Composition mondialisation

La révolution industrielle de 1850 à 1939 crée un climat de doute dans l’Europe. Les transformations économiques et sociales modifient les pratiques religieuse et culturel. La science et la religion s’opposant dans leurs idées et valeurs lutte dans une guerre culturelle. Les ouvriers ne pratique que très peu leur religion et la science fait de plus en plus d’adeptes. L’Eglise met donc en place des mesures de re-christianisation. Mais à l’approche des guerres du XXème la science tout comme la religion se décrédibilisent.

La science triomphe tandis que la religion est en recul. En effet, les découvertes scientifiques se multiplient à partir de 1850, et la confiance en la science devient illimitée. Comme par exemple avec la découverte avec Darwin en 1859 qui présente sa  théorie de l’évolutionnisme et son livre De l’origine des espèces mais cette théorie de l’évolutionnisme s’oppose avec le créationnisme qui représente la religion. La science commence à pouvoir tout expliquer et devient une « nouvelle religion ».

Tandis que la science domine la religion est en recul à cause des progrès de l’enseignement qui permettent aux individus de pouvoir exprimer leurs propres opinions et qui met en place a laïcité dans les écoles avec la loi de Jule Ferry. De plus, l’Urbanisation crée une baisse des pratiques religieuses surtout dans la classe ouvrière. On va même jusqu'à parler de déchristianisation, la religion n’est plus adaptée à la société.

Toutefois, la religion tente de s’adapter au monde industriel alors que le primat de la science est remis en cause. Pour reconquérir ceux qui se sont détournés de la religion, principalement le monde ouvrier, l’Eglise utilise une encyclique : Le Rerum Novarum en 1891. Le pape Léon XIII explique que l’Eglise s’intéresse à la classe ouvrière. Cette encyclique donne naissance au catholicisme social et on voit l’apparition de syndicats chrétiens ainsi que d’autres associations comme l’armée du salut et surtout en 1926 la Jeunesse Ouvrières Chrétiennes (JOC). Puis l’Eglise tente de raviver la flamme Chrétienne en créant une renaissance spirituelle avec la colonisation où elle envoi des missionnaires mais aussi avec des pèlerinages comme à Londres à Rome et à Fatima au Portugal. Pendant cette réhabilitation de la religion, le primat de la science est remis en cause. En effet, avec le scientisme qui consiste à tout expliquer par la science comme le social avec Karl Marx ou la médecine avec Pasteur, mais surtout  la classification des espèces qui explique que des races sont différentes des autres, c’est la naissance de l’antisémitisme. Cette découverte justifier par la science fait que la science commence à tuer et sème le doute chez ses adeptes.

III- Les guerres du XXème siècle sont une période de doute pour la science comme pour la religion.

1- La rationalisation. Exemple : Max Weber 2- Crise de l’esprit Exemple : Hiroshima/ Nagasaki

Pour conclure, la révolution industrielle a sorti l’Europe de son obscurantisme. La science a permis des avancées considérable, la religion a prouvé sa capacité d’adaptions mais toutes les deux ont été décrédibilisé par les guerres. On peut se demander si cette « lutte » continue de nos jours.