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Tpe: Addictions

Publié le 03/06/2013

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Introduction   Il arrive que nous traversions des périodes difficiles telles que le deuil, le chômage, la rupture ou le désespoir. Ces événements vont provoquer chez nous des émotions comme la peur ou l’angoisse. Certains réussiront à gérer, canaliser, ou calmer leurs émotions seul, tandis que d’autres se tourneront vers un produit ou un comportement, menant souvent vers la dépendance, pour se sentir mieux. Le cerveau, qui réclame de la tranquillité, peut la trouver grâce à des produits et comportements additifs, rendant ainsi la personne concernée d’une certaine manière hors d’elle-même, c’est-à-dire qu’elle ne commande plus ses émotions, son cerveau ou encore son corps. C’est pour cela que certains assimile l’addiction à une « maladie des émotions «. L’addiction commence en général par l’usage occasionnel, festif, par curiosité ou pour faire partie d’un groupe. Le corps va s’habituer à ces différentes addictions, il aura tendance à inciter le consommateur à répéter les prises de substances ou les comportements, c’est ainsi que l’on passera de l’envie occasionnel au besoin. C’est ce que l’on appelle la dépendance. Dans certains cas, l’addiction monopolise l’esprit 24h/24h, ce qui va rendre la personne dépendante insociable. Elle perd le contrôle d’elle-même, et ressent le manque en cas d’arrêt de la consommation ou du comportement, ainsi « l’addict « pensera en permanence à la chose à laquelle il est accroc. Ceci provoque chez l’individu des troubles du comportement comme la violence, l’agressivité et la colère qui sont nuisible à la vie sociale. Le sommeil, l’appétit et l’humeur sont perturbés, les relations avec les autres et les pensées sont modifiées. La sensation de normalité revient lorsque le dépendant se tourne à nouveau vers son addiction, ce qui produit une sorte de « cercle vicieux «. Dans le cas où la personne ne souhaite pas retomber dans l’addiction, elle aura besoin d’aide, le plus souvent d’un traitement médical ou psychologique pour le cerveau puisse revenir à un fonctionnement normal. Voici la définition donnée à l’addiction en 1900 par le psychiatre anglais Aviel Goodman : « processus dans lequel est réalisé un comportement qui peut avoir pour fonction de procurer du plaisir et de soulager un malaise intérieur, et qui se caractérise par l’échec répété de son contrôle et sa persistance en dépit des conséquences négatives «. Nous allons dans un premier temps nous intéresser aux addictions liées à la consommation de substances, ensuite nous traiterons dans une seconde partie de la dépendance aux jeux.    Sommaire     I-     Substances addictives : les drogues, l’alcool et le tabac.    1.    Définitions. 2.    Les drogues.  3.    L’alcool  4.    Le tabac.    II-   Les jeux vidéo et jeux d’argent   1.    Les jeux vidéo (console et en ligne)  2.    Jeux d'argents en ligne et casino.    Conclusion.    Conclusion   La société actuelle, de manière voulue ou non, mène les individus fragiles vers la dépendance à des produits ou comportements. En effet, l’effet de mode, le fait de vouloir ressembler aux autres ou au contraire de se démarquer, encouragent les individus et plus particulièrement les jeunes à se tourner vers la consommation addictive. Les addictions sont nombreuses, et n’importe qui peut facilement succomber à la tentation et se retrouver dans un tourbillon sans avoir aucun contrôle. La plupart du temps, les personnes « addicts « auront besoin d’aide extérieur de personnes ou d’institutions pour pouvoir s’en sortir. Parmi les dépendances aux substances, nous avons vu les drogues, le tabac et l’alcool, mais nous aurions également pu nous pencher sur la caféine. Même si l’on croit que la dépendance à la caféine n’a pas réellement de conséquence sur l’homme, en réalité, à forte dose de consommation dans le café ou dans d’autres boissons comme le Coca-Cola, elle peut, en agissant sur le cerveau, avoir des conséquences, notamment sur le fait de ne pas favoriser le sommeil. En dehors de la consommation de substances, il existe l’addiction comportementale, si l’on peut dire, qui va concerner l’utilisation, non pas d’une substance, mais d’un produit tel qu’un jeu ou internet. Nous avons vu que les jeux vidéo peuvent être à l’origine de perte de concentration, d’isolement ou encore de dépression. Au même titre que les jeux vidéo, les réseaux sociaux sont accusés de bien des maux. On le sait, selon certains chercheurs, une trop grande utilisation de Facebook ou encore de Twitter aurait de réels impacts sur la santé, au même titre que d’autres addictions plus communes. Il est important de noter que quelque soit l’addiction, les conséquences peuvent être physiques, psychiques ou mentales. Elles jouent également un rôle au niveau social.        

« Voici la définition donnée à l'addiction en 1900 par le psychiatre anglais Aviel Goodman : « processus dans lequel est réalisé un comportement qui peut avoir pour fonction de procurer du plaisir et de soulager un malaise intérieur, et qui se caractérise par l'échec répété de son contrôle et sa persistance en dépit des conséquences négatives ». Nous allons dans un premier temps nous intéresser aux addictions liées à la consommation de substances, ensuite nous traiterons dans une seconde partie de la dépendance aux jeux.    Sommaire     I-     Substances addictives : les drogues, l'alcool et le tabac.    1.    Définitions. 2.    Les drogues.  3.    L'alcool  4.    Le tabac.    II-   Les jeux vidéo et jeux d'argent   1.    Les jeux vidéo (console et en ligne)  2.    Jeux d'argents en ligne et casino.    Conclusion.    Conclusion  . »

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