Devoir de Philosophie

  Le corpus qui nous est présenté est composé de trois textes.

Publié le 26/01/2016

Extrait du document

  Le corpus qui nous est présenté est composé de trois textes. Le premier s'intitule Des Femmes. Il est issu de l’œuvre Les Caractères, écrite en 1696 par J. de la BRUYÈRE. Cet essaie utilise le registre polémique et explique le ressenti des hommes par rapport au maquillage des femmes. Le second se nomme Les lettres persanes. MONTESQUIEU a rédigé cette lettre en 1713. A travers son œuvre, il se fait passer pour un étranger en France qui écrit, je suppose, à l'une de ses connaissances. Ici, le registre pathétique domine. Et enfin, la dernière œuvre produite de la main de Charles BAUDELAIRE, s'appelle L'éloge du maquillage. Elle provient du recueil d'essais Le peintre de la vie moderne écrit en 1868. Dans ces trois textes, les auteurs portent un regard sur l'utilisation du maquillage par les femmes.     Je vais tout d'abord commencer à observer l'aspect dévalorisant du maquillage sur les femmes. Je remarque que J. de la BRUYÉRE porte un tel jugement sur ce sujet. En effet, on observe par exemple sa pensée ligne 7 << que le blanc et le rouge les rend affreuses et dégoûtantes>>. Il utilise des termes à la limite de l'hyperbolisme. Dans cette expression, il les compare de manière sous-entendu à des clowns. Il y a l'utilisation du blanc et du rouge qui le rappelle. Quelques lignes après, il donne le point de vue général de l'homme ligne 10 <>. J. de la BRUYÉRE utilise des termes assez violents et met en cause le physique des femmes pour critiquer leur maquillage. Un autre auteur exploite ce jugement: MONTESQUIEU. Contrairement à J. de la BRUYÉRE qui utilise une argumentation directe, lui préfère en utiliser une indirecte, notamment à travers le personnage de Rica. Il commence par porter un jugement sur la durée du temps nécessaire aux femmes pour se maquiller ligne 9<< plus d'une heure à sa toilette>>. Il veut montrer l'aspect ridicule du temps de préparation des femmes. Peu après, il décide de ridiculiser les femmes qui pensent que le maquillage peut les rajeunir. On observe un exemple ligne 23 et 24 << je ne crois pas qu'il y ait deux jours de différence>>. Le registre pathétique est utilisé dans cette expression quand la femme de 80 ans dit qu'il y a << deux jours de différence>> avec celle de 60ans. Dans ce passage MONTESQUIEU veut aussi montrer que le maquillage et la course à la beauté rendent les femmes plus bêtes qu'elles ne le sont réellement. Dans les 2 œuvres citées, les auteurs portent un jugement critique et dévalorisant sur les femmes et leur maquillage.     Cependant, parmi les trois œuvres, l'une d'elles montre l’importance du maquillage pour les femmes. Il s'agit de l'essaie de Charles BAUDELAIRE. En effet, il nous décrit l'effet de ces crèmes miracles ligne 13 << pour résultat de faire disparaître du teint toutes les taches>>. Il donne aux produits de beauté le pouvoir d'embellir les femmes. Il va même jusqu'à pousser son raisonnement plus loin à l'aide d'une métaphore sous forme de question rhétorique ligne 16 << c'est-à-dire d'un être divin ou supérieur?>>. En comparant les femmes maquillées à des déesses, il veut les glorifier. Il achève son raisonnement ligne 22 à 24 << le rouge, qui […] ajoute à un beau visage féminin la passion mystérieuse de la prêtresse>>. Dans cette énumération, il détaille tous les bienfaits du rouge sur le visage des femmes. Donc Charles BAUDELAIRE aime l'artifice des femmes.     Je peux donc en conclure que J. de la BRUYÈRE et MONTESQUIEU porte un jugement dévalorisant. Tandis que Charles BAUDELAIRE exprime plus un point de vue valorisant .    

« pathétique est utilisé dans cette expression quand la femme de 80 ans dit qu'il y a > avec celle de 60ans.

Dans ce passage MONTESQUIEU veut aussi montrer que le maquillage et la course à la beauté rendent les femmes plus bêtes qu'elles ne le sont réellement.

Dans les 2 oeuvres citées, les auteurs portent un jugement critique et dévalorisant sur les femmes et leur maquillage.     Cependant, parmi les trois oeuvres, l'une d'elles montre l'importance du maquillage pour les femmes.

Il s'agit de l'essaie de Charles BAUDELAIRE.

En effet, il nous décrit l'effet de ces crèmes miracles ligne 13 >.

Il donne aux produits de beauté le pouvoir d'embellir les femmes.

Il va même jusqu'à pousser son raisonnement plus loin à l'aide d'une métaphore sous forme de question rhétorique ligne 16 >.

En comparant les femmes maquillées à des déesses, il veut les glorifier.

Il achève son raisonnement ligne 22 à 24 >.

Dans cette énumération, il détaille tous les bienfaits du rouge sur le visage des femmes.

Donc Charles BAUDELAIRE aime l'artifice des femmes.     Je peux donc en conclure que J.

de la BRUYÈRE et MONTESQUIEU porte un jugement dévalorisant. Tandis que Charles BAUDELAIRE exprime plus un point de vue valorisant .    . »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles