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Autorité parentale

Publié le 18/05/2012

Extrait du document

EVOLUTION  DE  LA SOCIETE  ET AUTORITE  PARENTALE

    SOMMAIRE
  • Introduction        page 2
  • I – L’autorité parentale dans les familles nucléaires classiques          page 3
  1. Une nouvelle vision de l’autorité        page 3
  2. L’évolution des couples        page 5
  3. L’enfant et son environnement        page 7
  • II – Familles recomposées et familles monoparentales        page 9
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  3.   xxxxxx
  • III – Le cas des couples homosexuels   
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  2. Cccccc
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  • Conclusion
  • Bibliographie
  • Construction du dossier
  • Carnet de route
  • Fiche BCDI

Intro

I – L’autorité parentale dans les familles nucléaires classiques

A – Une nouvelle vision de l’autorité

Le mode de fonctionnement de la famille a été profondément modifié durant les dernières décennies, et en particulier avec la crise de mai 1968, qui symbolise la remise en cause de l’autorité : Alors que les parents pouvaient dire ce qu’il devait faire a leur enfant sans discuter jusqu’alors, l’enfant a aujourd’hui acquis le droit de manifester son avis et d’influencer  les décisions de ses parents. Ainsi l’autorité parentale s’exerce – t – elle plus sous forme de débat ou de négociation, comme le préconisait Françoise Dolto en 1968.

En outre, à travers les lois de 1987 et de 2002, la législation s’est faite de plus en plus protectrice de l’enfant, les parents pouvant aujourd’hui être déchus de leur autorité parentale sur décision d’un juge, chose qui n’était pas envisageable il y a quelques décennies. Cela est la conséquence de la lutte des associations de protection de l’enfance, qui ont œuvré pour un encadrement de l’autorité qui permette une meilleure protection des enfants, dans les cas extrêmes ou les parents les battraient, seraient alcooliques ou seraient reconnus coupables d’un crime ou d’un délit grave.

De plus, certains psychologues tentent aujourd’hui de bien faire comprendre aux parents la différence entre autorité et autoritarisme : durant les dernières décennies, l’évolution des mentalités des français a conduit à une confusion entre ces deux termes.

L’autorité légitime le pouvoir d’être obéi. C’est incontestablement une qualité nécessaire pour éduquer un enfant, sans quoi l’enfant et le parent se retrouveraient au même niveau, et il serait légitime de débattre sur qui du parent ou de l’enfant doit commander.

L’autoritarisme est une notion bien différente : c’est une attitude qui consiste à commander de façon contraignante et injustifiée. Si l’autorité est indispensable, l’autoritarisme est mauvais dans l’éducation d’un enfant. Or la société, en évoluant, a voulu bannir l’autoritarisme et, ne voyant pas la différence entre autorité et autoritarisme, a aussi contribué au déclin de l’autorité parentale. Ainsi, aujourd’hui, de nombreux parents estiment normal de devoir débattre avec leurs enfants sur les décisions qu’ils prennent, et certains laissent même l’enfant avoir le dernier mot, comme nous le montre cette étude IPSOS.

Enquête réalisée par IPSOS entre le 16 et le 24 février 2001

Echantillon : 403 parents d’enfants âgés de 7 à 17 ans.

METHODE : Enquête réalisée par téléphone à partir d’un échantillon représentatif de la population française suivant la méthode des quotas : sexe, âge, profession du chef de famille, catégorie d’agglomération et région.

D’après cette enquête réalisée par IPSOS entre le 16 et le 24 février 2001, 58 % des parents seulement affirment « dire a leur enfant ce qu’il doit faire, c'est-à-dire exercer leur autorité, mais ce après en avoir discuté avec eux ! ». Pire encore, 35 % des parents, soit plus d’un parent sur trois, « laisse presque toujours son enfant agir comme il le veut après l’avoir conseillé ». Seuls 5% affirment « dire a leur enfant qu’il doit faire, sans discuter ».

Cela nous montre donc bien la nouvelle vision de l’autorité parentale aujourd’hui, a savoir une quasi égalité entre le parent et l’enfant, où le parent ne se distingue de l’enfant que par son expérience et sa capacité à « conseiller ». Mais Aldo Naouri, pédiatre spécialisé dans l’éducation des enfants, s’alarme de cette nouvelle habitude du dialogue. Pour lui, « un ordre, c’est un ordre. On ne l’explique pas ».  A bien des égards, l’évolution des mentalités durant les dernières décennies a conduit a une montée du laxisme. Mais cela s’explique aussi par l’évolution des couples.

B – L’évolution des couples

Depuis la disparition de la puissance paternelle au profit de l’autorité parentale officiellement reconnue par la Loi du 4 juin 1970, le père et la mère sont égaux dans l’éducation de leurs enfants, ce qui signifie qu’ils ont les mêmes droits et que tous deux exercent la même autorité sur leurs enfants.

Tout d’abord, l’égalité des droits des deux parents sur leurs enfants est sans conséquence si le couple est soudé et qu’il commande d’un commun accord. Mais l’évolution de la société et l’apparition du divorce, aujourd’hui très fréquent, car il touche un couple sur deux, a contribué à l’émergence de désaccords et des contradictions dans les opinions des parents, qui se sentent moins solidaires et se soutiennent moins. Ainsi, cette nouvelle mentalité peut affaiblir l’autorité parentale : Alors qu’avant seul le père pouvait prendre des décisions, une décision commune au père et à la mère s’impose aujourd’hui, et au vu du nombre de divorces, on peut imaginer que dans beaucoup de couples, les divergences sont telles qu’il est difficile d’arriver à une décision commune.

On peut représenter les relations dans la famille de cette manière :

Aujourd’hui Avant Père Mère Enfant

          mère                          père

Enfant

Lorsque la puissance paternelle était exercée, seul le père commandait à l’enfant, il n’y avait donc qu’une voie unie qui demandait a l’enfant de faire telle ou telle chose.

Mais aujourd’hui, le père et la mère peuvent commander à l’enfant : ainsi, en cas de discorde ou de tensions entre le père et la mère, l’enfant peut s’infiltrer au cœur de la décision et influencer les parents puisque ceux-ci ne sont pas parvenus à un commun accord.

De plus, depuis l’instauration de l’autorité parentale, le rôle de la femme a profondément changé, passant de femme au foyer pour l’écrasante majorité des femmes en 1970 à femme active pour la grande majorité des femmes aujourd’hui. Ainsi, le temps que l’enfant passe avec ses parents, nécessaire à sa construction psychologique, a considérablement diminué, et de ce fait les parents ont moins de temps pour éduquer l’enfant, moins de temps pour exercer leur autorité sur lui.

Caricature publiée sur coaching-entreprises.blogspot.com

Mais ce manque de temps se traduit aussi par une difficulté plus grande à refuser les demandes de l’enfant : d’après Aldo Naouri, un pédiatre qui prône le retour à une autorité plus ferme, « il est plus facile de dire oui tout le temps que de confisquer le portable ou de jeter le doudou ».

Ainsi le nouveau rôle de la femme dans la société mais aussi la nouvelle fragilité du mariage  ont affaibli l’autorité parentale. Mais le rôle de l’enfant a lui aussi évolué, et ce n’est pas sans conséquence sur l’exercice de l’autorité parentale dans la famille.

C – L’enfant et son environnement

Durant les dernières décennies, la place de l’enfant dans la famille a changé : Tout d’abord, l’apparition des moyens de communication tels que le téléphone portable ou les réseaux sociaux ont exacerbé chez l’enfant le désir d’indépendance, qu’il manifeste en contestant les décisions des ses parents ou en discutant avec eux. De plus, la baisse de l’âge de l’adolescence vient renforcer cette volonté d’indépendance, mais elle naît chez l’enfant de plus en plus tôt, mettant ainsi les parents dans des situations difficiles où ils ont tendance à laisser l’enfant faire ce qu’il veut, pour les raisons évoquées précédemment. Le comportement de l’enfant peut donc se présenter comme un  obstacle à l’autorité parentale dans le cas où les parents laisseraient trop de liberté à l’enfant, « abandonnant » ainsi quasiment leur autorité. De surcroît, en conséquence de la baisse du temps disponible des parents, l’enfant profite de cette absence pour affirmer son indépendance et se soustraire à l’autorité de ses parents. D’après Aldo Naouri,  l’enfant sait aussi profiter de la difficulté des parents à dire « non » pour accepter de moins en moins bien ce « non » et ainsi contraindre les parents a accéder à toutes les demandes de l’enfant, ce qu’il qualifie de «  syndrome de l’enfant roi ». Mais les spécialistes ne sont pas les seuls à s’alarmer : de plus en plus de parents se rendent compte des changements dans le comportement de leurs enfants. Par exemple, voilà ce que l’on peut trouver sur de nombreux blogs ou dans des articles de journaux aujourd’hui : Ici,  Joëlle Huaux, coach parental à Bruxelles, met en garde les parents des conséquences d’un excès de laxisme : « Un trop grand manque d’autorité des parents ne laisserait-il pas une porte ouverte à l’autoritarisme des enfants??? Il m’arrive fréquemment de coacher des parents “cools”... véritablement tyrannisés par leurs progénitures... Ces derniers font la loi à la maison. Ils déterminent ce qui est cool (= à encourager) ou nul (= à proscrire, sous peine d’être des parents nuls à notre tour). Incapables d’accepter un NON ou une limite, ils ne demandent plus, ils exigent... Avec pour critère absolu: leur confort et leur facilité. Et ce que les parents leur offre (écoute, disponibilité, compréhension, attention, encouragement) n’est jamais suffisant. C’est comme un puis sans fond : aussi vite reçu, aussi vite profité, aussi vite oublié. Tout est un du, rien n’a plus de valeur… »# Bien que ce texte soit très subjectif, il rend compte de la nouvelle prise de conscience du déclin de l’autorité parentale, et nous apprend que plus les parents laissent de liberté à leurs enfants plus ces enfants vont en demander. De quoi faire réfléchir les parents sur la nécessité de trouver un juste milieu entre autorité quasi-inexistante et autoritarisme. Enfin, l’omniprésence de la télévision et de l’ordinateur mais aussi le développement des jeux vidéos sont autant de défis à relever pour les parents, car l’influence de ces innovations sur le comportement des enfants est aujourd’hui problématique : les enfants deviennent vite addicts et les parents doivent faire usage de leur autorité pour « réglementer » l’usage de ces nouveaux divertissements. Ainsi dans les familles nucléaires classiques, l’autorité parentale, en plus d’être mise à mal par l’évolution de la mentalité des parents et par la nouvelle fragilité des couples, est souvent défiée par des enfants qui savent profiter de l’assouplissement de leurs parents. Mais avec la multiplication des divorces, de nouveaux cas sont apparus, et il faut maintenant analyser l’impact de l’arrivée de ces nouveaux modèles de familles (monoparentale ou recomposée) sur l’autorité parentale. II)Familles recomposées et monoparentales Une famille monoparentale est une famille constituée d'un seul adulte et d'au moins un enfant. Dans le cas où les parents vivants ont divorcé, se sont séparés, la famille est alors éclatée. Si l'un ou les deux parents se remettent en ménage, on parle de Famille recomposée. Une famille recomposée est composée d’un couple d'adultes, mariés ou non, et au moins d’un enfant né d'une union précédente de l'un des conjoints partageant la même résidence principale. A) Diversité et complexité structurelle des familles dites “non classiques” A la différence de la famille nucléaire composée d’un couple de parents et de leurs enfants, les familles reconstituées sont fort diverses. Ces familles sont particulièrement difficile à observer à travers les recensements parce qu’elles ressemblent beaucoup à première vue à une famille ordinaire ou un ménage célibataire. La structure de la famille monoparentale est très simple: l’enfant vit avec l’un de ses deux parents. La structure de la famille recomposées est plus complexe l’enfant peut vivre soit avec ses deux parents, soit un parent et un beau-parent. Un enfant peut vivre avec des frères et des soeurs (avec qui il partage les deux même parents), des demi-frères et soeurs (avec qui il partage un seul parent) et/ou vivre avec des « enfants de la famille avec qui il n’a aucun parent en commun (on parle de « quasi-frère » ou de « quasi-soeur »). Ces derniers ne seront pris en compte que dans la mesure où ils sont les enfants d’au moins une personne du couple. Au sein d’une famille, on peut distinguer deux grands cas de figure selon que le couple a eu des enfants ensemble ou pas, avec des variantes selon qui de l’homme ou la femme de la famille a des beaux enfants. Cas n°1 : Sans enfant de l’union actuelle                    Cas 2 : Avec des enfants de      l’union actuelle L’accroissement considérable du nombre de familles monoparentales, alors que pendant longtemps celles-ci n'avaient représenté qu'une faible proportion de l'ensemble des familles s’explique par la multiplication des ruptures. De 2003 à 2007 le pourcentage d’enfants de moins de 18 ans vivant en familles monoparentales a fortement augmenté passant de 13,8% à 15,7% d’après l’Insee. De plus ce développement de la monoparentalité va de pair avec la multiplication des recompositions familiales, car la monoparentalité n'est le plus souvent qu'une situation transitoire et les parents qui se sont séparés assez jeunes reprennent généralement au bout d'un certain temps une vie de couple avec un nouveau conjoint ou compagnon. Ce qui explique également l’augmentation du pourcentage d’enfants de moins de 18 ans vivant en familles recomposées qui passe de 8,7% à 9,2% de 2003 à 2007 d’après l’Insee en France. De manière générale, en cas de séparation ou de divorce c’est en général à la mère qu’est attribuée l’autorité parentale et la garde de l’enfant. Ce qui explique d’ailleurs le nombre élevé d’enfants qui vivent avec leur mère (1 500 000 environ soit 15,1%). Pour les familles recomposées, la situation la plus fréquente est aujourd’hui la triade  enfant/mère/beau-père (4,8% soit 77% des cas des familles recomposées). Mais dans ces nouvelles familles qui possède l’exercice de l’autorité parentale? Comment l’autorité parentale évolue-t-elle en fonction du type de familles? b)Une autorité parentales partagée. En droit français, l'autorité parentale est un ensemble de droits mais également de devoirs, que les parents ont à l'égard de leurs enfants mineurs. L'autorité parentale est mies en œuvre par la loi sous la forme de l'autorité parentale conjointe. Le divorce, ne fait pas disparaitre l'autorité parentale. Les deux parents, même séparés, en conservent l'exercice. Cependant le parent qui n’obtient pas la garde de l’enfant est limité dans son autorité bien qu’il possède le droit  de visite et d’hébergement. Au delà de l’autorité parentale les parents doivent contribuer à son entretien et à son éducation sous forme d’une pension alimentaire. Ce n'est que dans des cas extrêmes, par exemple lorsqu'il y a des mauvais traitements ou si l'un des parents se désintéresse totalement de l'enfant, que le juge aux affaires familiales peut décider de déchoir l'un des parents de son autorité parentale et l'attribuer exclusivement à l'autre parent. Lors de la mort d’un des parents c’est  l’autre qui réexercera seul l’autorité parentale. D’après l'article 373-1 du code civil § 2. De l'exercice de l'autorité parentale par les parents séparés   « Art. 373-2. - La séparation des parents est sans incidence sur les règles de dévolution de l'exercice de l'autorité parentale. « Art. 373-2-1. - Si l'intérêt de l'enfant le commande, le juge peut confier l'exercice de l'autorité parentale à l'un des deux parents. « L'exercice du droit de visite et d'hébergement ne peut être refusé à l'autre parent que pour des motifs graves. « Art. 373-2-2. - En cas de séparation entre les parents, ou entre ceux-ci et l'enfant, la contribution à son entretien et à son éducation prend la forme d'une pension alimentaire versée, selon le cas, par l'un des parents à l'autre, ou à la personne à laquelle l'enfant a été confié. c)L’anomie et l’émergence du beau parent. Le beau parent n’ayant aucun lien de filiation avec l’enfant est considéré comme un tiers qui ne détient aucun droit sur l’enfant et n’a pas davantage de devoirs à son égard. Avant cette situation était paradoxale car si le droit civique ignorait le beau parent le droit fiscal prend en compte l’existence d’enfants à charge pour le calcul des impôts. Depuis la loi de mars 2002 la délégation d'autorité parentale, prévue à l'article 377 du code civil, peut être décidée par le juge aux affaires familiales à la demande des père et mère (agissant ensemble ou séparément) au profit d'un tiers, notamment un « proche digne de confiance », « lorsque les circonstances l'exigent ». Les modalités de cette délégation ont été assouplies par la loi du 4 mars 2002. Auparavant réservée aux mineurs de moins de 16 ans et subordonnée à la remise de l'enfant à un tiers, elle est désormais possible quel que soit l'âge du mineur,, à partir du moment où les circonstances l'exigent. Le beau parent peut désormais gérer les actes de la vie quotidienne (l’école, le médecin...) Elle peut prendre fin à tout moment par un nouveau jugement. D’après l'article 377 du code civil: « Art. 377. - Les père et mère, ensemble ou séparément, peuvent, lorsque les circonstances l'exigent, saisir le juge en vue de voir déléguer tout ou partie de l'exercice de leur autorité parentale à un tiers, membre de la famille, proche digne de confiance, établissement agréé pour le recueil des enfants ou service départemental de l'aide sociale à l'enfance. Art. 377-1. - La délégation, totale ou partielle, de l'autorité parentale résultera du jugement rendu par le juge aux affaires familiales. « Toutefois, le jugement de délégation peut prévoir, pour les besoins d'éducation de l'enfant, que les père et mère, ou l'un d'eux, partageront tout ou partie de l'exercice de l'autorité parentale avec le tiers délégataire. Le partage nécessite l'accord du ou des parents en tant qu'ils exercent l'autorité parentale. La présomption de l'article 372-2 est applicable à l'égard des actes accomplis par le ou les délégants et le délégataire. La baisse de la mortalité et la montée du divorce, n’entraîne plus pour le nouveau conjoint ou compagnon d'un parent divorcé occupation d’une place vacante,mais son insertion dans une entité familiale dissociée dans laquelle le père et la mère continuent d'exister. Dès lors pour faire partie à part entière de la famille recomposée, l’amitié s’impose. On ne devient véritablement beau parent que si on est finalement choisi (aimé) comme tel par l'enfant. Cela relève d'une élection amicale. Ainsi, la relation beau parent / bel enfant est au quotidien la rencontre complexe des valeurs de la parentalité (être un adulte responsable, éduquer, soigner, dire la loi) et de celles de l'amitié (être un tiers, un confident, un complice). L'absence de statut clair est à la fois un atout et un handicap. La situation du beau père et de la belle mère sont opposées du fait des différences entre les rôles de sexe en général. Le sexe du bel enfant facilite ou non la relation.La principale difficulté pour le beau parents est de s'assumer comme "non parent" condition d'un respect de l'unicité de la relation parents - enfants crée par la filiation est paradoxalement ce qui permet de s'intégrer à son tour comme un élément particulier du système de parenté en accédant à un statut inédit. III /

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