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Lorenzaccio ! Mise en abîme

Publié le 16/12/2012

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Lorenzaccio, une mise en abîme de la représentation théâtral ! Définition :  Une mise en abyme désigne l’enchâssement d’un récit dans un autre récit, d’une scène de théâtre dans une autre scène de théâtre (théâtre dans le théâtre), ou encore d’un tableau dans un tableau Présentation. Auteur. Poète français et dramaturge = période romantiquetrès tôt porté par la littératureAprès un échec sur les planches => «  Un spectacle dans un fauteuil «Relation houleuse avec George SandLégion d'honneur => 1845Élu à l'académie française => 1852NAW => Grand écrivain romantique français dont le théâtre et la poésir lyrique montrent une sensibilité extrême, une interrogation sur la pureté et la débauche, une exaltation de l'amour et une expression sincère de la douleur qui renvoie à sa vie tumultueuse qu'illustre emblématiquement sa relation avec George Sand. Œuvre. Drame romantiqueIdée de George SandDescription : héros romantique Lorenzo de MédicisÉvénements réels => Chronique de la Renaissance sur la vie de Florence au XVI e Introduction. Lorenzaccio n'a pas été mis en scène immédiatement.cinq actes n'ont jamais été joués intégralement : leurs trente-six scènes exigeraient trois soirées, une soixantaine de décors 1896 : la première représentation du drame, au théâtre de la Renaissance, dans une adaptation qui redistribue l'action en trois actes. Lorenzaccio y est incarné par Sarah Bernhardt dans la tradition des rôles travestis. Par la suite, le rôle fut repris par d'autres actrices, avant d'être interprété pour la première fois par un homme en 1952, au festival d'Avignon, interprétation mémorable de Gérard Philipe qui signait aussi la mise en scène. Puis en 1976, c'est Francis Huster qui endosse le rôle à la Comédie-Française. I) Le théâtre dans le théâtre. Le texte de Musset présente en quelque sorte une pièce de théâtre à l'interieur de la pièce Lorenzaccion . => Les masques adoptés par Lorenzo.Le fait que ce personnage est une double personnalité, rappel le jeux des acteurs sur scène, ils doivent savoir se dédoubler sans difficulté. Dans cette pièce, nous avons l'impression que Lorenzaccio, fait une représentation théâtral de sa vie, écrite par lui.Le titre de la pièce, Lorenzaccio ( et non pas, par ex, Lorenzo de Medicis) insiste sur le rôle joué par Lorenzo de débauché, d’organisateur des plaisirs du Duc Alexandre. Lorenzaccio tient se surnom, car il est vue comme un homme faiblesse. Il se présente comme une personne aillant une phobie importante des épées. Et il opte pour cette personnalité afin de pouvoir tromper son cousin et parvenir à ses fins. Lorenzo tient délibérément.Certaines scènes de cette pièce, nous laisse entrevoir une représentation du théâtre dans le théâtre : III,1 constitue une répétition de la scène du meurtre. On a une répétition théâtrale ds le théâtre.• IV,5: Lorenzo, meurtrier, se fait metteur en scène• IV, 9 : le monologue vaut pour une répétition par Lorenzo de son dernier échange avec le Duc. La mise en abyme donne à voir - les différentes facettes de Lorenzo, la pluralité de son moi. II) Un dédoublement de la théâtralité.C'est là un "dédoublement de la théâtralité", qui invite les spectateurs à prendre conscience que la pièce qu'ils sont venus voir n'est que fiction, qu'ils sont bien au théâtre et non dans la réalité. Cela démontre que le théâtre et " une communication à propos de la communication entre les personnages" .Il y a une mis en abyme, par laquelle il y a la scène à la fois des regardants ( spectateurs) et des regardés ( acteurs). Pourtant ces spectateurs-regardants sont aussi regardés par le public dans la salle. II) Un miroir qui réfléchit le récit.Cette mise en abyme théâtrale crée une image démultipliée, une sorte de miroir qui réfléchit le récit et le dédouble en " deux pièces l'une enchâssante, l'autre enchassée".Cpdt non systématique. Elle est sur scène, le fait que le peuple regarde l'évolution du duc, de son entourage, des grandes familles aristocratiques et qui commente. On retrouve des verbe de perception ( voir, regarder ...) , démonstratifs ( celui_là ) et de nombreuse exclamation. SC 2 ACT 1    Ainsi les personnages, n'agissent pas mais nous informe du spéctacle de la rue et sur la vie de la cité.On reçoit deux type d'info : auteur = didascalie = jeu de l'acteur                                            perso = tirafe et répliqueDans Lorenzaccion la double énonciation est accentué par cette mise en abyme puisque les personnages évoquent des lieux qui n'apparaissent pas sur scène: l'interieur des palais, le boudoir de la marquise, ce qu'ils voient au loin ou par la fenêtre   

« drame, au théâtre de la Renaissance, dans une adaptation qui redistribue l'action en trois actes.

Lorenzaccio y est incarné par Sarah Bernhardt dans la tradition des rôles travestis.

Par la suite, le rôle fut repris par d'autres actrices, avant d'être interprété pour la première fois par un homme en 1952, au festival d'Avignon, interprétation mémorable de Gérard Philipe qui signait aussi la mise en scène.

Puis en 1976, c'est Francis Huster qui endosse le rôle à la Comédie-Française. I) Le théâtre dans le théâtre. Le texte de Musset présente en quelque sorte une pièce de théâtre à l'interieur de la pièce Lorenzaccion .

=> Les masques adoptés par Lorenzo.Le fait que ce personnage est une double personnalité, rappel le jeux des acteurs sur scène, ils doivent savoir se dédoubler sans difficulté.

Dans cette pièce, nous avons l'impression que Lorenzaccio, fait une représentation théâtral de sa vie, écrite par lui.Le titre de la pièce, Lorenzaccio ( et non pas, par ex, Lorenzo de Medicis) insiste sur le rôle joué par Lorenzo de débauché, d'organisateur des plaisirs du Duc Alexandre. Lorenzaccio tient se surnom, car il est vue comme un homme faiblesse.

Il se présente comme une personne aillant une phobie importante des épées.

Et il opte pour cette personnalité afin de pouvoir tromper son cousin et parvenir à ses fins.

Lorenzo tient délibérément.Certaines scènes de cette pièce, nous laisse entrevoir une représentation du théâtre dans le théâtre : III,1 constitue une répétition de la scène du meurtre.

On a une répétition théâtrale ds le théâtre.• IV,5: Lorenzo, meurtrier, se fait metteur en scène• IV, 9 : le monologue vaut pour une répétition par Lorenzo de son dernier échange avec le Duc. La mise en abyme donne à voir - les différentes facettes de Lorenzo, la pluralité de son moi. II) Un dédoublement de la théâtralité.C'est là un "dédoublement de la théâtralité", qui invite les spectateurs à prendre conscience que la pièce qu'ils sont venus voir n'est que fiction, qu'ils sont bien au théâtre et non dans la réalité.

Cela démontre que le théâtre et " une communication à propos de la communication entre les personnages" .Il y a une mis en abyme, par laquelle il y a la scène à la fois des regardants ( spectateurs) et des regardés ( acteurs).

Pourtant ces spectateurs-regardants sont aussi regardés par le public dans la salle. II) Un miroir qui réfléchit le récit.Cette mise en abyme théâtrale crée une image démultipliée, une sorte de miroir qui réfléchit le récit et le dédouble en " deux pièces l'une enchâssante, l'autre enchassée".Cpdt non systématique.

Elle est sur scène, le fait que le peuple regarde l'évolution du duc, de son entourage, des. »

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