Devoir de Philosophie

Le rôle de l'investissement dans les fluctuations économiques : Dans quelle mesure l’investissement est-il facteur de croissance ?

Publié le 27/11/2011

Extrait du document

Le rôle de l’investissement dans les fluctuations économiques : Dans quelle mesure l’investissement est-il facteur de croissance ?

Investissement : Un flux qui s’ajoute sous forme d’équipements neufs au capital productif.

 Dans les années 90 de nbreuses analyses empiriques sur les déterminants de la croissance èPlus de 50 variables ont une corrélation positive avec la croissance, mais Levine et Renelt montrent en 1992 que la seule variable reliée de manière robuste à la croissance est l’investissement qq soit le lieu, période. C’est-à-dire que sa relation à la croissance reste statistiquement significative quand d’autres variables sont ajoutées.

Aujourd’hui dans un contexte de croissance faible 1.5% en 2010, il est alors essentiel de se poser la question de savoir ce qui influence la croissance et comment la relancer. Avec la politique de rigueur, n’y a –t-il pas un risque de pénaliser l’investissement avec hausse des impots, diminution des investissements publics ?

Comment l’analyse des effets de l’investissement permet-elle de comprendre son rôle dans les fluctuations économiques ?

L’investissement  joue-t-il un rôle favorable dans la croissance et par quels mécanismes ?

I-                    L’investissement moteur de la croissance

a)      Influence sur la demande

Investissement=achat=demande bien de production. L’investissement joue un rôle crucial dans la croissance de par ses fluctuation (contrairement à la D qui ne varie peu)

Il est à l’origine des cycles courts de l’activité économique selon Keynes

L’investissement contribue fortement à la croissance grâce à l’effet multiplicateur lorsque les entreprises investissent, elles dépensent, donc fournissent des revenus à d’autres agents qui seront en partie consommés, cette dépense engendre de nouveaux revenus et ainsi de suite.

L’effet de l’investissement en terme de demande est plus que proportionnel au montant initial de l’investissement.

b)      Influence sur l’offre

Iil offre une capacité de production supplémentaire, proportionnelle au montant de l’investissement.

Sans investissement pas de croissance car on ne peut produire plus

Investissement de capacité augmente le niveau de prod

De remplacement évite une baisse

De productvité diminue les prix de vente et augmente la D donc la P

L’investissement d’innovation créé une nouvelle demande et entraîne les phases de croissance forte des cycles longs de Kondratiev grace aux grappes d’innovation.

Investissements générateurs d’externalités positives : la R et D, inv sociaux, infra structures INV PU

Mais aussi privés : . l’investissement améliore aussi la productivité du travail grâce aux nouveaux équipements, aussi apprentissage par la pratique « learning by doing « de Arrow. L’investissement d’une firme profite aux autres avec hausse expérience

 

 

c)       Quelle forme d’investissement ?

Parmi les formes d’investissement, l’investissement productif contribue particulièrement  et l’inv pdtif en équipements. (pas bâtiments et biens durables de transport)

RI : les pays les plus riches ceux qui se sont lancés dans la mécanisation le plus tôt.

 

 

 

II-                  L’investissement peut générer des crises

a)      Investissement créé un déséquilibre entre O et D

Pour Harrod (1948) et Domar 1946 : pour que l’accroissement de la D coincide avec celui de l’offre, il faut que que le taux de croissance de l’investisseent soit égal au rapport entre le taux d’épargne et le coefficient de capital. CROISSANCE EQUILIBREE

Quasiment aucune chance de se réaliser.car la propension à épargner, le coefficient de capital et le taux de croissance de la production sont indépendants les uns des autres Le pb du fil du rasoir si la croissance est inférieure à ce taux, elle va avoir tendance non pas à le rejoindre, mais à s’en éloigner davantage, diminuant progressivement (en raison du multiplicateur d’investissement). La croissance est donc, selon une expression d’Harrod, toujours « sur le fil du rasoir

Samuelson 1939 montre comment l’interaction entre le multiplicateur et l’accélérateur peut déboucher sur une croissance régulière ou le plus souvent sur une forte instabilité conjoncturelle : Modèle d’oscillateur car défaut de coordination entre la décision d’investir des entreprises(fondées sur la D anticipée) et les décisions d’épargne des ménages(fondées sur le R). Aucun mécanisme pour les rééquilibrer.

Si les agents économiques ont des perspectives trop optimistes, ils peuvent trop investir, ce qui les conduira à avoir des capacités de production excédentaires. On dit qu’il y a surinvestissement. À l’échelle d’un pays, un surinvestissement très élevé conduit généralement à une crise économique

b)      Investissement et emploi

Les théories des crises capitalistes chez Marx :

 Première théorie : accumulation du capital, surpopulation relative et crises de sous-consommation

Inv et pt facteur de chômage théorie qui remonte à la révolte des canuts lyonnais contre les machines à tisser 19ème

L’inv remplace le L par le K.

Et risque de chomage des moins qualifiés.

 

III-                Faut-il alors encourager l’investissement ?

c)       Désencourager l’investissement serait un risque

Diminution des gains de PT il est indispensable au maintien de la cpté et permet l’augmentation de la richesse nationale.les pays qui ont connu la croissance la plus forte dpuis la seconde GM sont ceux qui ont fait l’effort d’inv le plus grand

Dans économie mondialisée impossible, on ne serait plus compétitif et notre croissance en patirait

A permis la forte croissance de l’Asie de L’est Krugman dans le Mythe asiatique compare leur expérience à celle de lunion soviétique : imprtance de l’accumulation du K

b) difficulté de l’influencer

Fiscalité et investissement

Incitations fiscales variées ayant toutes pour but d’alléger le coût du capital

Mesures fiscales peu efficaces elles coutent plus cher que le supplément d’inv qu’elles engendrent

 

Inefficacité de la baisse de taux d’intérêt années 90

 

d)      Investissements publics essentiels

C’est pourquoi se pose la Q de l’inv pu

 est d’investir dans les activités innovantes à forte intensité en travail qualifié pour encourager l’emploi

L’investissement privé doit absolument être accompagné d’investissements publics dans la recherche et formation pour éviter le risque de chômage des moins qualifiés.

Mais contexte européen d’ajustement budgétaire n’est pas favorable à des mesures de relance

 

CORRECTION

Actualisation : Question de la désindustrialisation de la France, comme réindustrialiser la France.

L’investissement productif est-il à même de résoudre des pbs soulevés par la crise financière ?

Les pays qui s’en sortent le mieux ne sont-ils pas ceux qui investissent le plus : Allemagne

Investissement productif

Role fonsamental dans le démarrage des pays industrialsés c’est pour ça qu’on lui accorde un rôle si important dans la croissance, element fondmaental qu perment de ifférencir un pays qui se dév d’un pays sous –développé, permet d’enclencher le sprocessus de croissance.

Cet Investissement est en mm tps irrégulier, la croissance est marquée de fluctuation importantes. Queston de savoir quel role joue l’investissement dans ces fluctuations et si on peut faire jouer à l’inv un rôle contra-cyclique, qui s’oppose au fluctuations négatives de la croissance pour éviter les crises.

Enquoi ‘inv peut à la fois expliquer les acoups de la croissance et s-il peut jouer un rôle d’atténuation des fluctuations eco

 

I-                    Rôle trad de l’inv est celui de stimulant de la croissance

A)     Une corrélation stat indiscutable entre inv et croissance

Certains éco parlent même de loi. La taux d’investissement exprime l’effort consenti par un pays pour accroitre son stock de capital et on s’percoit que plus ce taux est eleve plus la croissance est elevée Rostox Considère que c’est un element d’explication du décollage eco qui se produit quand taux dépasse les 10%

Frnce 30G taux supérieur à 20%, et croissance sup à 5% en myenne. JAPon 30% et croissance de 10% après guerre jusqu’au 70’s.

Chine taux de 40% et taux de croissance les plus élévés du monde, + de 16% certaines années.

Quand il y a ralentissement ou accélération de linv ou constate une évlution similaire de la croissance. ON le voit au 19ème et 20ème siècles, toute l’analyse des cyclyes le montre (de Kitchin, de Juglar de Kondratiev

Dans les phases ascendantes des cylcles la croissance de l’inv est forte alors que dans phases descendantes chute e l’inv

B)      Role de l’inv dans les mécanismes de la croissance

En tant qu’éléent de la D gobale capacité accroit l’offre. Pté il permet d’économiser des facteurs de prod au profit d’autres sécteurs . Même quand il ne fait qu’assurer la fonction d’amrtissement inv permet de stimuler d’offre de prod. Qqsoit ses formes il apparait comme central.

Son Impact a été montré par Aftalion metaphore du poele à charbon. Il explique que l’inv explique un role important dans la surréaction de l’inv au rythme de la croissance .

Le Poêle à Charbon : chauffe les classes. On le bourre pour chauffer chaleur extrêmement forte, puis on en mets moins pour qu’il refroidisse. Température tombe. Le charbon représente l’investissement, on a tendance à trop investir ou pas assez, incapacité d’adapter le volume de l’inv à l’effet recherché.

Obsession pour Keynes de maintenir un flux d’inv positif pour eviter récession. Ex situation agl années 20 et 30 situations de sur inv précéder des situations de sous inv.

Le processus même de l’inv explique ces csqces déstabilisatrices Schumpeter l’inv ne peut être que le reflet des innovations dont la croissance dépend

 

 

 

II-                  On a essayé dans le passé de luis faire jouer un rôle contra-cyclique

L’inv peut-il jouer un rôle de régulateur ?

A)     Progressivement on a vu les economistes se centrer sur l’idée que l’inv pouvait « faire durer le boum «

Rôle dev à travers l’investissemen pu qui est devenu un instru de régulation dans la croissance pour tenir compte de ces aléas de l’inv privé. Une des justifications de la pol éco est de considérere que l’inv pu est le moyen de suppléer aux carences de l’inv privé. Projet de la Tennessee Valley Authority objectif de distribuer des revenus pour soutenir la croissance. Exemple même des grds travaux aux EU pdt crise des années 30, sous Roosevelt.(barrages, routes, infrastructures pour augmenter les flux de prod et redonner au cercle vertueux de la croissance des moyens de fonctionner)

Ce role attribué à l’inv pu ets retrouvé avec la logique Keynésienne.

Ex français des nationalisation de 45qui visent à dev les infrastructures.

Japon le MITI ministère de l’industrie et du commerce extérieur qui vise à allier les pouvoirs pu et l’activité économique

Cas en France après crise 70 où Etat intervient à travers programmes ex modernisation des télécom, programme Eléctro-nucléaire

Prog Freycinet 1879 Dev des chemins de Fer

La politique budgétaire des Etats est souvent dependante de cet objectif d’inv pu ou privé.

On parle beaucoup des niches fiscales une niche oubliée :le calcul fiscal de l’amortissement

Au niveau Européen le changement des normes induit des dépenses pour s’y adapter.

En ce qui concerne la fiscalité des soc proprement dite IS impôt sur les soc est au cœur de cette pbtique Thatchérisme 80.

Poids des cotisations sociales emplois mais aussi développer le capital.

De la mm facçon la politique monétaire favorise le dev de l’inv taux d’int élevés pénalisent l’inv et faibles permettent effet de levier.

 

Ils ont été un élément central de la pbtique del’inv un tx d’intérêt réel qui peut être négatif encourage à l’inv

 

B)      Des effets cotradictoires

Si la stimulation de l’inv a été au cœur des politiques économiques ceci n’a pas toujours eu les effets attendus.

Dans un premier temps on permis un renouvellement rapide de la croissance industrielle, on a parlé de croissance équilibrée et même de fin de des cycles dans les années 60.Très vite appraissent des dérives de la régulation avec l’inflation la stimulation de linflation tendance soit à suraccumulation ou surinvestissement caractérisés par la  baisse de l’accumulation du capitale. La fresque du Sytsème pdtif franaçais document INSEE qui montre que la baisse de l’accumulation K Précède les chocs pétrolier.

Surinv inv de moins en moiisn rentables + pb de compétitivité avec contrainte extérieure. LA crise des années 70 a osé la question de la nature de l’inv, ne fallait-il pas repenser l’inv, au regard des innovations majeures du système productif et une transformfation de l’apparail productif

 

 

 

 

 

III-                Depuis une trentaine d’années le retour des fluctuations fortes de l’éco montre les limites de ce role il faut repenser l’inv

Comment repenser l’investissement  pour affrotner les nuvelles contraintes éco ?

A)     Des réponses insuffisntes à la crise par les mécanismes donnés Mecanimes de Keynes inopérants dans des économies ouvertes. Un inv pdtif qui n’a plus l’effet entrainant dans une economie tertiarisée difficulté mm pou rl’inv pu à jouer un rôle contra-cyclique. En effet avec l’ouverture extérieure la lutte contre l’inflation devient première et impose des critères de rentabilité et d’efficience qui remettent en cause les appareils productifs des vielles nations industrielles en passant d’une éco d’endettement à une éco de fonds propres début années 80 Inv pdtif perd de son intereret par rapport à inv fi on favorise le K fiancier sur Pdtif renoue avec ogique dénoncée pr Keynes années 20

Retour des cycles financiers. Ce ci conduit à repenser la def et le role des inv

B)      L’inv propre à relancer la cpté semble de moins en moins matériel et de plus en plus immatériel

Effectivement la cpté a pu apparaitre comme reposant ces dernières années sur la recherche le marketing etc cpté HORS COUT. Le capital se révèle être de plus n plus humain d’où l’importance accordée à la formation et aux réformes de la formation. Comment mettre en place des filières plus productives ?

 

France Années 80 on a incité les entreprises à investir. Mais elle se sont reposées sur l’Etat

 

Repenser l’investissement c’est voir que ‘linnovation impose un plus grande compétence, recompostiton des savoirs faire qui ne peut se satisfaire de l’immobilisme de la croissance passée.  L’inv est une notion qui évolue qui change de nature et ilfaut prendre en compte toutes les composantes de la nature de l’inv pour qu’il soit mieux adapté aux nouveaux enjeux de la croissance.

 

Les mutations du role de l’inv dans les mécanismess de la croissance montrenet qu’il ne faut pas rester figé l’inv pdtif grd un role dterminant dans la croissance (croissance endogène) mais il faut savoir aborder l’inv sous ses formes nouvelles (immat et K humain ) pour comprendre et valoriser cette part résiduelle de l’explication de al croissance éco résidu de Solow et que Carré Dubois et Malinvaud ont dev dans leur analyse concernant les croissance française dans années 80

Liens utiles