Devoir de Philosophie

La Moralité selon Kant

Publié le 18/01/2011

Extrait du document

kant

I. Les paradoxes de la moralité

 

Selon Kant la moral est une intuition évidente qui s’impose à chacun, aujourd’hui une évidence donné a la conscience et sur le fait de la moral, nous essayons de construire des éthiques, rapidement la distinction entre moral et éthique est très dure . Ethique d’éthos = les mœurs. Moral = morales = les mœurs aussi. L’étymologie ne peut rien apporter. Sur les pratiques philosophiques peut être une différence, des titres d’ouvrage philosophique comme l’éthique a nicomaque ou l’éthique de spinoza, fondement des mœurs chez Kant, des lors que qqchose s’impose a la conscience, qqchose qui vient poser des limite, qui est en elle, on parle d’éthique toutes les fois ou l’on prend en compte la recherche de la vie bonne, d’une vie articulé a des valeurs d’humanité, conduite qui recherche le bien, et qui ne sont pas pensées comme contraignante, une quête plutôt de la vertu, de ce qui est vertueux, plutôt que de la moralité. Notion d’éthique = une recherche de règles et de valeurs pour conduire l’action vers une forme d’excellence. Difficulté a defenir ce qu’est l’ex cellence humaine et normer les pratiques d’humanité, une expérience éthique dans la quotidienneté, inquiétude , comité d’éthique = preuve de l’absence d’éthique et la volonté de normer et de ne pas détruire une humanité dont on apelle a se représenter ce qu’elle doit être. 

L’éthique n’a plus la notion qu’elle avait avant, plus présupposé. Une époque d’agnoticisme  éthique, l’existence d’une évidence de la loi morale n’est plus la notre mais inquieter des conduites qui risque de compromettre la dignité la personnalité de l’etre, incertitude et difficulté de renoncer, 

 

1. Comment la loi morale se trouve-t-elle donner ? 

Réponse banale : la loi morale fournit une norme pour agir, et donc la loi se manifeste sur le plan pratique, de l’action, dans les texte de Kant un commandement à agir, loi comme norme de l’action. Malgré son évidence et son caractère totologique, elle apparaît hautement problématique d’un point de vue phénomologique, ne peut pas être celle qui se manifeste sur le plan de l’action. Si notre action suit effectivement la loi morale ou non : on ne peut pas le savoir. « en fait, il est absolument impossible d’établir par expérience avec une entière certitude, un seul cas où la maxime d’une action,d’ailleurs conforme au devoir, et uniquement reposé sur le devoir, «

Distinction théorique ne peut pas trouver à être vrai dans la pratique. Distinction entre des degrés de moralité, une action en apparence morale, et une totalement morale car elle repose uniquement sur le moral. Toute action est équivoque, une face qui est en conformité, comme quand on est polie, on ne peut pas dire si cest vraiment par respecct ou pas, pas un cas ou l’on peut dire la moralité a été effective, a quoi sert si on ne peut pas trouver dans l’experience un seul cas où on a abgit uniquement par devoir. Différence a agir avec une foi religieuse et oblieance morale (ex pour mère thérésa). Ne pas confondre attitude religieuse qui obéit et morale. On ne pourra jamais savoir si nous avons agit par devoir. 

Et dans la réflexion ? Dans l’introspection Est-ce que je peux savoir si moi qui est agit moralement je peux avoir une certitude d ema propre moralité ? NON. Il n’est pas possible pour un sujet s’il a été moral. Principe de la bonne conscience = principe de bien être psychologique, beaucoup sont moraux pour ne pas avoir a subir la souffrance de la mauvaise conscience ou la honte morale devant les autres. Difficulté a atteindre une certitude morale, (celui qui s’estime combler de la grace divine est la preuve meme qu’il n’a pas la grace) certitde morale et de grace son équivoque, quelq’un qui porterai sa moralité en sautoire , ses bonnes actions comme morale, comme en tant de guerre. Celui qui voudrait justifier sa grace = détruirai. Nous ne pouvons jamais déterminer si la loi morale a vraiment régi notre agis ou non. La loi morale n’est pas une loi de l’agir humain parce qu’elle ne s’y manifeste jamais. Elle ne se manifeste pas dans l’action. 

 

2. Comment faisons-nous donc l’expérience de la loi morale si elle ne se manifeste pas dans l’action ? (/ n’est pas manifesté dans l’action ?)

Une réponse claire : la loi morale est plutôt l’objet ou une source de notre admiration, 

Si donc on ne peut jamais sciemment agir en fonction de la loi morale, il n’en demeure pas moins que la loi est quelque chose que nous pouvons admirer dans toute sa sublimité. Cette vénération connaît des degrés, plus on considère plus on éprouve d’admiration. Dimension affective et complentative de la morale. Un contraste entre l’incertitude morale et l’admiration de la LM. On ne trouve jamais chez Kant de démonstration de la loi morale (c’est un fait, un fait de la raison pure) et il y a une multitude de formulation, les formule de l’impératif catégorique, un impératif avec trois formulation,rapport de l’impératif a la loi : l’impératif = la loi pour un être fini. Lorsque la loi touche l’humain elle se vit sous le mode de l’impératif et de la douleur : restriction du bonheur. Ce que j’admire et ce que je venere je n’en suis manifestement capable. Je ne suis même pas fait pour pouvoir satisfaire les commendemants qui sont propre à sa conscience, d’un coté ne peut pas refuser cette loi mais incapable. 

Clarté de la loi, je sais ce que dois faire meme si je ne sais pas si je l’ai fait, mais les étoiles sont aussi lointaines qu’elle sont claires = le devoir est a la fois clair et inaccessible. Toute la nature humaine en cause, capable d’admirer mais aps de satisfaire a la loi. Cad d’une clareté inacessible. 

 

[L’impératif hypothétique  : SI tu veux la fin ALORS le moyen. ( mais rien ne me dit que je dois vouloir cette fin). Un impératif soumis a une hypothèse

L’impératif catégorique : tu DOIS. Une fin que tu dois vouloir, non plus relative a une désir ou une exigence personnelle, technique etc… ]

 

Il y a une différence entre les fondements de la métaphysique des mœurs dans la ffomrulation des impératif catégorique et dans critique de la raison pratique, 

Dans le premier : « Agis…. «

Dans le second : « demande toi si …. «  : pas de moralité sans la reflexion sur la moralité de sa maxime, moralité dans le fait d’avant d’agir réfléchir si son action peut afir en tant que loi universelle de la nature. Différence entre ordonné l’action et ordonner une réfléxion, important a noter pour 2 raisons : Certes je ne sais jamais si j’agis moralement mais je peux savoir si je me suis demandé qu’elle était la valeur de mon axime, cette réfléxion morale est inécusable, Hanna Arendt : essay sur la banalité du mal, mal présenté comme toujours accompli par des mosntres ou des perversn des extrea ordinaire parce que particulièrement cruel vicieux etc … procèes d’Eichmann, un pauvre type qui a trouver dans le parti un univers pour se constituer des amis, un univers avec des reges de la hierarchie, se révèle un bonhomme vide, sans refléxion, une innocence, « j’ai suivi la loi, où est le mal ? « , ou bien du jeu, il est très machiavelique, ou bien un type vide, il a pas voulu le mal, il a meme cité Kant pour montrer qu’il était un bon allemand et qu’il a obéit a loi. 

Dans le premier l’accent est mis sur le commendemant qui demande une réflexion, la réfléxion est mis au premier plan dans critique de la raisin pratique pour montrer que la moralité est une certaine réfléxion que l’on fait avant d’agir, on construit qqchose dans la moralité, 

On a dit que la loi morale était une évidence mais je ne suis pas morale par intuition, à la fois qu ela loi morale est donné, mais on a pas une intuition qui nous dipenserais de rélfléchir, l’immoralité n’est pas dans un illuminisme morale. L’immoralité commence soit quand je prétend savoir quoi faire par intuition, sans meme m’interroger sur le  monde que configurerait mon action,( passage de la maxime a la loi : le monde que configure mon action est il un monde où je peux vouloir vivre ? ), ce bn’est pas le sentiment du bien qui identifie la moralité. 

 

3. Qu’Est-ce que nous admirons dans la loi morale ? 

La logique de l’admiration ne constitue pas simplement la constatation d’un objet, implique un mouvement d’élévation. Je ne peux pas observer cette loi sans être comber, transporter, elever, je ne peux pas prendre conscience de cette loi sans aussitôt ressentir a son contact une élévation, elle produit en moi quand je l’observe de l’élévation, au sens fort de la reconnaissance : je ne peux la reconnaitre qu’en la revant pour mon propre compte, je la perçois et aussitôt je la reprend à mon compte, je suis son ujet et son libre législateur, je ne peux pas la percevoir sans être aussitôt affecté par l’obligation qu’elle comporte. C’est un nomos que je me donne, je me donne cette loi . (autoNOMIE) la donnation originaire de la loi, elle ne signifie donc pas que je l’ai crée. Je ne suis pas créateur de la loi comme chez Nietzche, ou simplement spectateur, la contemplation laisse l’objet a distance, la contemplation éthique produit en l’homme un affect. 

Ce que j’admire grâce à elle c’est précisément que je suis transportée dans un autre règne que celui de la sensibilité, cette expéreince est décrite comme élévation, qqchose qui n’est plus physique, du sur naturel, du supra sensible, la seule chose qui révèle a l’homme qui n’est pas une portion de matière, c’est sa susecbtibilité morale, il s’agit d’être une personne et non pas de la matière, qu’elles sont les expériences qui nous révèle a nous meme que nous ne sommes pas qu’un paquet de matière, 

Contraste entre la contemplation du ciel, produit l’anéantissement, le sublime mathématiques de l’incomensurable, l’infini que me revele moi-même comme impuissant a le concevoir, nul, un spectacle que j’admire qui finis par m’anéantir, un spectacle que j’admire qui me donne ma réalité, et m’élève. Des maintenant il y a en nous quelque chose qui n’est pas animal, expérience morale révélatrice de la dimensions de valeur de l’homme. 

  Si ce que j’admire dans la loi morale c’est ma morale, on arrive a une idée kantienne : c’est que la loi morale est révélation de ma liberté, elle me révèle comme appartenant a une vie libre, l’homme est nature, soumis a des lois, mais un autre principe de determination par la liberté, qui ajoute au caractère empirique, je percoi et je concois seulement par l’entedement ce que je perçois, cette liberté que je concois je ne peux pas en avoir d’experience, je ne peux pas savoir que je suis libre, pour K l’homme est nature et il est liberté, mais cette liberté il n’y accède qu’indirectement, c’est l’éxperience de la moralité qui m’oblige a poser la possibilité de la liberté, la liberté doit exister si je suis sujet a une loi morale, la liberté je ne la sens pas parce que ce que je sens est toujours soumis a la nature, on ne peut pas trouver en nous de liberté, le determinisme affecte nos iées, la moralité est le ratio cognoscendi de la liberté. Pas d’expérience directe mais la lois morale que j’admire révèle comme un sujet pas determiner au déterminisme de la nature, pas d’expérience mais une réprésentation parfaitement clair. La liberté est un postulat. Je dois poser que l’homme est libre s’il est sujet a la loi morale. L’homme est suejt a la loi morale donc l’homme est libre. La liberté est la condition incompréhensible mais vrai de la morale. 

La liberté est une idée, pas un concept, je l’ai , je sais que je l’ai. Je pose cette idée parce que je nepeux pas dire que je la connais, c’est une condition métaphysique de l’effectuation du devoir. La liberté est la ration escendi de la moralité, la liberté est l’essence de la moralité. 

Définition du lien interne entr emoralité et liberté : « si la loi morale n’était pas d’abord clairement conçue dans notre raison, nous ne nous croirions jamais autorisé a admettre une chose telle que la liberté,  ce n’est donc que par l’élévation que m’inspire l’expérience de la loi morale, que nous nous avisons de notre liberté entendu comme élévation au dessus de la nécéssité naturelle  car la liberté n’est elle-même pas un concept d’expérience «. (Critique de la raison pratique ) 

 

Ccl : la liberté est un « postulat « qui découle du seul fait attesté de la raison, à savoir de la conscience de la loi morale. Même si la liberté n’est qu’une idée nous nous pensons sous sa conduite, sous la ocnduite d’une idée de liberté, puisqu’elle nous transporte au dela de la morale au dessus de la stricte nécéssité. 

Ce que la loi morale me fait admirer c’est l’appel, l’ouverture d’une élévation possible au dessus d’une animalité. On ne peut parler que d’un appel ou d’une ouverture parce qu’on ne peut jamais savoir si nous serons à sa hauteur. Mais pour Kant, l’ouverture suffit parce que l’appel à la moralité confirme en lui-même et par lui-même la réalité de l’élévation. Le fait primordial est la conscience de cet appel. Il y a une expérience de l’élévation.. Elle est irrécusable, le concept qui y correspond : le respect. 

 

4. « Le repect pour la loi pour la loi morale n’est pas le mobil de la moralité mais il est la moralité elle-même «

Qu’Est-ce qui prouve s’il y a une preuve de la moralité : y a il une preuve de la liberté  ? Il n’y a pas de preuve de la moralité mais un sentiment que produit la loi sur la sensibilité et qui n’est pas produit par autre chose que la loi morale, sorte d’induction, 

Mise en évidence de la loi morale, le respect est un sentiment pur a priori. Le respect est un sentiment pu a priori. Le plaisir du beau et le respect des sentiment a priori, que l’on sens en soi et que l’on sent comme autrui alors que les sentiments ne sont pas communicable, une sensibilité universelle, une sensibilité qui vient de l’entedement et de la présence d’un moi morale. Il existe un sentiment qui ne s’originie par dans la sensibilité mais affect la sensibilité, un sentiment pur qui a pour orginie la raison (ou bien pour la beauté : le jeu entre l’entendement et l’imagination…).Agir par respect : le respect comme mobil de l’action , mais l’expérience meme de la moralité. 

    Cet appel a ce qui en ou est au dela de l’animalité n’est pas une affaire particulièrement exaltante, l’élévation n’est que l’envers d’une humiliation, en effet, dans le respect tout nos penchants sont finalement abaissés et sont révéles comme finalement étant opposé a la loi, si tôt que nous admirons la loi nous admirons en nous tout ce qui n’est pas conforme a cette loi, et nous comparons tout ce qui est en nous et n’est pas conforme a cette exigence, humilitation d’être cet ensemble de penchant, le système de l’égoisme, de la présemption, de l’amour propre, obligation suprétise, nous ressentons en meme temps l’humiliation d’être et l’élévation parce que nous sommes sensibles a cet appel « la loi morale humilie inévitablement tout homme qui compare à cette loi la tendance sensible de sa nature. « la loi morale est éprouvée à travers cette négativité, la moralité est quelque chose de déflationniste, c’est pourquoi l’élévation et l’humiliation sont toujours ensemble. « la loi morale oppose une fin de non recevoir à tous nos penchants «. 

   Il faudrais imaginait un agir d’où serait exclu tous nos penchants et tous les mobils sensible, c’Est-ce qui explique pourquoi la loi morale est sublime. Parce qu’elle nous ipmpose la représentation de quelque chose d’invraisemblable. Cette loi impose le modèle de bon agir absolument invraisemblable. La loi morale nous demande l’impossible, il y a des circonstances politiques historiques, ou peut trouver des exemples, aucun homme ne peut refuser cette possibilités, un agir qui serait un absous de totue determination personnelle, se transport dans la réalité que nous admirons, objecter qu’une telle morale n’existe pas passe a coté de ce qu’il dit de la loi morale, l’homme est un être qui se demande l’impossible et c’Est-ce qui le grandit au dessus de l’animalité. Question de la noblesse. Cette humanité appelé par l’impossible, ne peut pas se départir de l’irréel. Nietzsche : l’homme souverain dont il parle, qui peut répondre de lui et’élever au dessus de l’animalité, la corde tendu entre la bête et le surhomme est l’homme, pour Kant impossile, être pleinement humain c’est être surhumain. Impossible qui nous fait nous estimer nous meme. 

La valeur de l’homme : a de la valeur parce que peut reconnaitre la valeur, pour lui-même n’est plus qu’un paquet de matière. 

 

Le remord : la première morsure : la loi morale me touche, morsure de l’humiliation, on échappe pas à sa propre conscience, (poème de VH sur cain), loi morale impossible à éradiquer, à voiler, idée du remords : qu’elle revient au premier plan, et se rappelle a nous de manière douloureuse. Le remord atteste de l’impossibilité de denier la moralité, je ne peux pas denier la moralité en moi . Il peut être fait de bcp de chose. Le reste psychologique. Loi morale e une violence, 

Distinguer le repentir : la reconnaissance de la faute, conscience de la faute. 

 

5. L’origine de la loi est dans l’élévation de l’homme au dessus de son animalité.  (thèse)

Origine de la loi ? La loi pour Kant est un fait. La loi est le  « fait de la raison «. Si c’est un fait je ne le respecte pas je ne respecte que les droit. Il a une factivcité. Loi donner comme un fait. Un fait en soi ce n’est rien. Pourquoi un fait nous obligerait il a qqchose. Si Kant utlise le terme de fait de la raison pure c’est pour contrer, refuser, toute convention, toute orgine sociale, individuelle de la moralité, on ne crée pas la morale, on la trouve. Il préfère donner plutôt que totu convention, tout ce qui n’est pas donner est reçu, a partir du moment ou la morale serait reçu elle serait subjective, 

C’Est-ce fait, a la différence de tous ceux qu’on peut contaster, je ne peux pas simplement contaster, je le trouve et je lui confère immédiatement le droit, de l’autorité sur moi, quand il est apperçu il vaut légitimité. Si tôt que ce fait est apperçu il est consacré comme légitime parce qu’il Est-ce qui me permet de m’élever au dessus de l’animalité. Ce mouvement qui reprend le fait comme loi, qui peut être penser comme originie dans la dynamique de reconnaissance de cette donnée qui est une loi. 

Ce qu’on apelle loi morale, cela n’existe pas, c’est le mouvement par lequel je me donne une loi, la loi n’est pas hors de la conscience, elle est produite par la conscience, elle est reconnaissance. ce n’est pas une morale substentielle mais formelle, , il n’y  a pas de bien de mal, seulement le rapport de la volonté à la loi. 

Cette loi trouve d’elle-même accès dans l’âme, l’humanité est scindé en une nature sensible qui s’oppose à la loi, 

L’immoralité = a transgression d’une loi que nous reconnaissons, nous transgressons, raison de la transgressons de ce qui est admirable ? Pourquoi  sommes nous a violer qqchose qui est respectable, alors que cette loi est la seule possibilité pour nous d’avoir de la valeurs, nous travaillons alors contre nous meme, on retire la seule chose qui nous donne de la valeur. Plaisir de la transgression = plaisir de l’autohumiliation, destruction de l’estime de soi meme. Est-ce que c’est gai de faire le mal ? La jouissance dans la déchéance. Cette reprise de la loi qui est le fait moral, le fait moral fait que je le reprenne comme loi, elle ouvre sur ce que Kant appel un monde intelligible, ce mond eintelligible est un monde uniquement determiné par la loi morale, ce que Kant appel le règne des fins, idée de Kant : entrevoir un monde dans lequel les hommes agirait moralement, qqchose de l’ordre de l’idéal , cette idée est néanmoins celle que je dois avoir quand je dois contribuer. Une personne = un être capable de se donner des fins qui ne sont pas les fins de l’instinct, des fins différentes de ce que la nature lui détermine, capable de se faire a d’autre lois que le determinisme, le règne des fins est une communauté de personne qui serait liées entre elles par cette loi et qui définirai la cohérance de leur relation. Ce règne des fins, ce monde intelligible, où une personne est une représentation, une idée qui doit accompagner toute nos action lorsqu’elle sont morales, agir moralement c’est contribuer à l’advenu d’un monde meilleur, elle doit se penser comme constitution d’un monde qui ne soit pas simplement un monde de nature mais de liberté. La construction d’une cité idéal. Sachant qu’on ne pourra pas la réaliser moralement. La morale a lieu dans le temps est pour tout les temps. Cet ordre de chose qui est purement intelligible, nous apprait a la fois comme une évidence et qqchose d’infiement distanc, étranger à la nature humaine,  question de la typique du jugement pure pratique. 

 

6. La loi naturelle comme médiation entre la raison et la sensibilité

Comment pass t on de ce monde intelligible a la pratique, a la réalisation morale, commen passer de la loi à l’action morale ? Problème de la médiation, du type, la conscience de la loi ne m’apprend pas concrètement ce qu’il faut faire, traduction de la conscience de la loi en critère empirique de moralité ou d’immoralité, là où Kant innove (que la formulation d’une règle empirique) dans la formulation des impératif catégorique, pour savoir si une action est morale il faut essayer de transformer la maxime d’actoin en loi, demande toi si tu peux vouloir une action dont la maxime devient une loi unniverselle de la nature. La loi de la nature qui pour nous vut dire mécanisme, déterminisme, sert de type ou de hcaine pour réaliser la loi morale, pour réaliser la loi morale j’ai besoin d’un critère, paradoxalement pour faire ce qui nous élèbe au dessus d’ lhumanité nous devons prendre comme type la loi de la nature. La médiation entre la raison et la sensibilité et la loi de la nature. Comment pour être libre devrais je prendre une loi de la nature, pour être libre je devrais m’inspirer de la loi de la nature, la moralité oblige de faire abstraction de tout les penchant . Mais comment cette abstraction peut elle m’aider a savoir ce que je dois faire concrètement ? 

1ère hypothèse : on pourrait s’appuyer sur des exemples. Mais Kant n’accepte pas, parce qu’il ne peut pas exister d’exemple de moralité,parce qu’on ne peut pas légitimer la consecration sociale traditionelle d’une action, ce n’est pas parce qu’un action est consacrr qu’elle est bonne

2ème : Est-ce qu’on peut s’apputer sur la sensibilité ? Non je n’ai pas de sens sur ce qui est bon ou pas. 

Ce qui me permet de chosir c’est ni ce que l’onf ait, ni ce que j’ai envie de faire, l’imagination ? Ethique et imagination ? Est-ce que dans la fiction ne se forme pas les nomres de conduite, la littérature est un laboratoire éthique avec zola etc… qui nous montre ce que c’est qu’un dilemme, l’ignorance, la perversité, la fiction pourrait par la réprobation qu’elle sucite, œuvre de fiction repose sur le vraisemblable éthique, suivent toutes une ligne d’éthique vraisemblable, capacité de l’imagination sur nous instruire sur la moralité l’immoralité en testant la vraisemblance éthique dans des expériences de fiction ? 

Kant : l’imagination a quoi sert elle ? Elle set a nous donner des exemples, c’est l’incarnation, puisque l’imagination consiste a donner des coprs a l’abstraction, donc comme pour l’exemple n’est pas acceptable, incarner des idée dans le temps et l’espace donc l’expérience imaginaire est encore une expérienc. Peut être tort ? 

Il nous reste que l’entedement. En quoi l’entendement peut nous aider a passer de la loi au cas ? L’entedement c’Est-ce qui donne ses lois a la nature, le lieu de la législation de la nature, l’entedement c’est le pouvoir des lois, l’entedement fourni a la conscience morale l’idée de loi, appel la loi come type, la typique du jugement. Je dois me servir de la loi de la nature mais pas come nature sensible, la loi de la nature est caractérisé par son absence d’exception, son universalité, la loi est le type qui permet de mediatiser la raison et la sensibilité, juger si une action est bonne ou pas, c’est subordonnée. Je vais pouvroi determiner ce qui est bien ou pas, comme l’action qui devient loi. J’ai besoin d’universaliser le cas, ce n’est pas subsumer le cas sous les lois.

Dans la moralité on a un cas, il n’y a pas de loi qui dit si il est moral ou pas, mais il faut légaliser le cas, l’universalier le cas en loi, ou le cas est la maxime de l’action. Le type de la loi. La loi non pas comme la loi de la nature mais dans son universalité qui va servir de médiation entre la raison et la sensibilité, je vais essayer de sensibiliser la loi morale, je prend l’universelle comme type. Question de savoir s’il en résulte ou pas une contradiction. Plusieurs version de ce qui résulte de l’universalité. 

Est-ce une chose est immoral seulement si elle devient impossible quand je l’universalise ? Si j’universalise la maxime est qu’elle aboutit a une contradiction, ce n’est pas seulement une contradiction logique mais aussi parce que je ne peux pas vouloir d’un monde ou les hommes mentirais par exemple. Pas la conséquence d’un mensonge universel. Ne pas penser que c’est l’action elle-même ou seulement une contradictino logique. 

 

Question de la possibilité de se servir de la loi de la nature comme analogome de la loi morale . Analogome = un support. 

 

II. Explication de texte, Critique de la raison pratique : L’Objectivité de la morale

 

1. De l’objectivité sensible à l’objectivité morale et retour,

Kant ce sert du modèle physique de la nature dont la loi morale serait le pendant subjectif. Modele symétrique permet de transferer l’objectivité de la loi morale en moi. Pose un oibjet que tout le monde connait, hors de nous, grace a la symétrie de ce que cet objet produit en nous on construit un objet x en nous que l’on va nommer la loi morale. Transfert une objectivité a la loi morale elle-même. 

Objectivation de la loi beaucoup plus efficace que si Kant était parti de l’introspection; si on essais de parler de la loi morale a partir ce son vecu 

Loi morale jouit d’une objectivité interne qui permet a kant de ne pas faire d’introspection

La morale n’est objective d’abord que grave a cette construction formelle qui la met sur le meme plan que l’objectivité sensible. 

Si au depart deux objets symétrique, l’un donné a voir, et l’autre constituant la conscience de soi meme, ces deux objets vont a la fin echangé leur prédicat. L’objectivité du ciel va etre abolie par la nature animale de l’homme, plus de spectateur pour regarder le monde, objectivité du monde va passer du coté de l’objectivité de la loi morale, grand renversement : ce qui était le plus visible devient le moins visible par absorption du sujet, ce qui était le moins visible devient la condition qui assure toute subjectivité, loi qui permet de donner au monde subjectivité, la loi morale qui assure la distinction entre le sujet et l’objet, entre l’œil contemplatif et le onde, j epuis d’autant mieux contempler le monde que je ne m’y réduit pas, si je m’y reduisait completement, l’admiration se changerai en effroit, 

Seule objectivité qui subsiste au terme du texte : celle de la loi, renversement complet : ce qui est invisible qui a le plus de realité, par ce qui est invisible que j’ai moi-même une realité, 

Distance irréductible du sujet a la loi donne la distance entre le sujet à l’objet,

Clareté des étoiles : inaccessibilité, fanatisme dan lequel il n’y a plus de distance entre la nature et la morale, porté a depasser sa nature pour accomplir la loi.. 

La nature ce qui est obstacle et cndition de la moralité. Ce qui fait de moi un sujet reel : un sujet qui n’est jamais réduit par la nature, donc une personne. Cette reconnaissance de la loi qui ne pourra jamais devenir naturelle, une seconde nature, contrairement a chez Aristote : vertu naturalisation, vertu violente, combat…. Ethique devient naturelle. 

 

2. La loi morale = une donné originaire de la conscience. 

-le moi est en relation avec ce qui nou depasse, ce qui me depase come etre sensible et intelligible, 

- ce qui est premeir cest le depassement de soi, ce qui est lié a la conscience de mon existence, 

 

Hume : egoisime = une construction, après la sympathie, 

-égo = un denit de responsabilité, moi cherche a se defosser de cette responsablilité avec son interet

 

Moi caracterisé par sa relation avec un déjà qui est la loi, la nature, l’exos : par la loi il est tiré au dessus de l’animal, par la nature il est ramené a l’animal, le moi est destabilisé, l’assiette du moi (Descartes…) est instable car il est tantot anéanti, tantot exhausté, entre mépris de soi et amour de soi, 

Assiette authantique : un moi qui ne peut ni s’aimer ni se detester, un entre deux (assiette de Kant), entre le néant de sa nature et le néant de la loi qui porte a esperer, 

 

Vocabulaire : vénération : terme ethico religieux, on venere une puissance sacrée, une puissance supérieure, quelque chose qui n’est pas tout a fait humain, 

 

Morale fondée sur la religion et religion fondée sur la morale ? 

Livre de jobb : tres riche et très bon, satan demande a dieu s’il est fier de jobb : facile d’etre juste quand on est riche. Dieu : meme si il lui arrive quelque chose il serait juste. 

Perd son troupau, perd sa famille, toujours aussi juste, douleur physique : craque, quand il a mal dans sa personne physique, alors se revolte contre dieu. 

 

Morale : ne peut pas etre une acquisition, par originel au sens ou elle n’appartient pas a la nature de l’homme, originaire : ce qui dans la natur s’oppose a la nature, anteireure a l’experience que nous avons dumonde, première, Kant se bat pour reconnaitre a la loi morale une anteriorité qui ne soit pas une naturalité, c’est une affaire humaine simplement, distinction entre a priori et inné. 

Critique de la raison pure : categorie de l’esprit sont des formes a priori (temps, espace..) un caractère de necessité et d’unniversalité, causalité une catégorie a priori de l’entendement, on va pouvoir rendre compte des lois de la nature, si on dit que c’est loi sont inné, on relativise la loi a l’homme, on relativise les productions humain a ce que nous sommes, si la moralité est inné je lui retire sont caractère d’obligations, car tout ce qui est humain n’est pas nécessairement respectable ou obligation, la morale n’est pas humaine, elle vaut pour tout être doué de raison, en vue d’eviter le relativisme de la moralité, pas de psychologie morale, 

Parler de morale originaire cest affirmé son caractère a priori et faire de la morale une instance qui est au dela de la nature humaine. 

 

Loi morale en nous et devant nous  : dire d’une part que nous ne pouvons pas ne pas la voir, idée que la conscience morale est independante de la culture, independante de tous facteurs social, de l’ordre, moral = système philosophie

 

 Pas de morale kantienne, une formulation kantienne d’une morale unniverelle, 

 

Le mal  n’et qu’une mauvaise foie, une desobeisance a une loi que nous reconnaissons comme valable pour nous et pour les autres, immoralité dans la transgression d’une loi, 

 

3. comment comprendre l’expresion loi morale

Pourquoi loi?

Une loi pour avoir une valeur morale doit etre marqué d’un caractère de necessité absolue pour fonder une obligation. 

Ou j’ai une raison absolue et essentielle d’etre morale ou pas du tout. Ou un fondement absolu ou pas de morale. 

Le principe de l’obligation ne peut pas être cherchée dans la nature humaine, pa non plus dans les circonstances extérieurs ou l’homme peut être placé, ni an une institution, ni chez les autres : la conséquence : on ne peut fonder la métaphysique des mœurs sur l’anthropologie. Alors ils ont une métaphysique « la plupart des homme ont pour principe morale implicite l’unniversalité « ou la fondée ? 

Lié a l’unniversalité et au critère de la loi comme unniversalité  .. 

Csq : meme si l’anthropologe n’est pas le fondement de la moralité, quand meme le lieu où elle s’applique, 

Comment s’articule la nature de l’homme et le fondement qui l’oblige ? 

: raisonne par l’absurde, dit que si la moralité était fondée sur notre nature, sur une disposition naturelle, elle n’aurait aucune necessité absolu, je ne peux pas m’obliger moi-même, je ne peux pas etre le legislateur d’une loi et en meme temps etre son sujet, fait meme de faire une loi, créer une valeur, je relativise cette valeur, a quoi puis je etre obligé, 

Jamais libre de ne pas se donner une loi, c’est un fait de se donner une loi, postulat evite de se poser la question du fondement de l’obligation, ou bien elle est originaire, absolue, ou bien elle n’est pas. Par relative d’un acte du sujet. Si pas kantiens, des contraintes, des obligation opportune…

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