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Le réalisme dans le roman

Publié le 25/01/2011

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C’est en réaction contre l’idéalisme, les émotions et l’imagination associés au mouvement romantique qu’apparait le mouvement réaliste dans la seconde moitié du XIXème siècle. Guy de Maupassant est un des premiers auteurs réalistes de l’époque. Dans sa préface de Pierre et Jean, il affirme : « le réaliste, s’il est artiste, cherchera, non pas à nous montrer une photographie banale de la vie, mais à nous donner la vision plus complète, plus saisissante et plus probante de la réalité même «. Nous commenterons cette citation. Le réalisme cherche à dépeindre le réel telle qu‘il est, c’est-à-dire où tout pourrait se reproduire identiquement dans la réalité. Maupassant prétend dire que les auteurs réalistes de talents se doivent de représenter la réalité en la rendant plus intéressante et convaincante mais sans l’enjoliver. Tout d’abord, à quoi reconnaît-on le réalisme d’autre mouvement littéraire ? Ceci constitue la base du réalisme à laquelle les auteurs ajoutent une surcouche, selon Maupassant, de manière à satisfaire d’autres fonctions du roman réaliste. Le réalisme s’affiche dans un contexte précis et plausible. D’une part les personnages ordinaires évoluent dans un cadre réaliste. D’autre part l’auteur se documente de manière à rendre ses descriptions minutieuses. Les faits réels engendrent des effets sur les lecteurs qui se trouve alors face à un environnement familier. Dans l’extrait de l’Assomoir présenté ci-dessus, les personnages évoluent dans un cadre réaliste de l’époque. Ils sont dans un bistrot avec un alambic, choses qui existent réellement. D’ailleurs tous les objets mentionnés dans les textes réalistes sont vraisemblables. D’autre part, les auteurs en font des descriptions plus ou moins précises permettant de nous montrer que ces objets sont bel et bien réels. Notamment, Zola, lorsqu’il décrit l’alambic, montre ses aspects qui sont tels qu’ils sont dans la réalité (« le grand alambic de cuivre rouge (…) les différentes pièves de l ‘appareil (…) l’énorme cornue d’où tombait un filet limpide d’alcool (…) ses récipient de formes étranges, ses enroulements sans fin de tuyaux (…) un souffle intérieur «). Grâce à ces descriptions minutieuses de choses réelles que le lecteur a pu rencontrer dans son existence, l’auteur peut nous faire redécouvrir ces objets sous un autre angle. D’ailleurs, dans La Jalousie de Alain Robbe-Grillet, la description relativement longue du parcours d’un clou entre des doigts nous présente quelque chose sans intérêt ou bien que nous n’aurions pas remarqué auparavant dans notre environnement. Néanmoins un clou reste quelque chose que nous pouvons rencontrer dans la vie de tous les jours, quelque chose de réel. De plus pour qu’une œuvre soit considéré comme réaliste, il faut non seulement que les objets constituant le cadre existe ou aient existé mais aussi qu’ils aient tous existé durant la même période de temps. De manière à ce que ses descriptions soient détaillés et relèvent du réel, l’auteur éprouve le besoin de se documenter sur le cadre du roman ainsi que sur les personnages. Ces derniers se doivent d’évoluer dans un environnement de l ‘époque auquel ils sont issues. De plus, ils sont réalistes et vraisemblables, c’est-à-dire comme des gens qui auraient pus éventuellement exister à l’époque en question. Par exemple, dans Germinal de Emile Zola, un roman réaliste par excellence, Zola procède à des visites de la mine notamment pour le cadre mais aussi pour les personnages de son roman. Zola peut alors représenter ses personnages en fonction de leur cadre de vie et surtout en relation avec la réalité. Les mineurs qu’il met en œuvre sont tous crédibles. Tous sont très proches de la réalité. Prenez pour exemple la famille Maheu, ils sont présentés comme l’auraient été une famille de mineurs sous le second empire, avec des particularités propres à celles des mineurs. Tout d’abord, les auteurs réalistes prennent des êtres humains comme vous et moi pour leurs personnages principaux, et ensuite ils les modifient de telles sortes à ce qu’ils correspondent au milieu en question. Donc, Zola en tant que réaliste et même naturaliste, a fait de même en y ajoutant les faits qu’il a pu relevé lors de ses visites dans les corons (habitations des mineurs). Et de manière à ce que nous, lecteurs puissent connaître leurs positions dans le cadre et le récit, les auteurs doivent nous le montrer au travers de descriptions ou bien d’évènements représentatifs. Quant aux descriptions de personnages, Honoré de Balzac nous présente Eugénie Grandet dans le deuxième texte du corpus. Ces descriptions, où le personnage est décrit presque intégralement, permettent aux lecteurs de s’imaginer le personnage au sein d’un milieu réaliste, tel que le narrateur le connaît. Dans le cas de Grandet, c’est « Saumur « qui « ne savait rien de plus sur se personnage «. D’où, le réalisme au niveau des personnages s’affiche au niveau des descriptions. Cette réalité des personnages peut également se montrer intérieurement soit au travers de roman autobiographique, ou de narration omniscient. D’ailleurs, dans l’extrait de l’Assomoir, les pensées de quelques personnages nous sont transmis, notamment quand il est dit « Lui, aurait voulu qu’on lui soudât le bout (…) comme un petit ruisseau «. D’où certains réalistes nous laisse découvrir l’intérieur de leurs personnages aussi. Mais tout doit relever du réalisme, les sentiments, les expressions…D’autre part, il serait ennuyeux pour les lecteurs de devoir subir seulement des descriptions pour pouvoir se faire une idée sur les personnages. Les personnages devant rester dans les limites du réel, les lecteurs peuvent s’y identifier aisément en apprenant d’eux de par leurs actions. Les actions de personnages réels d’un roman réaliste peuvent permettre aux lecteurs d’en connaître plus sur les personnages. Les lecteurs vivent dans un monde réel entouré d’autres individus, et par conséquent il leur sera familier les actions des personnages si le réaliste respecte les règles du réalisme. Les lecteurs pourront alors se faire une idée sur le personnage par rapport à ses actions. Mais toute cette base fondée sur un cadre, des personnages et des actions réels a un effet sur les lecteurs. En effet, quel sont les conséquences premières d’un texte réaliste ? Tout d’abord, il a une fonction documentaire, c’est-à-dire que tous les faits que le réaliste introduit certes réels peuvent tout de même ne pas être connus par les lecteurs. Par exemple, dans Germinal, Zola qui s’est documenté sur les mines et les mineurs utilise un vocabulaire sophistiqué tel que « bougnon «, « moyeu «, « rivelaine «… Et de plus lorsque les mineurs sont au fond, Zola nous explique le fonctionnement de la mine. Hormis le fait d’instruire les lecteurs sur le cadre et les personnages d’un milieu à une époque précise, le réaliste peut aussi nous faire découvrir la psychologie humaine, dans des biographies ou des romans autobiographiques, des œuvres réalistes. De plus le roman réaliste contrairement au roman idéaliste peut faire la description de la condition humaine grâce aux faits. Il suffît de bien se documenter sur l’Homme à l’époque choisi. Et l’œuvre peut devenir très intéressante quant à la condition humaine et comment elle a évolué ou comment elle évoluera. Dans les Misérables par Victor Hugo, texte réaliste par excellence, Hugo parvient à nous décrire la vie de misérable dans Paris et dans la France provincial. Cela devient un roman historique, social, et philosophique dans lequel on retrouve les idéaux du romantisme et ceux de Victor Hugo concernant la nature humaine. D’où tout ce réel permet d’instruire mais également de distraire une fois que le réaliste y a apporté sa propre touche. Le réaliste utilise les faits réels, qu’il a pu éventuellement aller chercher sur place, sur le cadre et les personnages pour ensuite en faire un roman réaliste en y ajoutant sa propre touche. Cette ajout sur le réel permet au roman de distraire premièrement et d’avoir pour vocation de changer la société, tel que le sont les romans engagés. D’abord, au lieu de décrire objectivement en ne citant que les faits, le réaliste choisi plutôt de rendre ses descriptions plus intéressantes. Elles deviennent alors subjectives avec l’utilisation d’images notamment pour que les lecteurs puissent prendre partie pour des personnages choisis par l’auteur et pour qu’ils aient un préjugé sur des endroits du roman. Les auteurs peuvent alors présenter les choses telles qu’ils veulent qu’elles soient dans les limites de la réalité. D’ailleurs, la façon dont Grandet est décrit ne rend pas le physique de Grandet effrayant alors que sa corpulence (« trapu, carré, avec des mollets de douze pouce de circonférence «) aurait pu en faire quelqu’un de terrifiant. Tout dépend de la façon dont le réaliste souhaite présenter les faits. De ces choix, le réaliste peut rendre les enjeux du roman plus clairs, ou bien il peut aussi créer du suspense, ce qui permettrait de distraire. Ainsi, Zola, très sensible à la construction des romans populaires, s’est également inspiré du théâtre pour mettre en place la structure de ces romans. Il dit (en parlant du théâtre) « J’y ai appris comment un personnage doit entrer et sortir ; j’y ai appris la symétrie des scènes frappantes, la nécessité des rôles sympathiques et moraux, tous les escamotages de la vérité, grâce à un geste à une tirade. «. D’où, bien que les réalistes utilise comme ressource première la réalité même, ils en font un usage à leur grès, c’est-à-dire qu’ils peuvent créer leurs personnages et leurs cadres certes vraisemblables mais dans leur intérêt, de manière à créer du suspense ou autres, pour distraire. Les romans policiers sont pour la plupart réalistes et ils sont écrits pour le seul but de distraire les lecteurs. Par conséquent le réalisme est poussé jusqu’aux limites de la réalité pour rendre le roman plus distrayant, car le réaliste est tout de même maître de la réalité. Le fait de choisir comment placer la réalité et où dans un roman réaliste permet aussi de critiquer. Les auteurs réalistes écrivent tous plus ou moins dans des périodes contemporaines de leurs époques. Et le fait qu’ils aient le choix sur cette réalité dans leur roman leur permet de présenter la réalité comme ils la souhaitent (« J’ai l’hypertrophie du détail vrai, le saut dans les étoiles sur le tremplin de l’observation exacte. La vérité monte d’un coup d’aile jusqu’au symbole « affirme Zola). Certes Zola est obsédé par les détails vrais, mais de tous ceux qu’il a à disposition il peut utiliser seulement ceux qui lui permettront d’accentuer la critique. Je pense que du moment qu’une histoire réaliste est placée dans un contexte historique, l’œuvre se veut plus ou moins engagée. Donc la retouche du réaliste quant aux descriptions du cadre ou des personnages ou bien rien que le choix des détails peut rendre une situation d’un roman symbolique. Et le symbolisme de ce roman réaliste peut alors devenir une critique de la société, de la politique ou des mœurs. Certains romans réalistes sont des satires du système politique contemporain de l’époque du roman. Sinon il peut être question de satire sociale comme dans Bel Ami de Maupassant, où on a à faire à une ascension sociale d’un personnage, Du Roy au travers d’une bourgeoise corrompue de la société hypocrite de la fin du XIXème siècle. Finalement, la satire peut s’effectuer au niveau des mœurs comme dans Eugénie Grandet. Le roman évoque les mentalités sous la Restauration française et mène également une étude de l’évolution de caractères différents au cours du temps, de l’inflexibilité du père Grandet, de la perte des illusions de sa fille, et de la transformation de son neveu, dandy devenu « gentleman « pour finir en personnage froid, intéressé, et calculateur. Dans le réalisme, toutes ces satires sont rendues possibles dans le roman engagé à cause des réalistes qui outre que les faits réels ajoute une surcouche necessaire. Nous avons vu que le réalisme se doit de rester dans le réel, cependant de manière à remplir les fonctions voulues du roman, les « artistes « ajoutent un surplus sur la réalité, ou bien l’utilise intelligemment. D’où le roman réaliste s’opposant à l’idéalisme pousse jusqu’au limite du réel car il se veut distrayant et parfois engagé. La distraction et l’engagement au sein d’un roman réaliste rendent en effet la réalité du roman « plus probante et plus saisissante «. Pour ce qui est de la complétude, elle est achevée une fois que l’artiste a retouché les faits réels pour en faire un roman réaliste. J’approuve tout à fait la citation de Maupassant.   

« ses visites dans les corons (habitations des mineurs).

Et de manière à ce que nous, lecteurs puissent connaître leurspositions dans le cadre et le récit, les auteurs doivent nous le montrer au travers de descriptions ou biend'évènements représentatifs.

Quant aux descriptions de personnages, Honoré de Balzac nous présente EugénieGrandet dans le deuxième texte du corpus.

Ces descriptions, où le personnage est décrit presque intégralement,permettent aux lecteurs de s'imaginer le personnage au sein d'un milieu réaliste, tel que le narrateur le connaît.

Dansle cas de Grandet, c'est « Saumur » qui « ne savait rien de plus sur se personnage ».

D'où, le réalisme au niveau despersonnages s'affiche au niveau des descriptions.

Cette réalité des personnages peut également se montrerintérieurement soit au travers de roman autobiographique, ou de narration omniscient.

D'ailleurs, dans l'extrait del'Assomoir, les pensées de quelques personnages nous sont transmis, notamment quand il est dit « Lui, aurait vouluqu'on lui soudât le bout (…) comme un petit ruisseau ».

D'où certains réalistes nous laisse découvrir l'intérieur deleurs personnages aussi.

Mais tout doit relever du réalisme, les sentiments, les expressions…D'autre part, il seraitennuyeux pour les lecteurs de devoir subir seulement des descriptions pour pouvoir se faire une idée sur lespersonnages.

Les personnages devant rester dans les limites du réel, les lecteurs peuvent s'y identifier aisément enapprenant d'eux de par leurs actions.

Les actions de personnages réels d'un roman réaliste peuvent permettre auxlecteurs d'en connaître plus sur les personnages.

Les lecteurs vivent dans un monde réel entouré d'autres individus,et par conséquent il leur sera familier les actions des personnages si le réaliste respecte les règles du réalisme.

Leslecteurs pourront alors se faire une idée sur le personnage par rapport à ses actions.

Mais toute cette base fondéesur un cadre, des personnages et des actions réels a un effet sur les lecteurs. En effet, quel sont les conséquences premières d'un texte réaliste ? Tout d'abord, il a une fonction documentaire,c'est-à-dire que tous les faits que le réaliste introduit certes réels peuvent tout de même ne pas être connus parles lecteurs.

Par exemple, dans Germinal, Zola qui s'est documenté sur les mines et les mineurs utilise un vocabulairesophistiqué tel que « bougnon », « moyeu », « rivelaine »… Et de plus lorsque les mineurs sont au fond, Zola nousexplique le fonctionnement de la mine.

Hormis le fait d'instruire les lecteurs sur le cadre et les personnages d'unmilieu à une époque précise, le réaliste peut aussi nous faire découvrir la psychologie humaine, dans des biographiesou des romans autobiographiques, des œuvres réalistes.

De plus le roman réaliste contrairement au roman idéalistepeut faire la description de la condition humaine grâce aux faits.

Il suffît de bien se documenter sur l'Homme àl'époque choisi.

Et l'œuvre peut devenir très intéressante quant à la condition humaine et comment elle a évolué oucomment elle évoluera.

Dans les Misérables par Victor Hugo, texte réaliste par excellence, Hugo parvient à nousdécrire la vie de misérable dans Paris et dans la France provincial.

Cela devient un roman historique, social, etphilosophique dans lequel on retrouve les idéaux du romantisme et ceux de Victor Hugo concernant la naturehumaine.

D'où tout ce réel permet d'instruire mais également de distraire une fois que le réaliste y a apporté sapropre touche. Le réaliste utilise les faits réels, qu'il a pu éventuellement aller chercher sur place, sur le cadre et les personnagespour ensuite en faire un roman réaliste en y ajoutant sa propre touche.

Cette ajout sur le réel permet au roman dedistraire premièrement et d'avoir pour vocation de changer la société, tel que le sont les romans engagés.

D'abord,au lieu de décrire objectivement en ne citant que les faits, le réaliste choisi plutôt de rendre ses descriptions plusintéressantes.

Elles deviennent alors subjectives avec l'utilisation d'images notamment pour que les lecteurspuissent prendre partie pour des personnages choisis par l'auteur et pour qu'ils aient un préjugé sur des endroits duroman.

Les auteurs peuvent alors présenter les choses telles qu'ils veulent qu'elles soient dans les limites de laréalité.

D'ailleurs, la façon dont Grandet est décrit ne rend pas le physique de Grandet effrayant alors que sacorpulence (« trapu, carré, avec des mollets de douze pouce de circonférence ») aurait pu en faire quelqu'un deterrifiant.

Tout dépend de la façon dont le réaliste souhaite présenter les faits.

De ces choix, le réaliste peut rendreles enjeux du roman plus clairs, ou bien il peut aussi créer du suspense, ce qui permettrait de distraire.

Ainsi, Zola,très sensible à la construction des romans populaires, s'est également inspiré du théâtre pour mettre en place lastructure de ces romans.

Il dit (en parlant du théâtre) « J'y ai appris comment un personnage doit entrer et sortir ;j'y ai appris la symétrie des scènes frappantes, la nécessité des rôles sympathiques et moraux, tous lesescamotages de la vérité, grâce à un geste à une tirade.

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D'où, bien que les réalistes utilise comme ressourcepremière la réalité même, ils en font un usage à leur grès, c'est-à-dire qu'ils peuvent créer leurs personnages etleurs cadres certes vraisemblables mais dans leur intérêt, de manière à créer du suspense ou autres, pour distraire.Les romans policiers sont pour la plupart réalistes et ils sont écrits pour le seul but de distraire les lecteurs.

Parconséquent le réalisme est poussé jusqu'aux limites de la réalité pour rendre le roman plus distrayant, car le réalisteest tout de même maître de la réalité. Le fait de choisir comment placer la réalité et où dans un roman réaliste permet aussi de critiquer.

Les auteursréalistes écrivent tous plus ou moins dans des périodes contemporaines de leurs époques.

Et le fait qu'ils aient lechoix sur cette réalité dans leur roman leur permet de présenter la réalité comme ils la souhaitent (« J'ail'hypertrophie du détail vrai, le saut dans les étoiles sur le tremplin de l'observation exacte.

La vérité monte d'uncoup d'aile jusqu'au symbole » affirme Zola).

Certes Zola est obsédé par les détails vrais, mais de tous ceux qu'il a àdisposition il peut utiliser seulement ceux qui lui permettront d'accentuer la critique.

Je pense que du moment qu'unehistoire réaliste est placée dans un contexte historique, l'œuvre se veut plus ou moins engagée.

Donc la retouchedu réaliste quant aux descriptions du cadre ou des personnages ou bien rien que le choix des détails peut rendreune situation d'un roman symbolique.

Et le symbolisme de ce roman réaliste peut alors devenir une critique de lasociété, de la politique ou des mœurs.

Certains romans réalistes sont des satires du système politique contemporainde l'époque du roman.

Sinon il peut être question de satire sociale comme dans Bel Ami de Maupassant, où on a àfaire à une ascension sociale d'un personnage, Du Roy au travers d'une bourgeoise corrompue de la sociétéhypocrite de la fin du XIXème siècle.

Finalement, la satire peut s'effectuer au niveau des mœurs comme dansEugénie Grandet.

Le roman évoque les mentalités sous la Restauration française et mène également une étude de. »

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