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Comment s'entrelace dans la présentation des collections du Musée du Quai Branly, l'héritage du musée républicain et celui de Quatre mère de Quincy

Publié le 02/05/2012

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Comment s'entrelace dans la présentation des collections du Musée du Quai Branly, l'héritage du musée républicain et celui de Quatre mère de Quincy? Dans notre rapport, analyser et argumenter sur notre sujet nous essayerons de mettre en lumière les différentes implications de la présentation des collections du Musée du Quai Branly et l’héritage du musée républicain et surtout essayerons  de développer cela face à cet illustre personnage qui est Quatre mère de Quincy. Dans cette optique nous ferons une présentation du musée du Quai Branly et celui de Quatre mère de Quincy, mettrait en relation les différentes grandes pensées qui parcours leur histoire, mais aussi les oppositions, les divers controverses qu’engendre cette présentation et chercherons à comprendre le pourquoi de cette question qui on doit le dire produit une historicité, preuve du grand champs d’implication qu’arbore cette problématique. Le musée du quai Branly ou musée des arts et civilisations d'Afrique, d'Asie, d'Océanie et des Amériques, civilisations non occidentales, est situé Quai Branly dans le 7° arrondissements de Paris, à la place de ce qui fut occupée par le ministère du commerce. Un projet ambitieux porté par l’ancien président de la république Jacques Chirac un  passionné d’art, un établissement conçut et réaliser par Jean Nouvel, qui fut inauguré le 20 Juin 2006. C’est Jacques Kerchache, marchand d’art et spécialiste en art africaine, qui essaie dès le début des années 1990 de faire entrer ces arts dit « premiers » que lui-même à inventer, au musée du Louvre. Concentrant tout son énergie à défendre ce projet qu’il soutient, dans sa quête, il se voit rencontrer Jacques Chirac, alors maire de Paris, qui dès son arrivé à la tête de l’état demande qu’un département « d’art premier » au musée du Louvre soit ouvert, s’est alors qu’une année plus tard il annonce le projet de la création d’un nouveau musée qui rencontre rapidement une opposition et de nombreux critiques, mais face a tout cela ce musée voit le jour et un concours d’architecture lancée en 1999 désigne Jean Nouvel comme concepteur de celui-ci, inauguré le 20 juin 2006 en la personne de Jacques Chirac, en présence aussi de grande personnalité de l’époque personnifiant peut être, les œuvres en son sein, Kofi Annan , Rigoberta Manchu, Paul Okalik et autres personnalité du gouvernement. Mais face a cette historicité essayons de comprendre ce que l’on peut entendre par cette notion « d’art premier » et quelle définition cela peut regrouper face à ce musée qui répond a cette question implicitement posée. La notion d'\"art premier\", relativement nouvelle, est elle-même sujet à question, car elle pourrait tendre à faire passer les peuples qui l'ont produit comme primitifs. Cette conception évolutionniste est largement remise en cause aujourd'hui, notamment de la part des anthropologues. Et si au début de la mise en forme du projet la qualification « Musée des arts premiers » était parfois avancée, aujourd'hui il semble parfaitement impropre de le dénommer ainsi. Malgré cette connotation, le terme \"arts premiers\" est rentré dans le langage courant et fait partie intégrante de cette pensée qui définirait le Musée du Quai Branly et ses expositions. Si le musée a vocation d'exposer les productions artistiques des civilisations du monde entier, on constate néanmoins une grande disparité de représentations. Mais ne nous éloignons pas trop et restons au plus prés de notre développement et dirigeons nous maintenant vers Quatemère de Quincy. Autodidacte et érudit il voyage beaucoup lui procurant une grande connaissance des lettres et des arts, aristocrates de son temps il fait parti de l’un de ses acteurs de l’époque mettant en scène la culture et la valorisation d’une politique culturel. L’art doit être vu comme une régénération de l’histoire passer antiques, elle est symbole de liberté de reconnaissance historique, affilier à cette préservation d’une historicité, il pose des questions qui veut repenser l’art à son époque, une  réappropriation de ce concept d’art dans cet univers politique.   Maintenant commençons et rentrons dans ce musée, en essayant d’être Quatemère de Quincy et voyons comment aurait il pu concevoir cette institution des temps modernes rassemblant en son sein tout un carrefour de civilisations orientales, des Amériques d’Afrique d’Océanie, véritable forum de cultures des « arts premiers ».  La visite commence par l'Océanie, et plus précisément la Mélanésie, on part directement aux antipodes, on plonge dans un univers sauvage d’Asie, et des Amériques, cela nous fait voyager nous transporte stimule notre imagination et nous renseigne quelque part d’un petit bout d‘histoire. Quant à l'Afrique, pays ruraux et très exotiques cela nous montre et nous donne une idée sur ce peuple mais c‘est la misère surtout des ses hommes que l‘on ressent. En tout état de cause, nous sommes en face d'être vivants qui nous ressemblent, comme le disait le slogan de l'entrée (“entrer en soi pour s'ouvrir à l'autre”). C'est donc bien aux “gens de là-bas” que nous avons affaire, à d‘autres traditions d’autres mœurs un retour au passée, nous arrivons chez eux, comme l'ethnographe, véritable Indiana Jones des temps modernes et nous allons nous imprégner de leurs coutumes et de leurs cultures, pour faire une sorte d’analyse par rapport à nous occidentaux en essayant de trouver une origine peut être a la notre. Les objets sont rassemblés par famille, tous les totems par exemple sont ensemble, nous avons donc un objet d'étude non pas individué sous entendu ici comme « l'Œuvre d'Art » , mais collectif. Ce que l’on remarque c’est la quantité des objets rassemblés et c’est peut être ici ou l’accent est mis, mais il est assez étonnant de voir à quel point est revendiqué l'attitude “ethnographique”, et à quel point l'exposition des œuvres ont été tenté de reconstruire des situations fidèles à l'usage de ces objets dans la culture dont ils proviennent. Il est clair et évident qu’il ne serait  possible de reconstruire un “muséum” au sens de Quatemère de Quincy à vingt mille kilomètres de son lieu réel, donc la “découverte” d'une “authenticité” est d'avance nulle et non avenue, les objets ne peuvent plus signifier en rapport avec leur culture d'origine, ils ne peuvent signifier et symboliser quelque chose que les uns par rapport aux autres, on ne s'intéresse pas à comprendre l'usage des objets, des totems, on ne s'intéresse en fait pas à leur sens culturel, mais uniquement à leurs caractéristiques matérielles, c’est l’histoire qu’il diffuse qui nous intéresse un sens symbolique compris par nous qu’il nous entraîne a penser et à remémorer. Les œuvres présents ici ont bien une portée et une visée didactique, nous donnant un enseignement à nous visiteurs, pour Quatre mère de Quincy visitant ceci, se serais pur scandale, pure blasphème artistique dans ce monde des Arts vue sous cet angle par lui, comme on le sait on assiste ici a un pillage un déracinement de tous ses œuvres dit « art premier », vrai prison et institution garantissant une déspiritualisation, réduction même  de ces objets riche de significations dans leurs pays d’origines renforçant de la même le vrai caractère qu’il devrait normalement faire passer avec beaucoup plus de conviction. Vrai concentration, magasin  de toute l’histoire du monde le musée du Quai Branly est un vrai univers brassages de cultures universels du monde permettant aux générations cette fois du monde entier de venir consulter et assister au spectacle des objets exposés et animer par l’imaginaire de ces visiteurs même qui viennent apprécier et légitimé ce rapatriement de des objets qui appartiennent au peuples concerner. On a ici un enlèvement, une sorte de politiques esclavagistes de ses œuvres influencés par l’héritage du musée républicain, qui ne seront peut être jamais restituer au peuple, vrai déplacement et conception de vouloir fonder une politique visant à conserver un patrimoine, les protéger quelque part et les assurer une vrai existence, une autre vie, et de la même légaliser et légitimer ce pillage et démantèlement de ses œuvres. Abordons le pourquoi et l’envie des institutions à vouloir élaborer un « Musée de la république démocratique universellement reconnue », et obéissant a des valeurs légiférer par lui-même qui se constitue au nom de la prétendue préservation des biens et des œuvres du monde. L’histoire du musée public prend naissance dans un gouvernement en France encore instable, ses idées sont très largement attachée à l’histoire de celle-ci et plus précisément à la révolution de 1789, donnant a ce peuple le privilège de garder une identité national tout cela allant dans la visée d’une idéologie républicaine. Nous avons ici les première souche et première ébauche d’un patrimoine républicain voyant le jour qui ne s’arrêtera pas d’aussitôt vue la politique de conservation et la vocation de ces derniers à vouloir faire du Louvre un musée universaliste où toutes les cultures du monde seront représenter. Ces questions encore ou ces rapports au musée qui doit conserver une certaine choses, souvenir du monde est d’actualité a notre époque, puisque beaucoup d’objets de cérémonies rituelles, ou d’éléments faisant partie d’un rite, dans la croyance de ces peuples ou ceux-ci les ont été enlever, arracher même de leur pays, devait disparaître ou ne jamais être mise a jour, peur d’une certaine malédiction ou prophétie donnant une foi à ses traditions, ce sont vue exposé au Quai Branly, il y à bien un transport d’idée de l’époque un déplacement fait pour revendiquer le caractère et la valorisation de sauvegarder un patrimoine, mais aussi la volonté éclairée d’éduquer le monde pour qui viendra voir ces objets au musée, une vrai politique d’instruction de normalisation de protection face à une possibilité de destruction et de disparition soutenu par les républicains. Mais parmis les plus réactionnaire, Quatremère y verrait une mise en danger des œuvres dans la mesure ou elles se trouvent èxtériorisées de leur contexte, mais le musée à une mission précises et surtout politiques voulant montrer une propriété collective, incarnant un idéal politique restant le plus possible dans cette optique éducative et pédagogique. Le musée du quai Branly porte toutes les caractéristiques de cette conception idéologique des républicains et se propose de nier l’histoire des objets qu’il expose comme nous l’avons si bien rappeler dans ce petit parcourt historique le musée est avant tout une institution politique qui veut penser l’art et donner sens a cette institution en faisant passer d’abord ces priorités le musée du quai Branly met en avant plus un dialogue esthétique entre les différents peuples et cultures. On se rend bien compte qu’ici que la politique républicaine veut encore penser et contrôler cet outil pédagogique, servant quelque part a affermir son image aux yeux du peuple à avoir et continuer au nom d’une liberté politique démocratique, l’assurance d’une continuité de l’histoire du musée refondant « l’art premier » cette fois ci, on a une volonté des institutions politiques de centraliser tous ses objets symbolisant le patrimoine du monde, dans ce sens on peut dire quelques mots sur cet établissement du quai Branly, symbole de cette patrimonialisation a travers tous les œuvres représenter. Ce musée donne naissance a ce mot art premier et nous montre a travers ses œuvres ce qu’il entend par cela, il veut diriger nous donner une idée de ce que sait, c’est la naissance d’une autre direction pour l’art notion très jeune qui se dévoile au fil de l’évolution et ne cesse de s’alimenter car le monde est source pour elle de nourriture qu’elle transforme une fois arriver dans son corps et qu’elle présent à nous sur une forme nouvelle Cela ne va-t-il pas dans le sens même de la naissance du musée en tant que tel en France vrai patrie de la liberté, le musée du quai Branly ne s’averait pas être attacher a ce principe qui légitime de fait la création de ce nouveau musée repensant et redirigeant les arts du 20° ème siècles? Le musée est un espace politique vrai résultat, des efforts de l‘état mis en place qui se manifestent par elle dans sa construction et le reflet au yeux du monde de cette image qu‘elle renvoie chez eux. Il concentre une certaine esthétique, une certaine mémoire reconnues par l'Etat et se légitime par son ouverture démocratique à tous car cet un lieu international n‘appartenant pas a un état quelque part mais a toutes les nations du monde car une petite partie de chacune d‘entre t‘elle est représenter et valoriser d‘une certaine manière ici, il y à alors une certaine tension qui se manifeste donc en son sein de nombreux question peut venir à nous visiteur et le visiter relève parfois d‘une quête d‘une recherche sur la signification et le rôle symbolique de chaque objets dissimulant une historicité riche en définitions et significations.  De manière historique, le musée est un espace contradictoire, on se rend compte qu’il est un outil qui répond au vandalisme a une certaine injure par rapport au peuple qui y sont représenter la France continue quelque par à montrer et exhiber ces pays a travers des vitrines et plus encore son passé colonial qui est en grande partie remplit de ces objets.  C 'est donc un espace public contraint, en quelque manière se soumettant lui-même a des règles qu’il nie l’évidence et les effets sur le passé, l’histoire n’a aucune importance ici, on a l’impression que la relation que l’on a avec ses objet est plus symbole d’esthétiques de comparaison par rapport a d’autres peuples de la planète c’est plus les objets par exemple de l’Océanie par rapport a l’Afrique ou les Amériques qui semble être reconnue ici, on a cette idée ou l’on nous dit regarder ces différences, regarder ces peuples, comment ils sont entre eux, regarder cette richesse de culture qui ne peut se dévoiler qu’ici par le réunification de tous ses arts premiers du monde, ses premières penser du monde matérialiser ici par ces divers totems, ces divers formes venue de tous les pays du monde. L’on retire une part d’eux même perdant leur symbolisation, il est clair que l’on se demande pourquoi certains objets sont représenter comme telle? Quelle à été leur signification leur rôle chez ces peuples? Leur exposition, enlève cette part de magie cette par de l’imaginaire que l’on aurait pris plaisir à contempler sur leur lieu même, pour Quatremère visitant cela, il aurait été stupéfait et révolter ayant de la peine pour ces objets nos reconnue sur le message qu’il devrait normalement être dépositaire, ce sont de pur objet et rien d’autres reduit a cette seule valorisation que ce musée entretiens on enlève sa valeur pour lui attribuer une autre valeur revendiquer par son originne son époque sa date de création une nouvelle idées de ce qu’elle est maintenant, ces habits, ses poupées, ses formes d’animal, stattuètes colorés, prennent sens ici et retrouvent leur vrai place quelque part une vrai raison d’exister et d’être en sécurité,mais au détriment de quoi et au nom de quoi pouvons nous faire cela? Qu’est-ce qui légitimerait tout ceci? Ne voyons nous pas là une visée de l’héritage républicain qui s’accentue encore aujourd’hui non changeante, un oui a une forme de la liberté des arts et cultures qui au nom d’une sauvegarde légitimerait ses exhaltations de dépouillement manifeste ne poursuivant que son intérêt guidée par une politique libérale et capitaliste de nos jours, on se permet de piller certain région du globe d’enlever une part de ce qui fait l’éffectivité d’un peuple, mais n’est-ce pas une manière aigue de continuer une colonisation, un sous entendue de pouvoir sur ces peuples cette fois guider et détourner vers une autre fin. Bien que nous avons cesser tous pouvoirs sur vous mais nous continuons en quelque manière a exercer une domination, à continuer à piller ce qui fais votre identité et revendiquer au yeux du monde et de la scène internationale le rôle et le droit de sauvegarder cette héritage que vous ne pouvez pas sauvegarder vous-même le fait peut être de votre ignorance. Pour Quatremère, tous ses objets ne seront pas a leur place, dans ce musée, se renfermement des œuvres les tue les réduits au silence, les contraints à parler que de leur apport esthétique et de la relation qu’ils entretiennent par rapport a nous et d’autres œuvres similaire a un autre pays un autre environnement. Mais approfondissont plus l’idée qu’aurait pu opposer Qautremère de Quincy à cette institution politique ce revendiquant comme patrie de la liberté républicaine, et essayons de montrer les arguments qu’il aurait pu opposer a cela. Il est clair qu’un musée pris dans l’acceptation de ses idées restera très largement contesté par lui, le musée ne doit pas être comme telle, il est lui pour un muséum, une institution non pas pris dans l’acceptation des républicain aujourd’hui, à chaque région son musée son lot d’histoire qui nous fait connaître ce peuple, qui nous rend et nous plonge dans une partie de leur vie et de ce qui à été sont passé. Il est très important de garder cela et de vouloir restituer cette idée qui devrait être partager par les institutions politiques, il y à une sensibilité pour lui de garder, de restituer au peuple ce qu’il leur appartient pour une affirmation de leur identité ce déracinement des objets de leur lieux d’origine les tue vraisemblablement, il y à une volonté de la part de Quatremère de Quincy à vouloir appeler musée ce qui fait partie du paysage donnant existence éffective a leur singularité et caractéristique propre chez eux. On aura ici une vocation plus spirituelle et conventionnelle, vrai symbole de ces objets retrouvant leurs lettres de noblesse, car l’image, ce rapport distant de l’objet a soi est sacrée pour lui il est important pour le visiteur où étudiant qui s’interesse à l’art, de voir et de se rendre compte de lui-même de l’éffet qui pourrait le submerger à la vue de ces monuments et objets dans leur climat et contexte qui les font vivre. On à une réelle ambition de sa part de redéfinir et de penser le musée comme un tout, pour lui tout doit faire art et doit être sujet à une portée historique, un retour au passé qui nous donne une idée de qui était ses peuples et nous aide à comprendre leur culture. On aurait de sa part une volonté aujourd’hui de condamner cette idée de ce musée culturel du monde et la critiquer en y opposant et soulevant tous les problèmes d’ordres artistiques que cela impliquera c’est-à-dire que tout ce qui doit être appeler art doit tomber sur l’acceptation de ses considérations qu’il explique et qu’il considère nécessaire puisqu’il n’y à que par là que l’étudiant où le chercheur peut réellement se donner et se faire une idée de ce qu’est la notion de l’art. Il veut rediriger cette définition, redonner une autre acceptation du musée à son époque et de voir qu’aujourd’hui malgré les changements et l’évolution des mentalités que cette pensée du musée universaliste commencer avec le Louvre se réitère aujourd’hui et semble s’accentuer encore plus avec ce musée du quai Branly se montre ferme a propos de cette pensée d’enclavement des œuvres revendiquant et arborant un drapeau de conservation et de protection des œuvres. Véritable institution déshumanisant les œuvres en son sein ce musée montre bien que l’héritage républicain ici à été bien assurée et se retrouve présent ici encore une fois, ce musée mise en place par notre ancien président reste dans la continuité de cette pensée et veut s’affirmer autour de ses œuvre dit « art premier », la France tien à garder son statut de patrie de la liberté et le musée est la pour symboliser ce fait c’est par elle qu’elle témoigne encore aujourd’hui de ces idées et assure sa pérénité dans le temps. L’héritage républicain nous donne et nous confronte à travers ses expositions du rôle que la politique culturel joue à cet égard vis-à-vis des arts, car il faut le dire bien qu’elle ne voit pas ces objets comme le voit les yeux de l’artiste on a l’impression qu’a travers cette institutions du musée elle tend à conserver et à faire passer ses idéologies politiques à vouloir garder une visée didactique envers les peuples a ce montrer, important et servant à quelque chose. On veut transmettre, se souvenir de qui on était nous les hommes de montrer la diversité la richesse du monde de ses production qui fascine l’imagination on a plus l’idée de spectacle d’exibitions de l’état, on veut faire on veut montrer, réunir toute les culture, faire de ce musée un vrai livre d’histoire un vrai parc a thème du monde, vouloir les objets qui définissent ces peuples du monde entier mais sans ces peuples eux-mêmes apprécier leur création et leur production mais sans parler de leur vie expliquer pourquoi et dans quel contexte ont-ils imaginer ou créer ceci, tout cela on ne nous le montre pas en quelque sorte, l’esthétique prédomine et veut  par rapport a ce styl fidèle a la conception du musée insister sur ce critére. En tout point ici rien a changer par rapport à la conception qui prédominait l’époque de Quatemère de Quincy auteur très peut lu, on se rend compte que cette conception est surtout revendiquer par rapport a cette conservation des œuvres à  ce rôle pedagaogique attribuer a ces objets. L’entrelacement de cette héritage par rapport aux œuvres et leur exposition est bien fidèle a cette politique républicaine on a éffectivement cete image fidéle a cette conception qui veut penser ce musée comme avant tout culture du monde cristalisant et figeant l’histoire de tout un peuple, qui montre les productions les plus réussit prenves d’une grande imagination et de critères esthétiques invraisemblabe pour des passionés d’art. Le musée quel qui soit reste un lieu de receuil et lieu de mémoire qui doit et fonde le respect pour qui entre en son sein, il est vrai que l’on peut et entend beaucoup d’argument contre et pour sa construction mais c’est plutôt la symbolistion de tout son ensemble qui est critiquer et le pourquoi de ces objet présent a son intérieur qui peut poser question, dans le sens ou l’on ce demande mais pourquoi cette volonté de retirer ces objets de leur lieux de résidence pourquoi les expatrier et les rendre sourd muet de signification les enlever de leur nature propre et les rendre stéril. Ces questions encore actuellen aujourd’hui ne cesse de faire débat dans le monde artistique, mais peut on vraiment penser l’art sans musée, sans elle que serait devenue tout ces objet aurait il disparut réellement de la scène du monde faisant partie de mythe et de légende. Le but et l’idée est sans appel il faut bien une organisation une institution contrôlant tout ce trafic de « monument »  d’objet de toute sorte mais comment la penser et la réaliser quand déjà, des principes et des idées poser en amont fondant tout l’histoire des arts font face à cela. La question qui est de mise est comment faire face a tout cela et qu’elle idée nouvelle peut on concourir a trouver tous ensemble peuple du monde entier pour trouver une entente a tout ce patrimoine mondiale.

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