«Titre», Bien que je vous ai demandé plusieurs fois de mettre votre musique moins fort, vous n'avez rien changé à vos habitudes.

«Titre«, Bien que je vous ai demandé plusieurs fois de mettre votre musique moins fort, vous n'avez rien changé à vos habitudes. Je me vois donc dans l'obligation de vous écrire. Cela fait longtemps que vous nous dérangez pendant vos fêtes, qui durent très tard. Nous vous demandons un peu d'égards et de compréhension. Mon mari fait les trois-huit et travaille souvent dans la première équipe du matin. Lorsque votre musique s'arrête enfin, à trois heures du matin, c'est pour lui l'heure de se lever. Hier, cela a été particulièrement pénible. Votre musique était si forte que nous n'avons pas pu dormir. Lorsque vos invités sont partis, ils ont chanté dans le couloir et claqué les portes. Je vous demande de ne pas prendre cette lettre de travers. Nous ne souhaitons pas de conflits, si nous n'y sommes pas obligés. Nous vous demandons simplement de limiter un peu à l'avenir vos fêtes, et le bruit. Pensez que nous nous sommes toujours bien entendus jusqu'ici. Nous préférons avoir de bonnes relations avec nos voisins. Un conflit ne profiterait à personne. Puisque nous sommes voisins, essayons de vivre en bonne entente. En espérant que vous comprendrez notre position nous vous prions de croire, «Titre«, à l'expression de nos sentiments très cordiaux. Pierre Duval