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CONSEILS MÉTHODOLOGIQUES

Publié le 14/02/2011

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A L'ÉPREUVE ANTICIPÉE DE FRANÇAIS on vous propose trois types de sujets : — au choix, un résumé ou une analyse de texte, suivi de la discussion d'un problème posé par le texte; — un commentaire composé; — une dissertation sur un sujet littéraire général. Voici quelques conseils sur la façon d'aborder et de traiter chacun d'eux. I. — LE RÉSUMÉ OU L'ANALYSE DE TEXTE, SUIVI D'UNE DISCUSSION. Rappelons comment la circulaire ministérielle définit ce type de sujet : Il « porte sur un texte d'une à deux pages qui présentent en des termes aisément accessibles des réflexions ou des sentiments. Le candidat doit en faire, suivant sa préférence, soit un résumé opérant une simple réduction du passage, dont il respecte le mouvement, soit une analyse qui, distinguant et ordonnant les thèmes, s'attache à rendre compte de leurs rapports «... « Après ce résumé ou cette analyse, le candidat est invité à dégager du texte un problème qu'il juge important, à en préciser les données, à les discuter s'il y a lieu et à exposer, en les justifiant, ses propres vues sur la question «. Pour cet exercice très particulier, nous vous proposons une méthode de travail : a) approche : lire le texte lentement, lier connaissance avec lui. Tirer tous les renseignements possibles du titre, s'il y en a un, et de l'auteur : ce que vous en savez peut éclairer la pensée. b) Cette première lecture vous permet de dégager l'idée générale, maîtresse, celle autour de laquelle tout s'ordonne. Recherchez alors la structure, repérez les articulations. La division du texte en paragraphes pourra vous aider. Découvrez le lien logique entre les idées qui s'éclairent, se complètent, s'opposent. Relevez les mots de liaison, toujours significatifs : et, car, d'ailleurs, par contre, de plus, etc. Le travail préalable est terminé. Il vous faut maintenant choisir entre Y analyse et le résumé. L'analyse : le passage proposé est souvent extrait d'un article de journal, de revue, d'une conférence, d'un roman... L'auteur n'a pas cherché à conduire une démonstration; il a voulu intéresser, plaire. Vous devez donc, après avoir, au préalable, dégagé toutes les idées importantes, les ordonner logiquement en vue de la conclusion finale. Ne craignez donc pas de reconstruire le texte. Nous insistons : considérez chacune des idées du texte comme un maillon dans une chaîne. Si vous croyez devoir conserver l'ordre de ces maillons, dites vos raisons; si vous le modifiez, que ce soit pour donner plus de rigueur aux rapports logiques des idées entre elles. Le résumé : vous devez respecter le mouvement, l'ordre du texte. Il s'agit d'exprimer l'essentiel de la pensée en éliminant tous les mots accessoires : — ne découpez pas dans le texte une phrase ici et une phrase là. Leur juxtaposition ne donnerait pas un résumé, — ne tombez pas dans le style télégraphique : les phrases doivent être dépouillées mais correctes, — émondez les adjectifs inutiles, les adverbes, les images, les développements oratoires qui explicitent ou embellissent sans rien ajouter de fondamental. En combien de mots résumer un texte? Il n'y a pas de règle mathématique. La réduction d'une page dense, riche de pensée, exigera plus de mots que celle d'une page où l'auteur aura pris ses aises. Une seule règle donc : rien d'inutile. Sans doute est-il bon de conserver certains mots importants du texte, mais vous pouvez faire preuve d'originalité dans le vocabulaire et, surtout, rechercher des tournures de phrases plus denses et plus économiques. N'affectez pas a priori un « crédit de mots « à chaque paragraphe, selon sa longueur. C'est l'importance des idées exprimées qui doit vous guider. Enfin, une condensation (ou réduction) ne se fait pas d'un seul coup mais par « distillations « successives. Effectuez une première élimination, puis, en vous reportant constamment au texte, arrivez peu à peu à l'essentiel complètement dépouillé de l'accessoire. La discussion d'un problème : c'est la partie la plus personnelle de votre travail. Sachez conserver du temps pour elle : — il s'agit tout d'abord de découvrir le problème jugé important : ce choix sera déjà significatif de votre lucidité, — en le faisant, tenez compte de vos connaissances mais faites preuve de sincérité. L'idée discutée doit, autant que possible, vous intéresser. — commencez par délimiter, définir exactement le passage choisi. Replacez l'idée qu'il exprime dans son contexte historique, social, voire philosophique (au sens le plus simple du terme), — discutez ensuite, mais seulement ensuite. Cela ne veut pas dire qu'il faut prendre systématiquement le contre-pied du texte. Ni rejet mal justifié, ni acceptation passive. Il est vraisemblable que la discussion vous conduira à des réserves, à la fixation de certaines limites. Tenez compte du moment où a été écrit le texte : dans ce dernier quart de siècle, nous ne recevons pas une idée comme le faisaient les contemporains de l'auteur : — n'hésitez pas à exposer vos propres vues sur la question, mais en gardant une certaine mesure dans les termes. Ne tranchez pas avec une belle intrépidité, — enfin, ne jetez pas en désordre toutes les idées qui vous viennent à l'esprit. Organisez les données de la discussion en vue de la conclusion sur laquelle vous voulez déboucher. II. — LE COMMENTAIRE COMPOSÉ. C'est un exercice difficile et qu'il ne faudra pas choisir seulement parce que vous redoutez les deux autres sujets. Procédez d'abord comme pour le Résumé : pénétration progressive du texte, dégagement de l'idée maîtresse, découverte de la structure, de la démarche logique de la pensée. Enfin, étude de l'expression, de ses nuances. Définissez le ton : moquerie, lyrisme, éloquence... — ne perdez pas de vue le genre littéraire auquel appartient le texte. Un passage extrait d'une tragédie ou d'une comédie, d'un roman ou d'un poème, d'un article de revue ou de journal ne sont ni composés ni écrits de même façon, — un écrivain appartient, le plus souvent, à une École littéraire, à un mouvement. Il faut en tenir compte pour la compréhension du texte, — de même il faut parfois connaître le mouvement des idées au moment où l'œuvre a été écrite, sans parler des idées de l'auteur lui-même : comment interpréter correctement une page de Montaigne si l'on ne songe pas à sa philosophie de la vie, de Pascal si on ne sait rien du Jansénisme, de Camus si on ignore tout de son attitude devant l'absurdité de la vie? — enfin, un texte est rarement un tout isolé : il est extrait d'une pièce de théâtre, d'un roman, d'un poème. Il faut chercher à le situer dans l'œuvre. Les conditions préalables à l'approche lucide et attentive du texte étant maintenant définies, comment réaliser le travail demandé? Souvenez-vous qu'il s'agit d'un commentaire composé, c'est-à-dire qu'il ne suffira pas de suivre le texte ligne par ligne, voire paragraphe par paragraphe; il faudra classer en fonction de l'orientation que l'on entendra donner au commentaire. a) SITUER LE TEXTE : ce sera, le plus souvent, l'introduction du devoir. On situe — dans l'œuvre — dans la vie de l'auteur — par rapport à l'histoire, à l'époque, selon le cas. b) DÉGAGEMENT DE L'IDÉE MAITRESSE c) ANALYSE DÉTAILLÉE : évitez — de négliger l'expression. Vous devez arriver à l'idée, au sentiment en passant par les mots, en tenant compte de leur agencement dans la phrase, dans le vers, — de buter sur chaque terme, d'enfiler des explications superflues

de mots. Vous devez étudiez l'expression en fonction de ce qu'elle exprime et non pour elle-même. La distinction tranchée du fond et de la forme est artificielle : l'écrivain ne se demande pas : — que veux-je dire? — comment vais-je le dire? Le fond commande la forme, les mots ne sont que des instruments. Donc, une explication de mot, de tournure, de figure n'est pas une fin en soi. Elle doit être ramenée à la pensée, au sentiment qu'ils expriment d'une façon originale, imagée, pittoresque, etc. Même remarque à propos de la métrique, si le texte est en vers. Il est sans intérêt de constater qu'il s'agit d'alexandrins ou d'octosyllabes, de tel ou tel type de strophe. Recherchez dans quelle mesure le rythme des vers épouse celui de la pensée, des sentiments. Relisez une fable de La Fontaine en prêtant attention à ce constant accord (Ex. : Les Animaux malades de la peste). d) Mais, allez-vous vous demander, si le plan fond — forme est rarement bon, comment procéder pour aboutir à un commentaire composé à partir de l'analyse du détail? Disons d'abord qu'il n'y a pas de plan-type, préfabriqué, dont on remplirait artificiellement les cases. — de la page proposée, dégagez d'abord l'idée maîtresse, le sentiment dominant puis faites l'inventaire des éléments utilisés par l'auteur pour son récit, son analyse, sa démonstration, etc. et recherchez l'enchaînement logique de ces éléments. — mais n'oubliez pas que vous devez faire un commentaire composé. Il vous appartient donc de tout ordonner autour de la démonstration que vous avez décidé de faire à partir du texte. Par exemple : — montrer que telle fable a les caractères d'une petite épopée, — définir la rêverie d'après une page de Rousseau, — faire apparaître l'émotion cachée sous l'impassibilité apparente dans un poème parnassien, — mettre en lumière l'attitude malgré tout optimiste de Camus devant l'absurdité de la vie, etc. Vous allez donc organiser votre commentaire de façon à ce que chacune de ses parties étudie un des aspects du texte, quitte à en modifier l'ordre pour atteindre à plus de rigueur logique. Composer c'est, parfois, recomposer. Il vous restera à conclure. Il serait maladroit de terminer en tournant court après le commentaire du dernier élément du texte. Il vous faut dégager l'idée d'ensemble, essayer d'élargir la pensée, de la dépasser, d'en montrer toute la portée, mais aussi de la critiquer, de la limiter si vous le jugez nécessaire. Nous voudrions, enfin, vous avoir convaincus que le commentaire de texte exige un bagage littéraire et historique assez abondant. Vous aurez du mal à comprendre pensée ou sentiments si vous ne savez pas très bien qui était (ou est) l'auteur, quand il vivait, à quels événements il a été mêlé... Rien de tout cela ne s'improvise ou s'acquiert en un rapide « bachotage «; cultivez-vous un peu chaque jour, et surtout par la lecture. III. — LE SUJET LITTÉRAIRE GÉNÉRAL Le texte officiel définit ce troisième sujet très précisément. Il appelle quelques remarques : — plus de « questions de cours «, désespoir des ignorants mais planche de salut pour ceux qui s'en sortaient en développant des « topos « bien appris, — plus de sujets portant sur une œuvre précise, — à propos d'un problème littéraire général, on vous demande de développer des opinions personnelles, d'être sincère. Certains vont penser que ce type de sujet est infiniment plus facile que ne l'étaient naguère les dissertations portant sur des œuvres. En fait, ce travail personnel sur un sujet assez vaste est beaucoup plus délicat : — il ne vous dispense pas de connaître les œuvres essentielles, les principes des Écoles littéraires, l'évolution des idées... Un sujet proposé à Dijon porte sur « les grands romans « : lesquels connaissez-vous? — votre développement doit être révélateur de votre culture, de votre jugement, de votre goût : comme le commentaire de texte, le sujet littéraire suppose des lectures nombreuses et précises, des connaissances littéraires et historiques. Sans elles, vous diluerez un développement vide, vous enfilerez des banalités, des lieux communs à longueur de pages. Quelques conseils de MÉTHODE : — d'abord, comprendre le sujet; posez-vous la question connue : de quoi s'agit-il? Il vous faut peser, analyser tous les mots importants. Voyez le sujet sur le rire proposé à Bordeaux. Les mots « retranche, exclut, agresse « et, plus loin, « détend, désarme, relie « doivent être analysés si l'on ne veut pas tomber dans des banalités sur le comique, — essayez aussi de définir le sujet par son encadrement. Une définition de la poésie faite par Du Bellay, Malherbe, Boileau, Diderot ou Hugo — sans parler des contemporains — prend son sens vrai par rapport à l'époque, aux idées littéraires de l'écrivain lui-même, — le sujet compris et délimité, il vous faut partir à la recherche des idées dont vous allez nourrir votre développement. D'une part, battez le rappel de vos connaissances : vous ne pouvez prétendre tout réinventer; mais n'oubliez pas qu'il s'agit d'exprimer vos « réactions authentiques «. Demandez-vous si c'est bien ainsi que vous concevez le roman ou la comédie, la poésie ou le rire. La lecture du sujet a provoqué en vous une réaction d'accueil ou de refus ou, encore, d'accueil partiel. C'est cette réaction qu'il faut exposer, mais en la motivant solidement, — les idées que vous avez ramassées autour du sujet, il va falloir les organiser solidement, comme le précisent les Instructions. Persuadez-vous d'abord qu'il n'existe pas de plans types. La structure dépend du sujet. Tel sujet est polémique ; il s'agit de discuter un jugement avec lequel vous n'êtes pas d'accord — ou pas tout à fait. Dans ce cas, analysez d'abord la pensée de l'auteur puis montrez-en les limites et terminez en exposant votre propre attitude. Tel autre est une analyse (le sujet de Dijon sur les grands romans). Il faudra reprendre, en les recomposant peut-être, les éléments du texte pour arriver à conclure. Parfois, le plan est indiqué dans l'énoncé du sujet, parfois aussi vous êtes obligé de le découvrir. Si l'on vous demande : « Comment concevez-vous la culture? «, le seul plan possible consistera en une mise en ordre des idées que vous aurez découvertes. Vous pourrez, par exemple, procéder par élimination : — ce que la culture n'est pas pour vous (peut-être : élimination de tout ce qui est strictement livresque...), en expliquant vos raisons — puis, ce qu'elle est, en ordonnant les éléments retenus (peut-être : le contact des autres hommes, la connaissance des pays étrangers, certains arts, etc.) — quand vous vous trouvez à la tête d'un certain nombre d'idées, d'arguments, de faits, groupez ce qui est de même nature. Il est souvent bon de procéder par gradation : d'abord ce qui est moins important, moins probant, pour finir par ce qui a le plus de poids, par ce qui est le plus élevé. Les problèmes individuels de la culture viendront avant les problèmes sociaux; vous pourrez ensuite vous demander s'il existe une culture internationale et terminer par une interrogation : à quoi bon la culture? Cette mise en question constituant la conclusion. Car il faut toujours conclure. Pour cela, il ne suffit pas de résumer simplement ce qui a été dit dans le développement. Il faut faire le bilan de la démonstration ou de l'analyse et en tirer un enseignement, une leçon. Il faut aussi essayer d'élargir, d'ouvrir des perspectives... Faut-il ajouter que l'écriture doit être lisible, que l'on vous pardonnera quelques erreurs orthographiques, sans plus. Pour donner plus de clarté à votre texte, divisez-le en paragraphes; vous mettrez mieux en évidence la structure du développement. Pour finir, voici la définition que l'on pourrait donner de votre devoir : quatre ou cinq pages, correctement écrites et orthographiées, témoignant de connaissances générales certaines et ordonnées de façon logique pour esquisser une solution personnelle au problème posé par le sujet ou le texte.   

« — il s'agit tout d'abord de découvrir le problème jugé important : ce choix sera déjà significatif de votre lucidité, — en le faisant, tenez compte de vos connaissances mais faites preuve de sincérité.

L'idée discutée doit, autantque possible, vous intéresser. — commencez par délimiter, définir exactement le passage choisi.

Replacez l'idée qu'il exprime dans son contextehistorique, social, voire philosophique (au sens le plus simple du terme), — discutez ensuite, mais seulement ensuite.

Cela ne veut pas dire qu'il faut prendre systématiquement le contre-pied du texte.

Ni rejet mal justifié, ni acceptation passive.

Il est vraisemblable que la discussion vous conduira à desréserves, à la fixation de certaines limites. Tenez compte du moment où a été écrit le texte : dans ce dernier quart de siècle, nous ne recevons pas une idéecomme le faisaient les contemporains de l'auteur :— n'hésitez pas à exposer vos propres vues sur la question, mais en gardant une certaine mesure dans les termes.Ne tranchez pas avec une belle intrépidité, — enfin, ne jetez pas en désordre toutes les idées qui vous viennent à l'esprit.

Organisez les données de ladiscussion en vue de la conclusion sur laquelle vous voulez déboucher. II.

— LE COMMENTAIRE COMPOSÉ. C'est un exercice difficile et qu'il ne faudra pas choisir seulement parce que vous redoutez les deux autres sujets. Procédez d'abord comme pour le Résumé : pénétration progressive du texte, dégagement de l'idée maîtresse,découverte de la structure, de la démarche logique de la pensée.

Enfin, étude de l'expression, de ses nuances.Définissez le ton : moquerie, lyrisme, éloquence... — ne perdez pas de vue le genre littéraire auquel appartient le texte.

Un passage extrait d'une tragédie ou d'unecomédie, d'un roman ou d'un poème, d'un article de revue ou de journal ne sont ni composés ni écrits de mêmefaçon, — un écrivain appartient, le plus souvent, à une École littéraire, à un mouvement.

Il faut en tenir compte pour lacompréhension du texte, — de même il faut parfois connaître le mouvement des idées au moment où l'œuvre a été écrite, sans parler desidées de l'auteur lui-même : comment interpréter correctement une page de Montaigne si l'on ne songe pas à saphilosophie de la vie, de Pascal si on ne sait rien du Jansénisme, de Camus si on ignore tout de son attitude devantl'absurdité de la vie? — enfin, un texte est rarement un tout isolé : il est extrait d'une pièce de théâtre, d'un roman, d'un poème.

Il fautchercher à le situer dans l'œuvre. Les conditions préalables à l'approche lucide et attentive du texte étant maintenant définies, comment réaliser letravail demandé? Souvenez-vous qu'il s'agit d'un commentaire composé, c'est-à-dire qu'il ne suffira pas de suivre le texte ligne parligne, voire paragraphe par paragraphe; il faudra classer en fonction de l'orientation que l'on entendra donner aucommentaire. a) SITUER LE TEXTE : ce sera, le plus souvent, l'introduction du devoir.

On situe — dans l'œuvre — dans la vie del'auteur — par rapport à l'histoire, à l'époque, selon le cas. b) DÉGAGEMENT DE L'IDÉE MAITRESSE c) ANALYSE DÉTAILLÉE : évitez — de négliger l'expression.

Vous devez arriver à l'idée, au sentiment en passant par les mots, en tenant compte deleur agencement dans la phrase, dans le vers, — de buter sur chaque terme, d'enfiler des explications superflues de mots.

Vous devez étudiez l'expression en fonction de ce qu'elle exprime et non pour elle-même. La distinction tranchée du fond et de la forme est artificielle : l'écrivain ne se demande pas : — que veux-je dire? —comment vais-je le dire? Le fond commande la forme, les mots ne sont que des instruments. Donc, une explication de mot, de tournure, de figure n'est pas une fin en soi.

Elle doit être ramenée à la pensée, au. »

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