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Benjamin Button et la Mère aux Monstres

Publié le 12/12/2012

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Lettre Cursive L'étrange histoire de Benjamin Button J'ai bien aimé l'extrait où Benjamin va s'inscrire à l'université lorsqu'il a 18 ans. Ce passage se trouve aux pages 32 et 33, et il commence à «  Le chef de la scolarité [...] « et se termine avec « [...] la sensibilité de Benjamin Button «. J'ai aimé ce passage premièrement car la manière d'insister de Benjamin Button sur le faits qu'il ait bel et bien 18 ans. Bien que personne ne le croit à cause de son physique de vieillard mais il reste honnête et et dit son véritable âge. Je l'ai trouvé extrêmement courageux d'assumer quelque chose d'absurde et difficile a accepter. On peut citer les répliques « Je suis content de vous rencontrer Mr Button. Votre fils doit arriver d'une minute à l'autre. -Le fils, c'est moi ! Lâcha Benjamin. C'est moi qui suis en en première année « Deuxièmement , ce qui m'a fait aimé cet extrait c'est que quand Benjamin quitte l'école et qu'il est suivi par une troupe d'étudiants, Benjamin a l'air d'être déçu de ne pas avoir été pris à l'école dût à sa différence physique mais au contraire il ne fait même pas attention à la troupe qui le suivaient. Le passage qui le décrit est « En marchant tristement, en direction de la gare, il s'aperçut qu'il était suivi par des étudiants. « Le registre utilisé par Fitzgerald, dans ce passage, est le pathétisme. L'écrivain veut faire éprouver l'émotion du lecteur grâce au champs lexical des émotions avec « tristement « ; « blesser la sensibilité « ; mais aussi avec des phrases exclamatives « le fils, c'est moi ! « ou aussi « Vous êtes fou à lier ! «. L'extrait cité nous montre bien une société basée sur le paraître . Plusieurs mots nous le démontrent. Pour commencer dans l'avant dernier paragraphe de la page 33, avec la gradation « des étudiants, une poignée [...], puis une cohorte qui grossit rapidement jusqu'à devenir une foule compacte. « qui nous fait pencer a un comportement très idiot des hommes traduit par les étudiants envers Benjamin. On trouve aussi une gradation dans le dernier paragraphe avec «  des étudiants [...] les joueurs de football [...], les femmes des professeurs [...], la meute. « L'auteur insiste sur la curiosité des gens vis-à-vis de Benjamin. Ensuite, l'écrivain utilise un champs lexicale de la colère pour montrer la réaction du chef de scolarité. Des réactions comme « avec agacement «, « hurla « et « hors de lui « et l'utilisation du discours direct permet de faire du discours du chef un discours plus vrai. C'est montré par « C'est une plaisanterie «, « Voyons, Mr Button, vous ne croyez tout de même pas que je vais vous croire « . La mère au monstre Le héros de La mère aux monstres et celui du rapport de Brodeck semblent avoir divers points communs. Pour commencer, nous pouvons retrouver chez ces deux héros un charisme identique, une beauté identique. En effet, Nous pouvons s'apercevoir qu'au cours de La mère aux monstres à l'époque où la mère travaillait dans les champs, il est écrit l.89 qu'elle était une belle fille. De la même façon que le personnage de Zeilesseniss est décrit par Phillipe Claudel comme une femme propre et charmante. Elle avait « les joues encore rosies par l'eau pure, le savon, la crème « (L.21), « des habits propres « (L.23). Ensuite, les deux héros semblables ont des comportements inhumains. Dans la mère aux monstres, Le personnage principale déformait ses enfants dans son ventre pour pouvoir les vendre ensuite. Nous pouvons le démontrer par « elle devient habile, parait-il, à varier les formes de ses monstres selon les pressions qu'elle leur faisait subir pendant le temps de sa grossesse. « (L.101/102 ). Il en est de même pour la Zeilenesseniss dans le rapport de Brodeck. Elle allait tous les matins pour la pendaison journalière avec son nourrisson dans ses bras. Dans le texte la pendaison est rapproché a une cérémonie. La Zeilenesseniss prend un vilain plaisir a admirer cette cérémonie, On peut le voir à « Elle ne perdait rien des tressautements [...] les bruits goitreux, des intestins qui se vidaient « (L.37/38), et « Elle le réveillait et lorsque qu'il finissait par ouvrir les yeux [...] d'un simple geste du menton, elle signifiait aux gardes que la cérémonie pouvait commencer « (L.33 à 35) . Pour finir, la mère et la Zeilenesseniss semblent effrayé certains hommes. Effectivement dans la mère aux monstres que, même si la mère faits face à deux hommes, elle est très imposante. La mère a une réputation « démoniaque « et elle se sert de cette réputation pour effrayer les gens. Il est écrit que « c'était une grande personne aux traits durs, mais bien faites, vigoureuse et saine « (L.28/29) mais aussi lorsqu'il est écrit « elle marchait vers nous les mains sur les hanches [...] Nous reculions devant elle. « (L57/59). DE même que la Zeilenesseniss effraie les prisonniers juifs et les soldats. On nous le démontre avec la citation « nous avions ordre sous peine de mort de ne pas croiser son regard. «

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