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Sartre à écrit « longtemps j'ai pris ma plume pour une épée , pensez-vous que la littérature soit une arme éfficace pour déffendre ces idées?

Publié le 16/01/2011

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sartre

Auteur prolifique, Jean Paul Sartre, écrivain français du XX è siècle, laisse derrière lui une œuvre titanesque, sous forme de romans, d'essais, de pièces de théâtre, d'écrits philosophiques ou de biographies; un véritable symbole de l'intéllectuel engagé de son époque. En effet Sartre, dés son engagement dans la résistance jusqu'à sa mort, a défendu toutes les causes qui lui semblées justes.  On peut dire qu'il était en quelque sorte le « Voltaire « du XX è siècle. 

 Dans Les Mots, une autobiographie sortie en 1964, Sartres a écrit « longtemps j'ai pris ma plume pour une épée «, d'aprés cette citation pensez vous que la littérature soit une arme efficace afin de déffendre ses idées? En effet nous pouvons nous demander si la littérature peut provoquer une réaction, changer les choses vis-à-vis de la sociéte. 

 Même si la littérature posséde des moyens efficaces afin de changer les choses, il y a tout de même une limite à cette efficacité. 

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 La plume représentant le savoir, la réflexion, la sagesse, et l'épée représentant  le combat, la défense, Sartre à donc prit sa plume pour une épée, car en ecrivant des oeuvres de formes variées et utilisant des procédes éfficaces corroborant l'idée de son efficacite, visent à diffuser ses idées. 

 Tout d'abord, la littérature posséde une variétée de formes tel l'argumentation indirecte qui à  travers le récit transmettent un méssage.  On peut donc citer La Fontaine, écrivain français du XVII ième siècle, qui à travers ses fables, plus connues sous le nom de Fables de La Fontaine, constituent un véritable reccueil moraliste dénoncant ainsi les abus de la sociéte française à cette époque, plus particulièrement à la cour du roi Louis XIV; mais aussi Victor Hugo, qui à travers ses romans tels que Le dernier jour d'un condamné (1829) , ou Glaude Geux (1834), constituent un réquisitoire politique visant à deffendre la peine de mort en France; ou encore Moliére, qui selon le « castigat ridendo mores « dénonce la sociète de l'époque à travers ses pièces de théâtre, parmis les plus connues L'avare (1668), ou il y fait la satire de l'avarice, ou bien Le Bourgeois gentilhomme (1670), ou il critique tout simplement la bourgeoisie . De plus, on peut également citer Voltaire, qui à travars Candide (1759), un conte philosofique, dénonce l'esclavage des noirs. 

Cependant on peut diffuser ses idées, émettre ses opinions à travers une argumentation directe tels La Controverse de Valladolid (1992), par Jean-Claude Carrière, ou deux personnages s'affrontent, Sépulveda et Las Casas, avec chacun une thése et des arguments clairs et précis visant à déffinir le sort des peuples du dit « Le nouveau continent «, c'est à dire l'Amérique. 

 Par ailleurs, les écrivains possédent aussi un grand nombre de procédés efficaces, parmis eux les registres. En effet Victor Hugo, dans Les misérables (1862), plus précisement lors de la description de Cosette, utilise le pathetique afin d'émouvoir  et appitoyer le lecteur, à travers un vocabulaire affectif, compatissant et des exclamations; ou bien dans Ruy Blas (1838), ou il utilise le tragique pour inspiré au lecteur de la pitié envers le destin fatal du héro.

 En outre on peut citer Albert Cohen, qui à travers le roman La belle du Seigneur  (1968), surtout dans le passage ou Solal rêve de conquérir Ariane, utilise, à l'aide le vocabulaire intensif  des émotions, le lyrique  afin de faire partager au lecteur les sentiments ressentis par l'auteur. Egalement dans le Medecin malgré lui (1666), ou Molière utilise le comique afin de provoquer le rire et l'amusement du lecteur ou éventuellement du spectateur, dans le cas d'une représentation théâtrale.

 

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 Cependant malgré que la littérature dispose d'une grande variété de genres ou de registres efficaces afin d'emetre ses idées, elle posséde tout de même des limites. 

 

 En premier lieu la diffusion de ces idées peuvent être limitées d'une part par la censure, qu'a connu Moliére notament Tartuffe(1664) , qui était une attaque directe contre l'impostures des religieux; Molière n'a sans doute pas été le seul écrivain à avoir connu la censure, parmis eux il y a Voltaire , Diderot , Montesquieu et plein d'autres, ce-ci à des époques différentes, non seulements sous l'ancien régime mais égalment sous l'empire ou Napoléon a censuré toute la presse nationale.

D'autre part, malgré le développement de l'éducation, il reste cependant au XIX siècle une population qui n'a pas une connaissance suffisante afin de pérsevoir et comprendre les idées transmise par les écrivains. C'est dailleurs à partir de la fin du XIX siècle avec les lois Jules Ferry, en france que l'éducation connaîtrera un véritable progrés. 

 En second lieu l'argumentation indirecte peut être mal comprises par les lecteurs. Si nous prenons les Fables de La Fontaine, une parfaite argumentation indirecte, ou La fontaine critique la société dans un contexte précis, quelque peu inconnu de nos jours, peut parfois entraîné une mauvaise comprehension et interprétation de la morale des ces fables. De plus ces fables sont écrites en vieux français, ce qui peut être d'avantge encore plus incompréhensibles. 

 Enfin avec la progression téchnologique, il existe d'autre moyens, outre la littérature, de diffuser ses idées notament à l'aide d'internet, ou il est possible de créer des sites web et ainsi de diffuser ses idées au niveau religieux, politique; ou à travers les docummentaires télévisée, les débats politiques nottament sur France 3, le programme intitulé « Questions au gouvernement «, ou chaque ministre parle et déffend ses idées politiques. On peut aussi diffuser ses idées à travers des emissions radios ou encore sur journaux.

 De plus, ils nous faut rappeler qu'aujourd'hui presque la totalité des pays ne censure plus les livres, journaux ou autres, et qu'ils favorisent d'ailleurs la liberté d'expression.

 

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 La littérature peut essayer de changer les choses grâce à des multiples genres , s'adressant aux plus petits, avec les contes enfantins, jusqu'aux plus grands, avec les romans, et régistre servant à emouvoir, amuser , faire réflechir le lecteur. Cependant, du aux avancés téchnologiques, l'éfficacité de la littérature est de plus en plus limitée.

 Pour conclure, nous pourrons affirmer que Jean Paul Sartre fut un grand auteur proliférique tant au niveau littéraire que philosophique. Intrransigeant et fidèle à lui-même et à ses idées, il refuse le prix Nobel de littérature en 1964 avec Les mots, une autobiographie  ou il raconte les onzes premieres années de sa vie.

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