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Commentaire composé : Extrait d’Enfance de N. Sarraute

Publié le 26/04/2011

Extrait du document

sarraute

Cet extrait de texte est tiré de l’autobiographie intitulé Enfance écrit par Sarraute qui fut publié en 1983. Cette autobiographie raconte et décrit son enfance au début du 20éme siècle. Durant cette extrait, Nathalie Sarraute nous décrit son enfance difficile chez sa tante qui est enfaite la seconde femme de son père. Cette enfance difficile est notamment du à l’absence de sa mère biologique et du mauvais traitement de sa tante, Véra. Alors que la majorité des autres écrivains ont tenté d’embellir leur vie pour épater le lecteur. Ici Nathalie Sarraut nous fais presque ressentir de la peine pour cette enfance exécrable. On peut donc se demander pourquoi avoir écrit une autobiographie basée sur son enfance désastreuse. Pour ce faire nous allons tenter d’analyser les différents éléments qui ont contribué à cette enfance tragique. Nous commencerons par analyser les indices qui font que cette situation est assez déplaisante pour la narratrice, Nathalie. Ensuite nous interprèterons les conséquences de l’absence maternelle pendant son enfance. Nous finirons par interpréter les raisons de cette haine envers Adèle. Dès le début du texte on commence déjà à comprendre qu’il y a un mal être chez la narratrice car le texte commence par une description péjorative « Je ne fais rien «. Ce « je ne fais rien « montre bien ce mal être de cet enfant qui semble s’ennuyer alors que le cadre y semble propice à se divertir car elle se trouve dans une villa aux environs de Paris avec un jardin pendant l’été. On y retrouve cependant un contraste avec un aspect négatif que l’adjectif « pelé « donne au jardin et qui montre aussi une certaine décadence évidente de la maison et par extension de la famille. Dès le début du texte, on ressent aussi une certaine haine de la narratrice envers Adèle avec une description très péjorative qui montre bien cette situation déplaisante que la narratrice a vécue. On comprend aussi que cette tension entre la narratrice et Adèle ne peut que contribuer à une ambiance détestable car il est dur de se faire accepter par la famille si il y une tension négative entre vous et la « domestique « de la fille. Cette haine est d’autant plus grandissante à la fin de l’extrait ou la comparaison entre la narratrice et Adèle est assez dégradante pour la narratrice car on la considère comme une moins que rien et lui fait comprendre que tout est négatif chez elle. Plus tard dans le texte, le passage avec les ciseaux est aussi une preuve flagrante de la tension négative dans la maison ainsi que le faite que la narratrice devient un peu le souffre-douleur de la famille qui s’acharne sur elle quand qu’elle chose ne va pas. On peut aussi interpréter ce mal être de Nathalie par le faite qu’elle semble incomprise et surtout non écoutées par cette famille qui semble la mépriser alors qu’elle est encore toute jeune et innocente. Pour comprendre ce mépris de la famille il faut peut être prendre en considération l’absence maternelle pour la narratrice. On peut facilement interpréter que ce mauvais traitement de la famille est du à un différent entre la mère et la famille et les conséquences de ce différents retombe sur la fille, Nathalie. Ce différent est surement du au faite que Véra, la tante, est la seconde femme du père de la narratrice. Il y a donc une certaine dimension de jalousie mais aussi de trouble maternelle car elle doit s’occuper d’une fille qui n’est pas la sienne et qui a été procréée par une autre femme avec son mari. Ceci démontre un peu plus les raisons de cette haine de sa tante envers la narratrice. Ensuite je vais essayer de discerner les différentes conséquences que l’absence maternelle à créer chez la narratrice. La narratrice est affecté par différents aspect de l’absence de sa mère car cela va la toucher psychologiquement ainsi qu’émotionnellement. La première conséquence est le faite qu’elle soit devenu le souffre douleur de la famille qui entraine d’autre conséquences comme les différentes « attaques psychologique « à son encontre. L’exemple le plus marquant est sans doute les comparaisons négatives entre elle et sa mère. Ces attaques ont semés un certain doute chez la narratrice par le faite que sa nouvelle famille ne parle de sa mère que négativement, elle ne sait donc plus quoi penser de sa mère qu’elle n’a jamais vraiment côtoyer et risque donc d’adopter cette image négative car elle n’a rien de concret pour contredire ces attaques. Le faite que la famille lui parle de sa mère alors qu’elle ne sait en vérité rien sur elle, lui procure aussi un sentiment détestable qu’on lui cache des choses. D’autant plus qu’elle découvre que la domestique connait sa mère (l.15). Ce sentiment développera peut être aussi un sentiment que sa mère l’a peut être abandonné, elle ne doit surement pas comprendre les raisons de cette distance. Un autre point important à considérer c’est le possible différent entre sa mère et sa famille actuelle qui l’alimente peut être d’un autre doute sur le faite que sa mère est quelqu'un de mauvais. On voit donc bien que la narratrice a de nombreux éléments suggérant que sa mère soit une mauvaise mère. Il serait donc assez normal de retrouver une certaine sorte d’animosité envers sa mère qu’elle ne connait pas et qui lui inflige indirectement un mauvais traitement. La principale conséquence de cette absence maternelle est le risque de voir la narratrice prendre comme responsable sa mère pour cette désastreuse enfance alors qu’elle n’y ai pas vraiment pour quelque chose. Apres avoir analysé l’animosité de la famille envers la narratrice nous allons nous attarder sur ce que pense la narratrice et sur la certaine antipathie que ressent la narratrice envers la famille de sa tante, principalement Adèle. En effet, l’animosité de la narratrice est caractérisée dès le début par la description très péjorative d’Adèle bien qu’elle ne fasse pas vraiment partie de la famille. Mais la narratrice la considère surement comme telle car elle réagit exactement comme sa Tante envers elle. Cette description péjorative qui contient un champ lexical riche sur les oiseaux de proie commence par la description de son visage qui est « ridé et grisâtre « qui est bel et bien une remarque assez négative. La description continue par « son nez est courbé comme un bec, un coin de sa paupière fripée retombe sur son œil « ou les adjectives négatifs prouvent bien cette animosité envers Adèle bien qu’elle ne semble pas n’avoir fait grand-chose pour mériter comme le dit la narratrice « elle n’a pas cet air redoutable «. Elle ajoute même quelques mots mélioratifs comme « vive « et « active «. A la fin de la présentation d’Adèle, elle contraste sa pensé avec « je n’ai jamais rien décelé chez elle rien de méchant … ni rien de bon «. Après cette longue description péjorative, où l’on ne comprend pas vraiment le but de la comparer à des oiseaux de proie si elle n’a pas cet air redoutable on comprend finalement que la narratrice la déteste plutôt pour le faite qu’elle travaille pour ceux qui la maltraite ou alors pour l’épisode du passage des ciseaux. Cette haine de la famille a aussi été produite par le contraste péjoratif de Véra et Adèle entre Lili, fille biologique de Véra et la narratrice. Ce contraste a du surement augmenter la haine qu’elle éprouvait pour Lili juste pour le faite d’être la fille de Véra. Véra et Adèle pensent « alors que ces même signes sont chez les autres positifs … Chez toi les signes s’inversent « et que donc lorsque Lili est décrite pour le faite qu’elle ait une santé fragile, il faut le prendre positivement en tant que qualité. En comparaison, si Nathalie est décrit avec ces mêmes mots, cela montre sa nature un peu grossière. Cette pensée malsaine et totalement injuste prouve bien l’animosité de Véra et Adèle envers la narratrice. Cela va bien évidemment enclencher une augmentation l’animosité de Natalie envers eux aussi. Cette animosité réciproque n’a qu’une conséquence directe, l’augmentation des tensions. Pour conclure, je pense que la raison principale de cette enfance désastreuse est les différentes animosités et tensions retrouvé à travers les personnages. La plus flagrante est celle de Véra envers Nathalie. Cela est surement du aux fait qu’elle n’assume pas son rôle de belle mère. Une enfance sans mère est difficile à vivre donc on peut aussi prendre l’absence maternelle comme source principale de cette enfance malheureuse. Je trouve que le thème d’une autobiographie de l’enfance tragique est beaucoup moins représenté car il est plus difficile de parler des moments difficile que des grands moments vécu dans une vie. Nathalie Sarraut réussi a travers ce passage à nous plonger dans son malheur et provoque chez le lecteur une certaine peine. Dans les autres autobiographies, le but est plutôt d’épater le lecteur et ceci amène donc une certaine originalité à ce texte de Nathalie Sarrault. On retrouve les idées de Philipe Lejeune du pacte autobiographique où Nathalie nous délivre ses moments difficile en espérant que le lecteur la croit. Et c’est le cas car ce texte touche et on a envie d’y croire alors qu’on aurait très bien pu penser qu’elle cherche juste à attirer le lecteur en lui faisant ressentir de la peine. Je crois que Nathalie Sarraute a écrit cette autobiographie assez tragique pour évacuer tout les sentiments perçus pendant cette période et pour se sentir soutenu par ses lecteurs.

sarraute

« haine de sa tante envers la narratrice. Ensuite je vais essayer de discerner les différentes conséquences que l'absence maternelle à créer chez lanarratrice. La narratrice est affecté par différents aspect de l'absence de sa mère car cela va la toucher psychologiquementainsi qu'émotionnellement.

La première conséquence est le faite qu'elle soit devenu le souffre douleur de la famillequi entraine d'autre conséquences comme les différentes « attaques psychologique » à son encontre.

L'exemple leplus marquant est sans doute les comparaisons négatives entre elle et sa mère.

Ces attaques ont semés un certaindoute chez la narratrice par le faite que sa nouvelle famille ne parle de sa mère que négativement, elle ne sait doncplus quoi penser de sa mère qu'elle n'a jamais vraiment côtoyer et risque donc d'adopter cette image négative carelle n'a rien de concret pour contredire ces attaques.

Le faite que la famille lui parle de sa mère alors qu'elle ne saiten vérité rien sur elle, lui procure aussi un sentiment détestable qu'on lui cache des choses.

D'autant plus qu'elledécouvre que la domestique connait sa mère (l.15).

Ce sentiment développera peut être aussi un sentiment que samère l'a peut être abandonné, elle ne doit surement pas comprendre les raisons de cette distance.

Un autre pointimportant à considérer c'est le possible différent entre sa mère et sa famille actuelle qui l'alimente peut être d'unautre doute sur le faite que sa mère est quelqu'un de mauvais.

On voit donc bien que la narratrice a de nombreuxéléments suggérant que sa mère soit une mauvaise mère.

Il serait donc assez normal de retrouver une certainesorte d'animosité envers sa mère qu'elle ne connait pas et qui lui inflige indirectement un mauvais traitement.

Laprincipale conséquence de cette absence maternelle est le risque de voir la narratrice prendre comme responsablesa mère pour cette désastreuse enfance alors qu'elle n'y ai pas vraiment pour quelque chose. Apres avoir analysé l'animosité de la famille envers la narratrice nous allons nous attarder sur ce que pense lanarratrice et sur la certaine antipathie que ressent la narratrice envers la famille de sa tante, principalement Adèle. En effet, l'animosité de la narratrice est caractérisée dès le début par la description très péjorative d'Adèle bienqu'elle ne fasse pas vraiment partie de la famille.

Mais la narratrice la considère surement comme telle car elle réagitexactement comme sa Tante envers elle.

Cette description péjorative qui contient un champ lexical riche sur lesoiseaux de proie commence par la description de son visage qui est « ridé et grisâtre » qui est bel et bien uneremarque assez négative.

La description continue par « son nez est courbé comme un bec, un coin de sa paupièrefripée retombe sur son œil » ou les adjectives négatifs prouvent bien cette animosité envers Adèle bien qu'elle nesemble pas n'avoir fait grand-chose pour mériter comme le dit la narratrice « elle n'a pas cet air redoutable ».

Elleajoute même quelques mots mélioratifs comme « vive » et « active ».

A la fin de la présentation d'Adèle, ellecontraste sa pensé avec « je n'ai jamais rien décelé chez elle rien de méchant … ni rien de bon ».

Après cettelongue description péjorative, où l'on ne comprend pas vraiment le but de la comparer à des oiseaux de proie si ellen'a pas cet air redoutable on comprend finalement que la narratrice la déteste plutôt pour le faite qu'elle travaillepour ceux qui la maltraite ou alors pour l'épisode du passage des ciseaux.

Cette haine de la famille a aussi étéproduite par le contraste péjoratif de Véra et Adèle entre Lili, fille biologique de Véra et la narratrice.

Ce contraste adu surement augmenter la haine qu'elle éprouvait pour Lili juste pour le faite d'être la fille de Véra.

Véra et Adèlepensent « alors que ces même signes sont chez les autres positifs … Chez toi les signes s'inversent » et que donclorsque Lili est décrite pour le faite qu'elle ait une santé fragile, il faut le prendre positivement en tant que qualité.En comparaison, si Nathalie est décrit avec ces mêmes mots, cela montre sa nature un peu grossière.

Cette penséemalsaine et totalement injuste prouve bien l'animosité de Véra et Adèle envers la narratrice.

Cela va bienévidemment enclencher une augmentation l'animosité de Natalie envers eux aussi.

Cette animosité réciproque n'aqu'une conséquence directe, l'augmentation des tensions. Pour conclure, je pense que la raison principale de cette enfance désastreuse est les différentes animosités ettensions retrouvé à travers les personnages.

La plus flagrante est celle de Véra envers Nathalie.

Cela est surementdu aux fait qu'elle n'assume pas son rôle de belle mère.

Une enfance sans mère est difficile à vivre donc on peutaussi prendre l'absence maternelle comme source principale de cette enfance malheureuse.Je trouve que le thème d'une autobiographie de l'enfance tragique est beaucoup moins représenté car il est plusdifficile de parler des moments difficile que des grands moments vécu dans une vie.

Nathalie Sarraut réussi a traversce passage à nous plonger dans son malheur et provoque chez le lecteur une certaine peine.

Dans les autresautobiographies, le but est plutôt d'épater le lecteur et ceci amène donc une certaine originalité à ce texte deNathalie Sarrault.

On retrouve les idées de Philipe Lejeune du pacte autobiographique où Nathalie nous délivre sesmoments difficile en espérant que le lecteur la croit.

Et c'est le cas car ce texte touche et on a envie d'y croirealors qu'on aurait très bien pu penser qu'elle cherche juste à attirer le lecteur en lui faisant ressentir de la peine.

Jecrois que Nathalie Sarraute a écrit cette autobiographie assez tragique pour évacuer tout les sentiments perçuspendant cette période et pour se sentir soutenu par ses lecteurs.. »

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