareil, il est simplement impossible de toujours satisfaire tout le monde, mais les parents s’entête a ne penser qu’à eux-mêmes et à leur enfant chérie.

 

Mal à tête

 

Cette nouvelle dénonce un aspect qui est très présent en Amérique du Nord, soi la surconsommation. Dans le cas de cette nouvelle, on dénonce la surconsommation de médicaments. Le personnage, malgré que très caricaturer, faire le portrait de certains individus qui consomme constamment certains produits pour simplement vivre normalement. Depuis les années 1990 et 2000 les entreprise créer des besoins superficiels pour mieux vendre leurs produits et empocher des millions de dollars. Dans la nouvelles, on fait référence à toute sortes de drogue, médicament que prend le personnage et celui-ci consulte une psychologue qui est au pris avec le même genre de dépendance à la surconsommation tout comme le fait qu’elle prenne des antidépresseurs et du scotch pour oublier ses tracas et se sentir mieux. Il est donc ironique que quelqu’un se fait soigner par un professionnel qui a les mêmes problèmes à un niveau différent.

 

 

 

 

 

 

 

Liens entre les nouvelles

 

 

Mal à tête

 et

Dieu aime les pauvres ! La preuve, c’est qu’il y en a de plus en plus !

 

Dans la nouvelle : Mal à tête, on dénonce la surconsommation et celle-ci entraine un plus grand déficit dans la distribution de la richesse ; les personnes qui consomment beaucoup sont souvent ceux qui on de bons emplois et qui on l’argent pour surconsommer alors que ceux n’ayant pas vraiment les moyens sont tout de même influencé par ce mouvement de société, ce qui ne fait que les nuire. Le lien est omniprésent, dans Dieu aime les pauvre…, il est question du nombre grandissant de personne vivant sous le seuil de la pauvreté et ceci est en parti du à la société d’aujourd’hui qui est basé sur la consommation, qui est dénoncé dans l’autre nouvelle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Liens entre le recueil et une chanson

 

Le village des valeurs perdues (François Léveillée)

 

L’argent fait le bonheur (Les respectables)

 

Le recueil de nouvelles de M. Léveillée dénonce le fait que la société québécoise d’aujourd’hui a perdu des valeurs qui ont été remplacé par d’autres que certains considère superficielles tel que la consommation, l’argent, etc.  En ce sens, le groupe : Les Respectables, on lancé un album en 1999 ayant pour chanson thème : L’argent fait bonheur. Cette chanson démontre la nouvelles mentalité qui est présente aujourd’hui plus que jamais, soi que l’argent est à la base du bonheur et sans elle on ne peut rien faire.

Par exemple, dans la nouvelle : Mal à tête,  sans argent, il est pratiquement impossible de surconsommer; ou bien dans : Dieu aime les pauvres…, Les riches ne sentent pas le besoin d’avoir la foi puisqu’ils ont de l’argent et que celle-ci règle tout, malheureusement. Finalement, je crois que la chanson des Respectables dénonce une réalité qui est à la base des valeurs perdus dénoncé par François Léveillée soi une société devenu matérialiste.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bibliographie

 

 

- LÉVEILLÉE, François. «Biographie», François Léveillée; Le site officiel, [en ligne].  [http://www.francoisleveillee.com/] (1 octobre 2010)

 

- LÉVEILLÉE, François. Le village des valeurs perdues, Montréal, Les Intouchables,         2002, 114p.

 

-Les Respectables. «Biographie/Discographie», Les Respectables; Le site officiel, [en ligne].  [http://www.lesrespectables.com/fr/biographie] (1 octobre 2010)