Devoir de Philosophie

Le mot "devenir" dans l'oeuvre de DESCARTES

Publié le 07/08/2010

Extrait du document

descartes

Règles pour la direction de l’esprit, Règle neuvième.

Après avoir exposé les deux opérations de l’intelligence, l’intuition et la déduction, les seules qui puissent nous conduire à la connaissance, nous continuons d’expliquer, dans cette règle et dans la suivante, par quels moyens nous pouvons devenir plus habiles à produire ces actes, et en même temps à cultiver les deux principales facultés de notre esprit, savoir la perspicacité, en envisageant distinctement chaque chose, et la sagacité, en déduisant habilement les choses l’une de l’autre.

  DISCOURS DE LA METHODE, Sixième partie.

 car c’est quasi le même de ceux qui découvrent peu à peu la vérité dans les sciences, que de ceux qui, commençant à devenir riches, ont moins de peine à faire de grandes acquisitions, qu’ils n’ont eu auparavant, étant plus pauvres, à en faire de beaucoup moindres.

  LA DIOPTRIQUE, DISCOURS SEPTIEME, DES MOYENS DE PERFECTIONNER LA VISION.

 Car par exemple, si en regardant l’objet X au travers du verre P, on dispose son oeil C en même sorte qu’il devrait être pour voir un autre objet qui serait à vingt ou trente pas de lui, et que, n’ayant d’ailleurs aucune connaissance du lieu où est cet objet X, on le juge être véritablement à trente pas, il semblera plus d’un million de fois plus grand qu’il n’est, en sorte qu’il pourra devenir d’une puce un éléphant ;

  LES METEORES, DISCOURS SECOND, DES VAPEURS ET DES EXHALAISONS.

 Au lieu que la vapeur qui est vers C commence à devenir opaque ou obscure, à cause que ses parties n’obéissent plus tant à cette matière subtile, qu’elles puissent être mues par elle en toutes façons.

  LES METEORES, DISCOURS TROISIEME, Du sel.

 et derechef le milieu de celle ci demeurant vide elle devient un peu plus grande que la seconde, et ainsi de suite, jusques à ce que le grain entier qui se compose d’un grand nombre de telles petites tables posées l’une sur l’autre, soit achevé c’est-à-dire, jusques à ce que touchant aux bords des autres grains voisins, il ne puisse devenir plus large.

 il est évident que ses parties sont les mêmes qui ont auparavant composé le sel, mais qu’elles n’ont pu monter par l’alambic, et ainsi de fixes devenir volatiles, sinon après qu’en se choquant les unes contre les autres, à force d’être agités par le feu, de raides et inflexibles comme elles étaient, elles sont devenues faciles à plier ;

  LES METEORES, DISCOURS CINQUIEME, Des nues.

 Et il est à remarquer que ce qui les fait ainsi devenir moins transparentes que l’air pur, c’est que lorsque leur mouvement s’alentit, et que leurs parties sont assez proches pour s’entretoucher, elles se joignent et s’assemblent en divers petits tas qui sont autant de gouttes d’eau, ou bien de parcelles de glace ;

 elle ne le peut être non plus pour faire que celui qui e§+ aux cotés se retire, et les laisse devenir plus larges.

 Et si ce froid ne survient qu’après que les gouttes sont déjà formées, il les laisse toutes rondes en les gelant, si ce n’est qu’il soit accompagné de quelque vent assez fort qui les fasse devenir un peu plates du côté qu’il les rencontre.

 Et même qui lorsque ces vents sont un peu chauds, ou bien qu’elle est exposée à la chaleur du Soleil, y acquiert comme une écorce ou une croûte de plusieurs parcelles de glace jointes ensemble qui peut devenir assez grosse et épaisse sans que sa pesanteur la face tomber, à cause que tout le reste de la nue la soutient.

  LES METEORES, DISCOURS SIXIEME, DE LA NEIGE, DE LA PLUIE, ET DE LA GRELE.

 car la chaleur qui se retire dans les pores de ces flocons au moment qu’un vent froid commence à les environner condense et resserre toutes leurs parties en tirant de leurs circonférences vers leurs centres, ce qui les fait devenir assez ronds ;

  LES METEORES, DISCOURS SEPTIEME, DES TEMPETES, DE LA FOUDRE ET DE TOUS LES AUTRES FEUX QUI S’ALLUMENT EN L’AIR.

 Et c’est ainsi que je m’imagine que se font ces travades que les mariniers craignent tant en leurs grands voyages, particulièrement un peu au delà du cap de Bonne-Espérance, où les vapeurs qui s’élèvent de la mer Ethiopique qui est fort large et fort échauffée par le soleil, peuvent aisément causer un vent d’abas qui, arrêtant le cours naturel de celles qui viennent de la mer des Indes, les assemble en une nue, laquelle procédant de l’inégalité qui est entre ces deux grandes mers et cette terre, doit devenir incontinent beaucoup plus grande que celles qui se forment en ces quartiers, où elles dépendent de plusieurs moindres inégalités qui sont entre nos plaines et nos lacs et nos montagnes.

 car ne pouvant devenir assez épaisse pour obscurcir l’air et être visible sans devenir aussi assez grande, elle ne peut paraître ainsi petite qu’à cause.

  L’HOMME.

 Ni comment par l’excès de la veille son cerveau se peut affaiblir, et par l’excès du sommeil s’appesantir, et ainsi devenir semblable à celui d’un homme insensé, ou d’un stupide ;

  LE MONDE OU TRAITÉ DE LA LUMIERE, CHAPITRE IX, De l’origine et du cours des planètes et des comètes en général, et en particulier des comètes.

 savoir celles dont les figures ont été si étendues et si empêchantes, que, lorsqu’elles se sont rencontrées l’une l’autre, il leur a été plus aisé de se joindre plusieurs ensemble, et par ce moyen de devenir grosses, que de se rompre et s’amoindrir ;

  MEDITATIONS METAPHYSIQUES, Méditation Seconde.

 N’est-ce pas que j’imagine que cette cire étant ronde est capable de devenir carrée, et de passer du carré en une figure triangulaire ?

  LES PRINCIPES DE LA PHILOSOPHIE, TROISIEME PARTIE, Art. 48.

 Mais, quelque figure que ces parties aient eue pour lors, elles ont dû par succession de temps devenir rondes, d’autant qu’elles ont eu divers mouvements circulaires ;

  LES PRINCIPES DE LA PHILOSOPHIE, TROISIEME PARTIE, Art. 83.

 Et bien que j’aie supposé que toutes ces parties du second élément ont été égales en leur commencement, quelques-unes ont dû par succession de temps devenir plus petites que les autres, à cause que les endroits par où elles étaient contraintes de passer n’étant pas tous égaux, il a dû y avoir quelque inégalité en leur mouvement, ainsi que j’ai tantôt prouvé, et il a dû aussi suivre de là quelque inégalité en leur grosseur, parce que celles qui ont eu le plus de vitesse se sont heurtées l’une l’autre avec plus de force, et ainsi ont perdu davantage de leur matière.

  LES PRINCIPES DE LA PHILOSOPHIE, TROISIEME PARTIE, Art. 86.

 Ensuite de quoi il est évident que, quelques figures que ces parties du second élément aient eues au commencement, elles ont dû par succession de temps devenir rondes de tous côtés comme des boules, et non point seulement comme des cylindres ou autres solides qui ne sont ronds que d’un côté.

  LES PRINCIPES DE LA PHILOSOPHIE, TROISIEME PARTIE, Art. 109.

 car les parties de cette tache sont tellement jointes l’une à l’autre que l’astre I qu’elles environnent ne peut devenir plus grand ni plus petit qu’il est ;

  LES PRINCIPES DE LA PHILOSOPHIE, TROISIEME PARTIE, Art. 116.

 A savoir, s’il est tellement situé qu’il fasse beaucoup d’empêchement au cours de la matière des autres tourbillons, il pourra être détruit par eux avant que les taches qui couvrent son astre aient le loisir de devenir fort épaisses ;

  LES PRINCIPES DE LA PHILOSOPHIE, QUATRIEME PARTIE, Art. 19.

Le troisième effet de cette matière céleste est qu’elle fait devenir rondes les gouttes de toutes les liqueurs, lorsqu’elles sont entièrement environnées d’air ou d’une autre liqueur dont la nature est si différente de la leur qu’elles ne se mêlent point avec elle, ainsi que j’ai déjà expliqué dans les Météores.

  LES PRINCIPES DE LA PHILOSOPHIE, QUATRIEME PARTIE, Art. 36.

 Et parce que la matière du ciel qui est là parmi elles n’a cessé de les agiter et de faire qu’elles s’entre-suivent et succèdent à la place l’une de l’autre, elles ont dû, par succession de temps, devenir fort unies et glissantes, et à peu près d’égale grosseur, afin de pouvoir remplir les mêmes places ;

  LES PRINCIPES DE LA PHILOSOPHIE, QUATRIEME PARTIE, Art. 38.

 Et bien que ce corps E n’ait eu au commencement que fort peu d’épaisseur, et qu’il n’ait été que comme une petite peau ou écorce qui couvrait la superficie du corps D, il a dû devenir peu à peu plus épais, à cause qu’il y a eu beaucoup de parties qui se sont jointes à lui, tant de celles qui sont descendues du corps B que de celles qui sont montées de D, en la façon que je dirai aux deux articles suivants.

  LES PRINCIPES DE LA PHILOSOPHIE, QUATRIEME PARTIE, Art. 39.

 Mais parce qu’elles n’étaient point jointes l’une à l’autre, et que la matière du ciel qui coulait autour d’elles ne cessait de les agiter, elles ont dû, en s’entre-suivant et passant toutes par les mêmes chemins, devenir fort glissantes et unies et se réduire aux deux espèces de figures que j’ai décrites, ou bien celles qui n’ont pu s’y réduire ont dû sortir de ce corps D ;

  LES PRINCIPES DE LA PHILOSOPHIE, QUATRIEME PARTIE, Art. 132.

 Par exemple si, dans un arc qui n’est point bandé, les pores qui donnent passage au second élément sont exactement ronds, il est évident qu’après qu’il est bandé ces mêmes pores doivent être un peu plus longs que larges, en forme d’ovales, et que les parties du second élément pressent les côtés de ces ovales afin de les faire derechef devenir rondes.

  LES PRINCIPES DE LA PHILOSOPHIE, QUATRIEME PARTIE, Art. 201.

 Pour le moins, entre les philosophes, ceux qui avouent que les parties de la quantité sont divisibles à l’infini, doivent avouer qu’en se divisant elles peuvent devenir si petites qu’elles ne seront aucunement sensibles.

  LES PASSIONS DE L’AME, SECONDE PARTIE, ARTICLE 90.

 Mais le principal est celui qui vient des perfections qu’on imagine en une personne qu’on pense pouvoir devenir un autre soi-même ;

  Correspondance, année 1630, AU R. P. MERSENNE , 20 mai 1630. (Les éditions contemporaines datent cette lettre du 6 mai 1630.).

 Ceux qui n’ont point de plus hautes pensées que cela peuvent aisément devenir athées, et parce qu’ils comprennent parfaitement les vérités mathématiques, et non pas celle de l’existence de Dieu, ce n’est pas merveille s’ils ne croient pas qu’elles en dépendent.

  Correspondance, année 1638, REPONSE DE Monsieur DESCARTES, 12 janvier 1638 (Les éditions contemporaines datent cette lettre de mars, avril ou mai 1638).

 Encore que l’eau ne demeure liquide, qu’à cause que ses parties sont entretenues en leur agitation par la matière subtile qui les environne, cela n’empêche pas qu’elle ne doive le devenir, lorsqu’elles seront agitées par quelque autre cause.

  Correspondance, année 1638, RÉPONSE DE Monsieur DESCARTES A Monsieur MORIN, 13 juillet 1638.

 et tout de même il est très certain, au moins selon moi, que l’agitation d’aucun vent ne peut empêcher l’action de la lumière, excepté seulement en tant que cette agitation peut devenir si violente qu’elle enflamme l’air, auquel cas la lumière qu’elle cause peut effacer d’une étincelle de feu, si tant est qu’elle soit beaucoup plus forte.

  Correspondance, année 1639, A Monsieur DE BEAUNE (A HUYGENS) Les éditions contemporaines retiennent Huygens, 10 juin 1639. Les éditions contemporaines datent cette lettre du 6 juin 1639.

 Et comme on laisse les fruits dans les arbres aussi longtemps qu’ils y peuvent devenir meilleurs, nonobstant qu’on sache bien que les vents et la grêle, et plusieurs autres hasards, les peuvent perdre à chaque moment qu’ils y demeurent ainsi je crois que mon Monde est de ces fruits qu’on doit laisser mûrir sur l’arbre, et qui ne peuvent trop tard être cueillis.

  Correspondance, année 1640, Au R. P. MERSENNE, 6 décembre 1640. (Les éditions contemporaines datent cette lettre de décembre 1640, sans indiquer un jour précis.).

 que vous m’aviez envoyé sa lettre, vous pourrez aussi lui faire voir en confidence la réponse que j’y avais faite, et lui dire que vous n’avez pas voulu lui montrer auparavant, à cause que vous la jugiez trop rude, et craigniez que cela n’empêchât que nous ne puissions devenir amis.

  Correspondance, année 1645, A Monsieur CLERSELIER, 17 février 1645.

 car je juge de là que vous n’en avez point trouvé en ce qui les précède, et que vous n’en trouverez pas aussi beaucoup au reste, ni en ces règles non plus, lorsque vous aurez pris garde qu’elles ne dépendent que d’un seul principe, qui est que, lorsque deux corps se rencontrent, qui ont en eux des modes incompatibles, il se doit véritablement faire quelque changement en ces modes, pour les rendre compatibles, mais que ce changement est toujours le moindre qui puisse être, c’est-à-dire que, si, certaine quantité de ces modes étant changée, ils peuvent devenir compatibles, il ne s’en changera point une plus grande quantité.

Ainsi donc, pour entendre les quatre, cinq et sixième règles, où le mouvement du corps B et le repos du corps C sont incompatibles, il faut prendre garde qu’ils peuvent devenir compatibles en deux façons, à savoir, si B change toute la détermination de son mouvement, ou bien s’il change le repos du corps C, en lui transférant telle partie de son mouvement qu’il le puisse chasser devant soi, aussi vite qu’il ira lui-même.

  Correspondance, année 1646, A MADAME ÉLISABETH, PRINCESSE PALATINE, etc, 15 septembre 1646.

 Même je comprends, sous le nom d’ennemis, tous ceux qui ne sont point amis ou alliés, parce qu’on a droit de leur faire la guerre, quand on y trouve son avantage, et que, commençant à devenir suspects et redoutables, on a lieu de s’en défier.

  Correspondance, année 1646, A MADAME ÉLISABETH, PRINCESSE PALATINE, etc, Sans date. (Les éditions contemporaines datent cette lettre de octobre ou novembre 1646.).

 mais, au regard de votre altesse, j’ai seulement peur qu’elle se moque de me voir devenir trop crédule.

  Correspondance, année 1647, A Monsieur CHANUT, 6 juin 1647.

 Mais je distingue entre ceux de nos biens qui peuvent devenir moindres, de ce que d’autres en possèdent de semblables, et ceux que cela ne peut rendre moindres.

descartes

« car la chaleur qui se retire dans les pores de ces flocons au moment qu'un vent froid commence à les environner condense etresserre toutes leurs parties en tirant de leurs circonférences vers leurs centres, ce qui les fait devenir assez ronds ; LES METEORES, DISCOURS SEPTIEME, DES TEMPETES, DE LA FOUDRE ET DE TOUS LES AUTRES FEUX QUI S'ALLUMENT EN L'AIR. Et c'est ainsi que je m'imagine que se font ces travades que les mariniers craignent tant en leurs grands voyages, particulièrementun peu au delà du cap de Bonne-Espérance, où les vapeurs qui s'élèvent de la mer Ethiopique qui est fort large et fort échaufféepar le soleil, peuvent aisément causer un vent d'abas qui, arrêtant le cours naturel de celles qui viennent de la mer des Indes, lesassemble en une nue, laquelle procédant de l'inégalité qui est entre ces deux grandes mers et cette terre, doit devenir incontinentbeaucoup plus grande que celles qui se forment en ces quartiers, où elles dépendent de plusieurs moindres inégalités qui sontentre nos plaines et nos lacs et nos montagnes. car ne pouvant devenir assez épaisse pour obscurcir l'air et être visible sans devenir aussi assez grande, elle ne peut paraître ainsipetite qu'à cause. L'HOMME. Ni comment par l'excès de la veille son cerveau se peut affaiblir, et par l'excès du sommeil s'appesantir, et ainsi devenirsemblable à celui d'un homme insensé, ou d'un stupide ; LE MONDE OU TRAITÉ DE LA LUMIERE, CHAPITRE IX, De l'origine et du cours des planètes et des comètes en général, et en particulier des comètes. savoir celles dont les figures ont été si étendues et si empêchantes, que, lorsqu'elles se sont rencontrées l'une l'autre, il leur a étéplus aisé de se joindre plusieurs ensemble, et par ce moyen de devenir grosses, que de se rompre et s'amoindrir ; MEDITATIONS METAPHYSIQUES, Méditation Seconde. N'est-ce pas que j'imagine que cette cire étant ronde est capable de devenir carrée, et de passer du carré en une figuretriangulaire ? LES PRINCIPES DE LA PHILOSOPHIE, TROISIEME PARTIE, Art.

48. Mais, quelque figure que ces parties aient eue pour lors, elles ont dû par succession de temps devenir rondes, d'autant qu'ellesont eu divers mouvements circulaires ; LES PRINCIPES DE LA PHILOSOPHIE, TROISIEME PARTIE, Art.

83. Et bien que j'aie supposé que toutes ces parties du second élément ont été égales en leur commencement, quelques-unes ont dûpar succession de temps devenir plus petites que les autres, à cause que les endroits par où elles étaient contraintes de passern'étant pas tous égaux, il a dû y avoir quelque inégalité en leur mouvement, ainsi que j'ai tantôt prouvé, et il a dû aussi suivre de làquelque inégalité en leur grosseur, parce que celles qui ont eu le plus de vitesse se sont heurtées l'une l'autre avec plus de force, etainsi ont perdu davantage de leur matière. LES PRINCIPES DE LA PHILOSOPHIE, TROISIEME PARTIE, Art.

86. Ensuite de quoi il est évident que, quelques figures que ces parties du second élément aient eues au commencement, elles ont dûpar succession de temps devenir rondes de tous côtés comme des boules, et non point seulement comme des cylindres ou autressolides qui ne sont ronds que d'un côté. LES PRINCIPES DE LA PHILOSOPHIE, TROISIEME PARTIE, Art.

109. car les parties de cette tache sont tellement jointes l'une à l'autre que l'astre I qu'elles environnent ne peut devenir plus grand niplus petit qu'il est ; LES PRINCIPES DE LA PHILOSOPHIE, TROISIEME PARTIE, Art.

116.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles