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La croissance démographique et la pression environnemental

Publié le 13/05/2012

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Introduction : Dans les années à venir, nous allons connaître une forte croissance démographique dans le monde qui va entrainer de nombreux problèmes pour l’aménagement des villes, l’alimentation des populations et surtout sur l’environnement. Alors comment les pays vont-ils réussirent à alimenter leur population sans faire de dégâts sur l’environnement ? Tout d’abord, nous allons parler la transition démographique et l’accroissement de la population. Ensuite, nous verrons les techniques adoptées, un peu partout dans le monde, pour pouvoir nourrir la planète, leurs impacts sur l’environnement et les problèmes rencontrés. Enfin, nous mettrons en évidence le fait qu’une agriculture peut-être durable ou non.

Développement : A la fin du 20ème siècle, la population mondiale était de 6.1 milliards de personnes. Selon certains démographes, la population devrait augmenter jusqu'à atteindre les 9.2 milliards en 2050, ce qui fait que l’augmentation serait de 3.1 milliards de personnes en 50 ans. Malgré ces chiffres la croissance démographique mondiale diminue: entre 1965 et 2001 elle est passée de 2.1% à 1.2%. C’est le phénomène de transition démographique. C’est le passage, en deux phases, d’un régime démographique traditionnel de forte natalité et de forte mortalité à un régime moderne de faible natalité et mortalité. La mortalité baisse d’abord puis la natalité, ce qui diminue la forte croissance démographique. Cette transition c’est faîte il y a déjà deux siècle dans les pays du Nord (industrialisé) et commence à s’étendre dans les pays du Sud, mais elle n’est toujours pas achevée. Ce sont les pays les moins riches qui feront augmenter la croissance démographique : L’Afrique devrait atteindre le seuil des 2 milliards d’habitants pour 2050, la partie asiatique devrait elle abriter entre 50 et 60% de la population mondiale contre une baisse de 70 millions de personnes ce qui donne : 660 millions d’habitants pour l’Europe. En 2050, il faudra pouvoir satisfaire les besoins de 9 milliards de personne, ce qui n’est pas une chose facile. Il va falloir trouver la nourriture, l’énergie, l’eau et des soins en quantité suffisante. Le plus difficile ça va être de trouver les ressources suffisantes dans les pays déjà en pénurie de ces besoins là comme dans certains pays d’Afrique. (16.28)

Pour pouvoir nourrir tout le monde, les hommes ont inventé des techniques qui fonctionnent à merveille mais qui ne sont pas respectueuse de l’environnement. En effet, le nombre d’habitants accroît donc il faut produire plus de nourriture. En plus de ce problème là on constate aussi deux autres problèmes tout aussi importants : malgré l’urbanisation croissante les populations divertissent leurs façon de mangé, et ils améliorent aussi leur régime alimentaire. On constate aussi l’augmentation du niveau de vie moyen des populations ce qui augmente la demande en denrée alimentaires de meilleures qualités. L’agriculture est en voie de développement pour le moment mais des progrès ont déjà été constatés. Certains pays souffrent de déficits alimentaire donc des solutions ont été mises en place en Inde et en Chine comme : la déforestation, les intrants chimiques, l’irrigation et la mécanisation des machines. Malgré que la société ait évolué depuis un certain nombre d’années, il y a toujours la sous-nutrition et la malnutrition. La différence entre les deux termes est que quelqu’un qui est sous-nourrit est qu’il manque de nourriture (moins de 2500 kilos-calories/jours) alors que quelqu’un qui est mal-nourrit est quelqu’un qui a une alimentation déséquilibré (soit en quantité ou en qualité). Cette différence ce fait aussi au niveau des différents parties du monde : dans les pays du Sud, 1 milliard de personnes sont sous-nourrit alors que dans les pays du nord il y en a très peu. Si certaines régions du monde manque de nourriture c’est en partie à cause de l’agriculture qui n’est pas assez développé (agriculture vivrière). Des paysans arrivent encore à vivre de cette agriculture. (16.28)

 

 

Dans le monde, deux systèmes s’opposent : l’agriculture vivrière et l’agriculture productiviste. L’agriculture productiviste est une pratique des sols non respectueuse de l’environnement et non rentable financièrement et l’agriculture vivrière n’est rentable que pour l’agriculteur et ne produit pas beaucoup. Pour pratique l’agriculture productiviste les agriculteurs utilise des quantités massives d’engrais chimique et de produits phytosanitaires qui pollue les eaux et les sols, ils produisent aussi le phénomène de salinisation liée à des irrigations mal conduites. Un nouveau « genre » d’agriculteur a été crée, ce sont les éco agriculteurs : ils préservent d’abord l’aspect physique de la production agricole (sols, eau), ils essaient d’utiliser le moins possible les intrants d’origine industrielle. Pour réduire leurs temps de production, les éco agriculteurs utilisent des OGM (organismes génétiquement modifiés) ce qui permet un semis direct, ce qui réduit les émissions de CO2 et l’érosion des sols. Mais l’utilisation des OGM n’est pas sans risque pour la santé de la population.

Conclusion : En définitive, si le nombre d’habitant sur Terre ne cesse d’augmenter les personnes le moins riches ne vont plus avoir de quoi mangé car les aliments seront de plus en plus cher, la planète Terre n’existera peut-être plus puisque les manières de produire plus de nourriture ne sont pas du tout écologique. Le problème était donc de comprendre comment les pays vont-ils réussirent à alimenter leur population sans faire de dégâts sur l’environnement, ceci n’est pas possible ils continueront à alimenter leur pays mais ne ce soucieront pas de l’environnement car le principal but est de pouvoir nourrir la population

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