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genres - littérature.

Publié le 28/04/2013

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genres - littérature. 1 PRÉSENTATION genres (littérature), groupement de textes littéraires réunis par la tradition sous une appellation donnée en raison de certaines caractéristiques communes. La notion de genre en littérature est assez insaisissable bien qu'existant depuis Aristote. Qu'elle s'attache à la forme, à l'objet ou combine les deux, elle a toujours suscité l'intérêt des plus grands écrivains et critiques, qui ont cherché à la théoriser, à la comprendre ou même à la rejeter. Face à la passion qu'elle déchaîne, surtout depuis le XXe siècle, elle n'a pourtant jamais cessé de s'imposer comme une des façons, peut-être la plus naturelle, de classer et catégoriser des oeuvres littéraires. 2 HISTOIRE ET PROBLÉMATIQUE DE LA CLASSIFICATION PAR GENRE 2.1 Les genres dans la Grèce antique Aristote, dans sa Poétique, a distingué le premier des genres rhétoriques sous le nom d'« espèces « (eidos). Les trois axes génériques créés par Aristote, c'est-à-dire l'épique, le dramatique et le lyrique, ont servi de base à une théorie du genre qui a été perpétuée pendant des siècles et qui, au XXe siècle, est remise en question, même si elle est encore largement utilisée. Au fil du temps en effet, les trois axes dont Aristote a fixé les limites sous forme de prescription (c'est-à-dire « voilà comment il faut faire «) ont perdu en partie de leur sens avec l'évolution des matières littéraires. En effet, si le dramatique existe toujours mais s'est renouvelé peu à peu, l'épique s'est profondément transmué avec la mort de l'épopée grecque et la naissance du roman. Déjà avant Aristote, Platon dans le livre III de la République esquissait une classification par genre et distinguait le narratif (l'ancien dithyrambe), le mimétique (la mimesis, le théâtre), le mixte narratif-mimétique (l'épopée). 2.2 Les genres dans la Rome antique Dans la Rome antique, plusieurs tentatives de classification des oeuvres littéraires, en fonction de leur contenu et de leur forme ou selon une adéquation du contenu, de la forme et du ton, sont entreprises. Les écrivains latins sentent cependant déjà que toutes les innovations littéraires s'accompagnent de la nécessaire évolution de la notion de genre. Quintilien tente dans le Livre X de l'Institution oratoire de redéfinir une classification en ajoutant les trois principaux genres oratoires (Quintilien est avocat), à savoir le genre judiciaire, le genre épidictique ou démonstratif et le genre délibératif ou sumbouleutique (du grec sumbouleuo, « conseiller, délibérer «). Cicéron, dans De l'orateur, s'attache pour sa part au style (lexique, mètre, image) pour classer les genres (genera), qu'il appelle les genera dicendi (« genres de style «). Il distingue ainsi les genus humile (bas), genus medium (moyen) et genus sublime ou vehemens (élevé). Le grammairien Diomède à son tour distingue trois genres principaux, comprenant chacun des sous-catégories ou espèces (species) : le genre imitatif (pas d'intervention du poète : tragédie, comédie, pastorale, etc.), le genre narratif (parole du seul poète : littérature gnomique, sentences, poésie didactique, etc.) et le genre commun (parole des personnages et du poète : épopée, poésie lyrique, etc.) 2.3 Les genres au Moyen Âge Au Moyen Âge, les différents héritages se côtoient : une hiérarchie des genres, toujours classés sous forme de triade, est clairement exposée dans la théorie de la roue de Virgile ( rota Virgilii), développée par le grammairien Aelius Donatus (Donat, IVe siècle) à partir de trois des oeuvres du poète latin : les Bucoliques, les Géorgiques, et l'Énéide. Il reprend les genres de style inspirés de la théorie de Cicéron, ie simple, humble (humilis stylus), moyen (mediocris stylus), élevé, sublime (gravis stylus), qu'il accompagne d'autres critères comme le rang social des personnages (tres status hominem) : pastor otiosus (le berger), agricola (le laboureur), miles dominans (le guerrier). Perdurent également au Moyen Âge les théories du genre imitatif d'Aristote et des genres oratoires de Quintilien, ie le judiciaire, le délibératif et le démonstratif. 2.4 Les genres aux XVIIe et XVIIIe siècles Avec la Renaissance, l'imitation des Anciens fixe les genres antiques de manière prescriptive et normative. Le mot « genre « apparaît d'ailleurs à cette époque. Nicolas Boileau, dans son Art poétique, reprend les trois « grands genres « hérités d'Aristote (tragédie, épopée, poésie) et dénombre plusieurs « genres secondaires « (églogue, élégie, ode, sonnet, épigramme, rondeau, madrigal, satire et vaudeville). Au XVIIIe siècle, avec Georg Wilhem Friedrich Hegel, dans l'Esthétique (parution posthume, 1835-1838), l'épique exprime la conscience d'un peuple, le lyrique exprime le moi individuel, le dramatique « réunit les deux précédentes pour former une nouvelle totalité qui comporte un déroulement objectif et nous fait assister en même temps au jaillissement de l'intériorité individuelle «. Les romantiques, notamment allemands, adoptent cette triade lyrisme-épopée-drame, mais s'essaient à un mélange des genres, se libérant ainsi de leur caractère prescriptif et normatif, jusqu'alors admis. 2.5 Au XIXe Les genres aux XIXe et XXe siècles siècle, la poésie, le récit (ou roman) et le théâtre semblent devenir les « genres majeurs «. Ferdinand Brunetière, dans l'Évolution des genres dans l'histoire de la littérature (1890), calque sa théorie sur celle de l'évolution et admet que les genres littéraires ont une vie propre, qu'ils naissent, grandissent, atteignent un degré de maturité puis déclinent et meurent. Il note par ailleurs qu'ils se différencient comme les espèces, subissant la loi de la sélection naturelle, et qu'ils sont soumis à un engendrement évolutif. Il ajoute qu'« en littérature comme en art -- après l'influence de l'individu --, la grande action qui opère, c'est celle des oeuvres sur les oeuvres. Ou nous voulons rivaliser, dans leur genre, avec ceux qui nous ont précédés ; et voilà comment se perpétuent les procédés, comment se fondent les écoles, comment s'imposent les traditions ; ou nous prétendons faire autrement qu'ils ont fait ; et voilà comment l'évolution s'oppose à la tradition, comment les écoles se renouvellent, et comment les procédés se transforment «. À sa théorie s'oppose la vision de Beneditto Croce, qui considère les genres littéraires comme des « pseudo-concepts «, des « étiquettes « destinés aux classements des libraires et bibliothécaires. Dans les années 1950, avec Maurice Blanchot, ou dans les années 1960-1970, avec Roland Barthes, la notion est mise à mal, et les tentatives de la rendre obsolète se multiplient. 3 LES GENRES ET LA CRITIQUE : LES GENRES EXISTENT-ILS ? La notion de genre littéraire pose en effet au XXe siècle un véritable problème aux critiques et théoriciens littéraires, et toutes les questions qu'elle soulève restent sans réponse évidente et partagée malgré les différentes tentatives d'approches (historiques, rhétoriques, linguistiques, sociocritiques, thématiques, etc.). C'est une réelle querelle qui naît pour définir si la notion de genre existe ou non. Alors que Ludwig Wittgenstein parle de reconnaître un « air de famille « (Familienähnlichkeiten), le débat sur les critères d'une telle classification est passionné. 3.1 Le statut du genre remis en question La classification héritée de celle d'Aristote est considérée au cours du XXe siècle en certains points comme arbitraire car, selon Tzvetan Todorov, la classification par genre repose « rarement sur une idée claire et cohérente du statut du genre lui- même «. Pour certains, en effet, le genre semble alors être une étiquette trop stricte et réductrice qui ne peut être justifiée. Le critique Karl Viëtor s'interroge quant à lui : « est-il possible d'écrire l'histoire des genres, quand aucune norme du genre ne peut être fixée au préalable, et quand, au contraire, cette norme du genre ne peut être établie qu'après une vue d'ensemble sur toute la masse des oeuvres individuelles apparues dans l'histoire ? « (« l'Histoire des genres littéraires «, Poétique, 1977). Et le critique Paul Hernadi d'ironiser : « il a souvent été plus facile de construire des systèmes de classification générique que d'en éviter d'inutiles « (1972). De fait, tout genre est en mouvement, et ses frontières se muent avec l'apparition de nouveaux textes, qui le remettent sans cesse en question (notamment la littérature du XXe siècle, qui bouscule les genres jusqu'alors « édifiés «, voire qui les met à mal). En effet, selon le philosophe Benedetto Croce, « toute oeuvre d'art vraie a violé un genre établi et dérangé les idées des critiques, qui ont été forcés d'élargir le genre « (Esthétique comme science de l'expression et linguistique générale, 1902). Gérard Genette préconise alors de considérer les genres littéraires comme des « classes empiriques, établies par observation du donné historique, ou à la limite par extrapolation à partir de ce donné «. 3.2 Entre théorie et histoire Tzvetan Todorov distingue, dans une tentative de classification, les genres théoriques et les genres historiques (les Genres du discours, 1978). Cependant, certains critiques considèrent avec précaution l'approche théorique qui, selon eux, n'arrive pas à satisfaire pleinement la définition du genre, l'idée du roman médiéval étant très éloignée de celle d'un roman contemporain, par exemple. Beaucoup s'accordent donc à privilégier l'aspect historique dans la définition même du genre littéraire. Ainsi Hans Robert Jauss affirme-t-il que les genres « se transforment dans la mesure où ils participent de l'histoire et ils s'inscrivent dans l'histoire dans la mesure où ils se transforment «, même si Gérard Genette explique que l'histoire n'explique pas tout. Quoi qu'il en soit, les deux approches sont davantage complémentaires qu'antithétiques. En effet, les différents critères (historiques, rhétoriques, linguistiques, sociocritiques, thématiques, voire même anthropologiques, comme le suggère Mikhaïl Bakhtine) semblent nécessaires à l'élaboration d'un système générique, sans toutefois le générer. L'embarras généralisé qu'engendre ce type de classification par genre est renforcé par les tentatives des critiques à lui donner d'autres noms : Gérard Genette parle de « type «, de « forme esthétique « ou encore d'« archi-genre «, Tzvetan Todorov de « forme naturelle «, le médiéviste Paul Zumthor de « subtradition «, par exemple. 3.3 Quelques tentatives de méthode de classification Northrop Frye, dans l'Anatomie de la critique (1957), élabore une théorie des genres, par une approche archétypale. Il distingue quatre grands genres : la matière épique (epos), la fiction (qui découle de l'epos), le dramatique (public présent, poète absent), le lyrique (poète présent mais dos à son public). Puis classe les genres selon plusieurs éléments : l'objet (le héros par rapport à l'intrigue), le muthos (l'intrigue), le rapport entre la manière dont la communication entre le poète et le public s'effectue. Tzvetan Todorov limite quant à lui la notion de genre dans son Introduction à la littérature fantastique (1970) : « seule la littérature de masse (histoires policières, romans-feuilletons, science fiction, etc.) devrait appeler la notion de genre ; celle-ci serait inapplicable aux textes proprement littéraires. « Par ailleurs, Gérard Genette propose une hiérarchie entre les genres et distingue les « modes «, « types «, « genres « et « sous-genres « (Introduction à l'architexte, 1979). Plus récemment, alors que la notion de genre semble recouvrer grâce aux yeux des critiques -- de nombreux critiques se penchent de nouveau sur le problème depuis les années 1980 --, Jean-Marie Schaeffer explique que « du point de vue générique il n'y a d'identité textuelle que relative au(x) niveau(x) du message investi(s) par le nom de genre. À l'apparente relation toute simple entre un texte et son genre se substituent des relations complexes et hétérogènes entre divers aspects d'actes communicationnels et de réalisations textuelles, ou diverses façons d'identifier le texte et divers noms de genres : dire d'un texte qu'il est un sermon et d'un autre qu'il est un sonnet ne revient pas simplement à les classer selon deux genres différents, mais encore par rapport à des critères d'identité textuelle différents : acte communicationnel dans le premier cas, organisation formelle dans le second. « ( Qu'est-ce qu'un genre littéraire ?, 1989). Il distingue ainsi les types énonciatifs, réceptifs, fonctionnels, thématiques et formels. La notion de genre est malgré toutes ces polémiques toujours restée très présente dans les études littéraires, et même Roland Barthes qui la remettait en cause se rétracte à l'aube des années 1980. En admettant qu'il existe cinq principaux genres littéraires (poétiques, dramatiques, narratifs, critiques et argumentatifs), on peut envisager un nombre exponentiel de « sous-genres «. Bien évidemment, cette classification peut être discutée et de nombreuses oeuvres être considérées comme transversales, c'est-à-dire qu'elles peuvent appartenir à plusieurs genres ou sous-genres en même temps. Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.

« La notion de genre littéraire pose en effet au XXe siècle un véritable problème aux critiques et théoriciens littéraires, et toutes les questions qu’elle soulève restent sans réponse évidente et partagée malgré les différentes tentatives d’approches (historiques, rhétoriques, linguistiques, sociocritiques, thématiques, etc.).

C’est une réelle querelle qui naît pour définir si la notion de genre existe ou non.

Alors que Ludwig Wittgenstein parle de reconnaître un « air de famille » (Familienähnlichkeiten) , le débat sur les critères d’une telle classification est passionné. 3. 1 Le statut du genre remis en question La classification héritée de celle d’Aristote est considérée au cours du XXe siècle en certains points comme arbitraire car, selon Tzvetan Todorov, la classification par genre repose « rarement sur une idée claire et cohérente du statut du genre lui- même ».

Pour certains, en effet, le genre semble alors être une étiquette trop stricte et réductrice qui ne peut être justifiée.

Le critique Karl Viëtor s’interroge quant à lui : « est-il possible d’écrire l’histoire des genres, quand aucune norme du genre ne peut être fixée au préalable, et quand, au contraire, cette norme du genre ne peut être établie qu’après une vue d’ensemble sur toute la masse des œuvres individuelles apparues dans l’histoire ? » (« l’Histoire des genres littéraires », Poétique, 1977). Et le critique Paul Hernadi d’ironiser : « il a souvent été plus facile de construire des systèmes de classification générique que d’en éviter d’inutiles » (1972).

De fait, tout genre est en mouvement, et ses frontières se muent avec l’apparition de nouveaux textes, qui le remettent sans cesse en question (notamment la littérature du XXe siècle, qui bouscule les genres jusqu’alors « édifiés », voire qui les met à mal).

En effet, selon le philosophe Benedetto Croce, « toute œuvre d’art vraie a violé un genre établi et dérangé les idées des critiques, qui ont été forcés d’ élargir le genre » ( Esthétique comme science de l’expression et linguistique générale , 1902).

Gérard Genette préconise alors de considérer les genres littéraires comme des « classes empiriques, établies par observation du donné historique, ou à la limite par extrapolation à partir de ce donné ». 3. 2 Entre théorie et histoire Tzvetan Todorov distingue, dans une tentative de classification, les genres théoriques et les genres historiques ( les Genres du discours , 1978).

Cependant, certains critiques considèrent avec précaution l’approche théorique qui, selon eux, n’arrive pas à satisfaire pleinement la définition du genre, l’idée du roman médiéval étant très éloignée de celle d’un roman contemporain, par exemple.

Beaucoup s’accordent donc à privilégier l’aspect historique dans la définition même du genre littéraire.

Ainsi Hans Robert Jauss affirme-t-il que les genres « se transforment dans la mesure où ils participent de l’histoire et ils s’inscrivent dans l’histoire dans la mesure où ils se transforment », même si Gérard Genette explique que l’histoire n’explique pas tout. Quoi qu’il en soit, les deux approches sont davantage complémentaires qu’antithétiques.

En effet, les différents critères (historiques, rhétoriques, linguistiques, sociocritiques, thématiques, voire même anthropologiques, comme le suggère Mikhaïl Bakhtine) semblent nécessaires à l’élaboration d’un système générique, sans toutefois le générer.

L’embarras généralisé qu’engendre ce type de classification par genre est renforcé par les tentatives des critiques à lui donner d’autres noms : Gérard Genette parle de « type », de « forme esthétique » ou encore d’« archi-genre », Tzvetan Todorov de « forme naturelle », le médiéviste Paul Zumthor de « subtradition », par exemple. 3. 3 Quelques tentatives de méthode de classification Northrop Frye, dans l’ Anatomie de la critique (1957), élabore une théorie des genres, par une approche archétypale.

Il distingue quatre grands genres : la matière épique ( epos ), la fiction (qui découle de l’ epos ), le dramatique (public présent, poète absent), le lyrique (poète présent mais dos à son public).

Puis classe les genres selon plusieurs éléments : l’objet (le héros par rapport à l’intrigue), le muthos (l’intrigue), le rapport entre la manière dont la communication entre le poète et le public s’effectue. Tzvetan Todorov limite quant à lui la notion de genre dans son Introduction à la littérature fantastique (1970) : « seule la littérature de masse (histoires policières, romans-feuilletons, science fiction, etc.) devrait appeler la notion de genre ; celle-ci serait inapplicable aux textes proprement littéraires.

» Par ailleurs, Gérard Genette propose une hiérarchie entre les genres et distingue les « modes », « types », « genres » et « sous-genres » ( Introduction à l’architexte , 1979). Plus récemment, alors que la notion de genre semble recouvrer grâce aux yeux des critiques — de nombreux critiques se penchent de nouveau sur le problème depuis les années 1980 —, Jean-Marie Schaeffer explique que « du point de vue générique il n’y a d’identité textuelle que relative au(x) niveau(x) du message investi(s) par le nom de genre.

À l’apparente relation toute simple entre un texte et son genre se substituent des relations complexes et hétérogènes entre divers aspects d’actes communicationnels et de réalisations textuelles, ou diverses façons d’identifier le texte et divers noms de genres : dire d’un texte qu’il est un sermon et d’un autre qu’il est un sonnet ne revient pas simplement à les classer selon deux genres différents, mais encore par rapport à des critères d’identité textuelle différents : acte communicationnel dans le premier cas, organisation formelle dans le second.

» ( Qu’est-ce qu’un genre littéraire ?, 1989).

Il distingue ainsi les types énonciatifs, réceptifs, fonctionnels, thématiques et formels. La notion de genre est malgré toutes ces polémiques toujours restée très présente dans les études littéraires, et même Roland Barthes qui la remettait en cause se rétracte à l’aube des années 1980.

En admettant qu’il existe cinq principaux genres littéraires (poétiques, dramatiques, narratifs, critiques et argumentatifs), on peut envisager un nombre exponentiel de « sous-genres ».

Bien évidemment, cette classification peut être discutée et de nombreuses œuvres être considérées comme transversales, c’est-à-dire qu’elles peuvent appartenir à plusieurs genres ou sous-genres en même temps. Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation.

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