Devoir de Philosophie

Explication du texte d'Emmanuel Kant

Publié le 04/11/2012

Extrait du document

kant
  Grammaticalement, le ‘je’ est un pronom qui marque la 1ère personne du singulier, philosophiquement, il fait l’hypothèse d’une substance, soit d’un être. L'extrait du texte d’Emmanuel Kant, intitulé Anthropologie du point de vue pragmatique, se concerne par la description de la personne, et à ce qui fait qu'elle ne peut être considérée comme une ‘chose’. L’auteur accentue le rôle du ‘Je’ dans le logos, en examinant son pouvoir dans le dessein que nous avons de nous-mêmes. La forme du texte est explicative et descriptive. Kant éclairci ce qui est la, devant nous mais difficile a comprendre. Nous pouvons diviser ce texte en deux parties : Tout d’abord la spécificité de l’homme et sa supériorité indéniable, puis l’évolution progressive et irréversible de l’homme via sa capacité de penser.       ‘Posséder le Je dans sa représentation’, ainsi Kant établie sa thématique dés sa première phrase. Il fait de sorte comprendre que chaque action réalisable nécessite la présence d’un sujet, d’un ‘je’. L’homme qui exprime son ‘je’ se représente alors comme artiste de ces œuvres et actions, il prend conscience de soit même.     Le premier paragraphe propose le suivant : L’aptitude qu’a l’homme de dire ‘je’ lui permets d’être représenter comme transcendant aux autres êtres vivants. Le ‘je’ est par définition, la capacité de verbaliser, et de se distinguer radicalement de l’humanité, il est donc la faculté de penser, soit, la conscience. L’homme ne réagit pas, il agit, il est donc sujet conscient, différent de l’animal prédéterminer par ces instincts. Le ‘je’ donne a l’être Humain le lógos (« parole, discours «), et, chaque ‘je’ étant différent, l’Homme en soit est imprévisible. Il  administre alors  à l’homme la faculté d’être représenter comme individus et non espèce, donc animal. La conscience joint au savoir, permet à l’être humain d’être actant ainsi qu’observateur d’un acte. La encore, une différence est à noter entre l’homme et l’animal puisque lui agit et réagit, et le dernière ne fait que réagir. Le ‘je’ est une manifestation de sentiments imprévisible puisque changeant.      Le sujet qualifié de conscient est celui qui se remet en question, prend le risque du doute de soit et d’incertitude. L’œuvre de la conscience peut donc être hasardeuse si elle n’arrive vas a accéder a une vérité ou a une connaissance absolue, caractéristiques de sujet conscient, donc libre. La conscience peut tout de même, si elle y arrive, faire sortir le sujet de la doxa et de préjuger. De facto, il faut alors penser par soit même, contre ces propre pensées, donc, se remettre en question. Penser ainsi nécessite plus particulièrement la présence d’un esprit jeune et vierge, qui n’as pas encore était affectée par les opinions et les préjuger d’autrui. Montaigne démontrera cette démarche lui-même en affirmant ‘Je doute même de moi qui doute’               Dans la dernière partie de son texte, Kant propose le suivant : l’enfant devient sujet lorsqu’il s’attribut un ‘je’. Il n’était avant que ‘se sentir’, sa connaissance de lui-même n’était basée que sur des sensations.     La manière par laquelle l’homme perçoit le monde diffère de celle de l’animal. La sensibilité que possède l’être humain lui permet de  recevoir le monde, et de l’organiser a travers son ‘je’ alors que l’animal ne fait que recevoir. Le pouvoir de l’homme est donc le suivant : il arrive à accéder au monde a travers son ‘je’ et sa conscience unificatrice. Le sujet voit donc le monde a travers ses sens joint a sa conscience. C’est la réception par les sens qui se voit comme manifeste du ‘je’. Le même monde que plusieurs homme pourrai percevoir ne serrait pas le même pour chacun d’entre eux puisque les ‘je’ dont ils sont doter sont uniques en leurs genres. Le monde que perçoit l’homme n’est ainsi pas perçu entent que dépendant mais entant que recette du ‘je’ et de la conscience du sujet. La vision du monde appartenant a un être serait donc subjective, nous parlerons pourtant du ‘je universel’.    A sa naissance, l’homme, plus précisément, l’enfant, est considéré comme animal, comme étant choses parmi d’autres. Puisqu’il ne verbalise pas le ‘je’ avant un certain âge. Avant de dire je, étant considéré comme sorte d’animal, il fait un avec la nature. On ne peut le distinguer entant qu’individu unique, il ne fait que sentir, sans présence d’un ‘je’ ou d’une conscience quelconque, il réagit, et n’agit pas, le niveau de ses sens est purement sentimental ou instinctive. On assiste alors, au cour du temps,  a des balbutiements et bégaiements, des sortes de manifestation du ‘je’, de la sensation de sa propre présence. Le potentiel de conscience s’amplifie alors avec l’arriver du logos, donc, du langage. L’enfant prend ainsi conscience de soit, se désigne par son prénom, et plus tard, advient le jour ou le ‘je’ est prononcé. L’enfant peut à présent être considéré comme un être, il n’est plus superposer au monde, il le dépasse, devient unique et affirme son identité. C’est ainsi qu’à lieu l’éveille de la conscience de soi, celle qui se reconnait comme étant. Elle affirme sont pouvoir et sa présence par la manifestation des gestes et du logos du sujet, le sujet ayant alors le titre de responsable puisque conscient. Voila, L’être libre, morale et indéterminé.  
kant

« différence est à noter entre l'homme et l'animal puisque lui agit et réagit, et le dernière ne fait que réagir.

Le 'je' est une manifestation de sentiments imprévisible puisque changeant.      Le sujet qualifié de conscient est celui qui se remet en question, prend le risque du doute de soit et d'incertitude.

L'oeuvre de la conscience peut donc être hasardeuse si elle n'arrive vas a accéder a une vérité ou a une connaissance absolue, caractéristiques de sujet conscient, donc libre.

La conscience peut tout de même, si elle y arrive, faire sortir le sujet de la doxa et de préjuger.

De facto, il faut alors penser par soit même, contre ces propre pensées, donc, se remettre en question.

Penser ainsi nécessite plus particulièrement la présence d'un esprit jeune et vierge, qui n'as pas encore était affectée par les opinions et les préjuger d'autrui.

Montaigne démontrera cette démarche lui-même en affirmant 'Je doute même de moi qui doute'               Dans la dernière partie de son texte, Kant propose le suivant : l'enfant devient sujet lorsqu'il s'attribut un 'je'. Il n'était avant que 'se sentir', sa connaissance de lui-même n'était basée que sur des sensations.     La manière par laquelle l'homme perçoit le monde diffère de celle de l'animal.

La sensibilité que possède l'être humain lui permet de  recevoir le monde, et de l'organiser a travers son 'je' alors que l'animal ne fait que recevoir.

Le pouvoir de l'homme est donc le suivant : il arrive à accéder au monde a travers son 'je' et sa conscience unificatrice.

Le sujet voit donc le monde a travers ses sens joint a sa conscience.

C'est la réception par les sens qui se voit comme manifeste du 'je'.

Le même monde que plusieurs homme pourrai percevoir ne serrait pas le même pour chacun d'entre eux puisque les 'je' dont ils sont doter sont uniques en leurs genres. Le monde que perçoit l'homme n'est ainsi pas perçu entent que dépendant mais entant que recette du 'je' et de la conscience du sujet.

La vision du monde appartenant a un être serait donc subjective, nous parlerons pourtant du 'je universel'.    A sa naissance, l'homme, plus précisément, l'enfant, est considéré comme animal, comme étant choses parmi. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles