Point de vue Juif et Allemand dans le film La rafle

La rafle, film historique réalisé par Roselyne Bosch mettant en scène de façon tragique la rafle du Vél d'Hiv datant du 16 juillet 1942, nous presente ici l'arrestation de dizaine de milliers de personnes, donc environs quattre mille enfants, dont la \"survie\" nous est présenté dramatiquement tout au long du film.Ici nous allons nous interresser aux differents point de vue traité dans ce film, dans un premier temps le point de vue allemands et alliés par rapport à cette Rafle et dans un second temps nous allons mettre en exergue le point de vue juifs. En effet, les Allemands ont tout au long du film porté un jugement très severe envers les populations juives, adoptant un comportement anti-sémite inculqué depuis leur jeunesse par Hitler, qui du haut de sa villa, ne fait que donner des ordres et ne se soucis guère des atrocités commises par ses SS. Ce dernier ayant \"pris\" Paris, dont les images d'archives la mettant en scène se confondent à merveille avec le debut du film, il impose à  la France occupée, au gouvernement de Vichy, d'adopter une politique anti-sémite contraire aux lois francaises, Vichy ayant serré la main du Fuhrer, ne peut qu'avancer et faire ce que lui ordonne son \"colonisateur\".Ainsi, en suivant les ordres d'Hitler, la France adopte donc des lois contre les juifs et organises des Rafle, dans le film, la plus grande rafle, est mise en scène dramatiquement, les allemands sont montré conquérants et impitoyables, suivis par des français qui ne déroge pas à ces qualificatifs; sauf que ces français comme nous le montre les différentes scènes tournée au Vélodrome d'Hiver, n'ayant pas cette ideologie raciale bien ancrée dans leurs esprits, ont pitié des Juifs et un tournant dans le destin des raflé va occuré dans ce lieu, car assoifé et mourrant de faim, les pompiers viennent les \"sauver\" et organisent pour le mieux la distribution d'eau mais aussi de messages aux familles cachée dans toute la france. Ce n'est qu'une petite lueur d'espoir dans la vie des porteurs de l'étoile jaune, car deux jours après la rafle du Velodrome d'hiver, un groupe de soldat allemands, sûrement une branche SS, vient pour annoncer le depart des raflés vers un camps, sous un ton méprisant mais surtout autain. Les Juifs s'en vont donc vers un lieux qu'ils ne connaissent pas et y sont interné et entreposé comme du bétail, avec le temps ils comprirent que ce fut un camps de concentration, ce camps se trouvant en France, celui-ci est dirigé par des soldats Français, qui maintenant n'ont plus aucune pitiée envers les Juifs, considéré à cette heure, comme des vermines appartenant au plus bas de l'\"echelle raciale\". Policier, soldat et même gendarmes repondant aux exigences Nazi ont commis des atrocités et ont laissé perduré une atmosphère abominable dans les camps. Nous pouvons dire que cette rafle vue par les allemands et les français est un franc succès puisqu'elle a réussi à etre la plus grande rafle de juifs en France et a répondu au rafles du Vent Printanier ayant eu lieu dans toute l'europe. En outre cela, nous allons maintenant nous interresser aux victimes de cette Rafle du Velodrome d'Hiver, les juifs, ces personnes innocentes, ces peres de familles, ces enfants, marqué par la croix jaunes, presentés dans le Film comme des victimes heroiques, des heros courageux. Leur destin bascule lors de la nuit du 15 mai 1940, ceux-ci trop confiant et ennuyé par les différentes fausses alertes, ne prennent pas toute leur precautions; ainsi ce soir là nous assistons à la rafle de tout un lotissement d'immeubles occupé par des Juifs, ceux-ci sont transporté au Velodrome d'hiver, un personnage attachant du nom de Noé, tout innocent, ne comprenant pas ce que la situation lui presente, donne un aspect enfantin mais aussi très dur à la situation, car qu'a t'il fait pour ce retrouver là. Nous allons donc suivre le destin des juifs, non pas globalement, mais avec le touchant parcours de Noé, lorsque celui-ci arrive au velodrome, sa mère meurt, accompagné de son frère Simon ceux-ci surmontent le coups et une infirmière du nom de .... .... prend Noé sous son ailes, ayant la langue bien pendu celui-ci pose toujours des questions cocaces et est très attachants. Nous pouvons penser que c'est pour lui que cette infirmière se bat, pour rétablir les choses qu'il a perdu et pour sauver des personnes qui n'ont rien fait pour etre là, cette dernière se battra jusqu'au bout pour rétablir les choses, mais tombe malade le jour de la déportation des enfants, Noé s'en va donc avec ses camarades ainsi que son frère vers un camps d'extermination ou celui-ci va etre gazé puis incinéré. à la fin du film nous voyons l'infirmière en question dans un hotel recueillant les rescapé du camps, celle-ci reconnait Noé, et va vers lui, ce dernier a perdu toute sa joie de vivre et a changé, il a sauté du train l'enmenant au camps et a été retrouvé par une famille de paysan, le petit Nono a perdu ses reperes, il manque cruellement d'affection, il vient de perdre sa mere et son frere auquel il tennait tant; une telle metamorphose du personnage, passant d'un petit garçon arborant une joie de vivre extrème à un enfant désorienté, orphelin et triste, nous donne un parfait exemple de la rafle vue par les juifs. Le choix du parcours de Noé Zygler pour souligner le point de vue des raflés dans le film, n'est pas sans reflexion car celui-ci est un personnage marquant, qui vous laisse perplexe et la larme à l'oeil. Nous pouvons dire que Roselyne Bosch a essayé de mettre en lumière les heures noires de la France, avec plus au moins de dexterité, celle-ci a su montrer l'atrocité de l'evenement sans le rendre dans le domaine de l'horreur, c'est avec des exemples touchants et des scènes qui font reflechir que cette dernière a dirigé son public.