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Publié le 21/10/2012

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Milanese Arnaud Gilgenmann Jérémy Bonnavaud Yohann LA MOMIFICATION EGYPTIENNE Comment la momification égyptienne permet-elle la conservation des corps ? Session 2011-2012 Lycée Frédéric Fays INTRODUCTION Les Hommes ont toujours été intrigués par la mort dans toutes les civilisations. Motivés par de nombreuses croyances ou cultures religieuses, les différents peuples ont souvent imaginé une vie après la mort et ce encore aujourd'hui. Chaque civilisation enterrait, incinérait, laissait les défunts errer sur un fleuve ... En particulier une pratique consistait à conserver le corps de la victime afin que l'âme du défunt puisse le réintégrer. Cette technique de conservation s'appelle la momification. Une momie est un cadavre gardé dans un très bon état de conservation durant une longue période qui aurait, dans des conditions normales, entraîner la putréfaction du corps. Ce phénomène peut également s'expliquer par des causes naturelles. Nombre de peuplades l'on pratiqué mais c'est la momification égyptienne qui est restée célèbre grâce aux excellentes conservations des momies retrouvées. Ainsi on peut se poser la question suivante : comment la momification égyptienne permet elle une aussi bonne conservation d'un corps ? Pour cela nous vous proposons tout d'abord une approche historique et religieuse de la momification pour ensuite pouvoir réaliser notre propre momification et enfin comprendre comment elle déjoue les processus post-mortem. I - Approche culturelle Religion et coutumes Les anciens Égyptiens croyaient à la résurrection d'un corps et à la vie éternelle. Cette croyance découlait de ce qu'ils pouvaient observer chaque jour. Le soleil tombait dans l'horizon occidental chaque soir et renaissait le lendemain matin à l'est. Une vie nouvelle jaillissait des grains plantés dans la terre, et la lune croissait et décroissait. Tant que l'ordre était maintenu, tout suivait son cours normalement, et la vie après la mort était possible si l'on respectait certaines conditions. Le mythe d'Osiris montre comment la dissociation des différentes parties de l'être (la mort) peut être combattue, comment l'enveloppe charnelle peut être refaite et contenir de nouveau le souffle de la vie. La légende du dieu Osiris est la suivante : « Osiris, connu aussi sous le nom de Ounophris, « l'être bon «, était un souverain très éclairé. Un jour, il fut victime d'un complot orchestré par son propre frère Seth, incarnation du désordre. Lors d'un banquet donné en l'honneur des nombreuses victoires d'Osiris, Seth le captura et l'enferma dans un coffre à sa mesure qu'il jeta dans le Nil. Isis, soeur commune de Seth et d'Osiris, également femme de ce dernier, décida de partir à la recherche de son mari. Elle trouva le coffre en Phénicie et décida de le cacher pour que personne ne le retrouve. Seth, lors d'une partie de chasse, retrouva Osiris et découpa celui-ci en quatorze morceaux qu'il éparpilla à travers toute l'Égypte. Isis partit à la recherche des précieux fragments composant son mari. Elle les retrouva tous à l'exception du phallus qu'un poisson du Nil avait dévoré. Isis reconstitua le corps d'Osiris et l'apporta à son neveu Anubis pour qu'il le momifie. Puis la déesse magicienne (Isis), aidé de sa soeur Nephthys, de Thot, le vizir du défunt et d'Horus, son fils conçu par union avec le cadavre de son mari, redonna le souffle de la vie à Osiris à l'aide de formules magiques. Pour la première fois, les rites de l'embaumement qui rendent la vie éternelle ont été pratiqués[3]. « La momification, était décrite dans les anciens Textes des pyramides. À la mort d'Osiris, dieu des morts, le cosmos fut jeté dans le chaos et les larmes des dieux se transformèrent en matières pour momifier son corps, et notamment du miel, des résines et de l'encens. Le ka, pour les anciens Égyptiens, est l'un des cinq éléments indissociables composant l'être de son vivant : le double spirituel qui naît en même temps que l'humain et qui survit après la mort. Les autres éléments sont le djet (le corps), le bâ, improprement traduit par âme, shout, l'ombre, et le nom, le ren. Après la mort, le ka est considéré comme le véritable représentant de la personnalité humaine. Selon les croyances égyptiennes, il faut conserver le corps afin que le ka puisse en reprendre possession autant qu'il le souhaite ; une statue à l'effigie du mort permet au ka de retrouver les traits sous lesquels il était jadis incarné.  Les vases canopes, étaient destinés à recevoir  les viscères du défunt.  Il y avait 4 vases, chacun représentant l'un des quatre fils d'Horus, disposés autour du sarcophage renfermant chacun lespoumons gardé par Hapi  (dieu à tête de babouin), les intestins gardé par Qebehsenouf (dieu à tête de faucon), l'estomac gardé par Douamoutef (dieu à tête de chacal) et le foie gardé par Amset (dieu àtête humaine). Evolution de la momification égyptienne Avant que la pratique de la momification ne voie le jour, le corps était placé dans la position d'un foetus endormi et mis dans une fosse avec certaines possessions personnelles du défunt, par exemple des poteries et des bijoux. La fosse était ensuite comblée avec du sable, qui absorbait l'humidité corporelle, ce qui le préservait. L'usage de momifier les corps en Égypte remonte à 2400 av. J.-C (IIIème dynastie), et fut conservé jusque pendant la période gréco-romaine. Sous l'Ancien Empire, on croyait que seuls les pharaons pouvaient atteindre l'immortalité. Mais vers 2000 av. J.-C., cette croyance évolua : chacun pouvait vivre dans l'au-delà pourvu que son corps ait été momifié et qu'on ait placé dans la tombe tout ce qu'il fallait. Cependant, comme la momification était coûteuse, seuls les riches pouvaient se la permettre. La pratique de la momification connut son apogée au cours des XIe et XIIe siècles av. J.-C. à Thèbes. La momification avait pour objet de préserver l'intégrité du corps pour qu'il puisse accéder à une vie spirituelle après la mort. L'art de la momification quant à elle fut perfectionné au cours de la Troisième Période Intermédiaire (1070-712 av. J.-C.). Vers 450 av. J.-C. (Basse Époque), l'historien grec Hérodote a décrit le processus :  « D'abord, à l'aide d'un crochet de fer, on extrait par les narines autant du cerveau que possible, et ce que le crochet ne peut atteindre est dissous avec des drogues. Ensuite, on fait une incision le long du flanc et on retire tout l'intérieur de l'abdomen. On place les viscères dans les canopes .Avant cette époque, le contenu de la cavité abdominale était retiré, enveloppé et enterré dans le sol de la tombe. La cavité est ensuite nettoyée et lavée. Puis elle est remplie de myrrhe pure broyée, de cannelle et de tous autres aromates à l'exception de l'encens. L'incision est recousue, puis ils laissent le corps entièrement plongé dans du natron durant soixante-dix jours, jamais plus longtemps «. Le natron, un désinfectant et un agent dessiccatif, était le principal ingrédient utilisé dans ce processus de la momification. Composé de carbonate de sodium (sel) et de bicarbonate de soude, le natron servait essentiellement à dessécher le corps. On le laissait en place pour débarrasser les tissus de leur humidité. On utilisait parfois de petits oignons ou des tampons de lin pour remplacer les yeux. Le cadavre était ensuite lavé, enveloppé dans plusieurs couches de lin (jusqu'à 35 dans certains cas) et plongé dans des résines et des huiles. La peau prenait alors une teinte noirâtre semblable à celle de la poix. Le mot "momification" vient de l'arabe "mûmiyâ", signifiant bitume, une substance qui fut utilisée pour la première fois dans le processus de préservation au cours de la période tardive À partir du Moyen Empire, la pratique s'établit de placer un masque sur le visage du défunt. Le masque le plus célèbre est celui de Toutankhamon. Les embaumeurs de l'antiquité utilisaient très peu d'outils, et une fois leur travail terminé ils les laissaient parfois dans la tombe ou aux alentours. L'outillage de base était constitué d'un couteau pour inciser l'abdomen, de tiges de bronze recourbées pour extraire le cerveau, d'un outil en bois semblable à une herminette pour prélever les organes internes, et d'un entonnoir pour verser les résines par le nez dans la boîte crânienne.  Les momies découvertes Nombreuses furent les momies égyptiennes retrouvés par les archéologues depuis un certain temps déjà. De simple égyptien au pharaons devenus légendaire tels Ramsès II ou Toutankhamon les archéologues et les historiens on pu observer et étudier ces momies avec de moyens toujours plus sophistiqués. Certains ( essentiellement les momies des familles royales) sont aujourd'hui considérées comme des oeuvres d'arts. Voici les caractéristiques primaire d'une momie très bien conservée après enlèvement des bandelettes. Nous n'avons retenu ici que les éléments en rapport avec notre sujet. Ainsi la première observation et la plus flagrante est l'absence d'odeur pestilentielle . En effet comme Théophile Gautier l'écrit dans « le roman de la momie «, «  A l'ouverture du cartonnage, une vague et délicieuse odeur d'aromate,[...] se répandit « . Deuxièmement, sur l'aspect physique on peut dire que la momie possède toujours une apparence humaine malgré le fait que la peau soit très lisse et fine. Généralement elle est noir car les bandelettes ont été trempé dans un liquide de couleur noirâtre. Troisièmement, la texture de la momie est très dur et très sec ! Il n'y a aucune trace de moisissures ni d'humidité. Les Égyptiens momifiaient des êtres humains et des milliers d'animaux, d'oiseaux, d'insectes et de poissons de toutes sortes, des taureaux aux faucons en passant par les ichneumons et les serpents. Certains ont été trouvés en grand nombre tandis que d'autres sont rares. De nombreuses espèces étaient élevées dans les temples pour être sacrifiées aux dieux. Les chats étaient des membres très appréciés de la maisonnée dans l'Égypte ancienne. II - Vérification expérimentale Protocol expérimental Matériel utilisé pour la momification : Outils servant à la momification : _Bandelettes de lin _Sciure de bois _Lichen _Cire _Natron _Boite hermétique _Souris morte _Vinaigre blanc _Crochets pour extraire le cerveau_Scalpel_Pince fine _ Sonde cannelés _Ciseaux Tout d'abord nous avons dû enlever le cerveau. Pour cela nous avons décidé de passer par l'oeil pour atteindre la boite crânienne, car bien que les égyptiens passent habituellement par le nez, il leur arrivait d'enlever le cerveau par l'orifice oculaire dans de rare cas. De plus, il nous était difficile de procéder à l'étape d'excérébration de façon traditionnelle (par les narines) car l'anatomie de la souris ne le permet pas (trop petit) et nous n'avions pas les outils nécessaires. Après avoir enlevé la plus grande partie du cerveau, nous avons donc nettoyé la boite crânienne en injectant du vinaigre blanc.            Ensuite nous avons procédé à l'éviscération. Nous avons donc ouvert la souris sur son flanc droit de l'aisselle jusqu'à la cuisse à l'aide de la sonde cannelée et des ciseaux. Ensuite nous avons simplement vidé la souris de tous ces organes, qu'ils soient reproducteurs, respiratoires ou digestifs. Après cela nous avons nettoyé l'intérieur de la souris avec du vinaigre blanc.            Puis nous avons remplis le ventre etle thorax de produits végétaux secs : de la  sciure de bois en grande partie, mais aussi du lichen et de l'écorce d'arbre en infime quantité. Cette étape terminée, nous avons utilisé de la cire à épiler pour boucher l'orifice de façon hermétique. Enfin la souris a été plongée dans un bol de natron. Nous avons fait en sorte qu'elle soit totalement en contact avec cet élément afin de l'assécher au maximum. Nous l'avons laissé reposer ainsi durant une semaine. En effet, bien que les embaumeurs égyptiens laissaient les corps sécher pendant 70 jours, nous avons pensé que, proportionnellement, 7 jours suffiraient pour un animal aussi petit. La semaine suivante, nous avons sorti la souris du bol de natron en utilisant une cuillère. Le natron était devenu rigide par endroit (en surface notamment et autour de la souris, partie en contact avec l'humidité) et la souris étaitassez sèche. Nous sommes ensuite passer à la mise en place des bandelettes. Nous avons donc pris des bandelettes de lin de 2 cm ou 1 cm pour les pattes, et nous en avons recouvert la souris en commençant par les membres et la queue, puis le corps et enfin la tête. Pour terminer nous l'avons déposer dans une boite hermétique et laisser reposerpendant 2 semaines. Observation de la momi-souris Lors  du retrait des bandelettes de lins, nous avons remarqué la présence d'une moisissure, de couleur blanche, située sur une bande recouvrant la tête. Nous avons tenté de l'identifier à la loupebinoculaire, mais sans résultats. Une fois la souris entièrement démis de ses bandelettes, aucune odeur désagréable n'a été détecté.  La peau est sèche et ne porte pas de traces de dégradations quelconquesmis à part une autre moisissure, de couleur verte cette fois, au niveau de l'appareil reproducteur et du thorax. Les dents, les poils et les griffes ont été parfaitement conservés par rapport à leur état initial. Nous avons également noté une forte rigidité musculaire. Ensuite, nous avons réalisé une une coupehorizontale d'un tissu de peau pour en faire une observation microscopique (voir photo). Pour finir nous avons testé la présence (ou non) d'humidité en répartissant du sulfate de cuivre anhydre à l'intérieur du corps de la souris puis sur l'extérieur du corps de la souris.  Le CuSO4 gardera sa couleur blanche à l'extérieur mais deviendra bleu à l'intérieur de la souris. Mettre quelques photo de la souris avant pendant et après plus titre et observation ( maxi 2 page max pour le II ) III - Annihilation des processus post-mortem a) Caractéristiques post mortem Dégradation au niveau macroscopique. Lorsqu'un corps se décompose, il se déshydrate, se ramollit, et pourrit au bout d'environ 15 jours. Les tissus se ramollissent, se liquéfient. Dans les heures qui suivent la mort s'opèrent des phénomènes récurent, et que l'on peut plus ou moins dater. En effet, la température de son corps chute, des lividités apparaissent, une rigidité se met en place... La lividité cadavérique est une accumulation de sang, qui donne à la peau une coloration bleue et rouge. Les lividités sont fixées au bout de 24 heures et ne disparaissent qu'au moment de la putréfaction. La rigidité cadavérique se caractérise par une contraction de l'ensemble des muscles du corps Dégradation au niveau microscopique : Les phénomènes agissant sur le corps d'un individu après sa mort au niveau macroscopique sont dus à des phénomènes s'opérant au niveau microscopique. Deux phénomènes cellulaires s'opèrent après la mort : l'autolyse et la putréfaction. L'Autolyse est une propre destruction des cellules. Ce phénomène est immédiat, il commence juste après la mort, car les cellules sont privées des apports nutritifs (sucres, dioxygène ...). Les cellules vont s'autolyser, se détruire. Les enzymes qui se trouvent dans les lysosomes, compartiments cellulaires qui ont pour fonction d'être des sortes de « poubelles « de la cellule, sont libérés de ces organites et les cellules subissent l'autodigestion. La semi-perméabilité de la membrane se trouble alors, et l'eau peut entrer dans les cellules. Différents éléments, comme le potassium et le sodium, peuvent aussi sortir des cellules. Les cellules souffrent, grossissent, gonflent. Au microscope, la membrane devient floue, puis disparait. Il en est de même pour le noyau qui va se fondre au reste. Tout va donc disparaître progressivement et la colorabilité est modifiée. Il va rester la matrice de la cellule, c'est-à-dire les fibres qui vont être également modifiées au bout d'un certain temps. Il y a des cellules qui restent plus longtemps intactes que d'autres. En effet, la peau est très résistante alors que le pancréas s'autolyse très rapidement. De l'arrivée des insectes sur le cadavre et de leur prolifération L'organisme humain, une fois mort, constitue une énorme réserve en nutriments pour les bactéries ainsi que pour les insectes. Les cellules du corps n'étant plus protégées par le système immunitaire, sont alors la proie d'insectes nécrophages voraces. Ces derniers vont se servir du corps de l'individu décédé, afin de se nourrir, ou de nourrir leurs progénitures. Quelques minutes après la mort de l'organisme, il se produit des réactions d'autolyse qui sont des transformations fermentatives (qui s'observent sans l'action de bactéries ou d'agents étrangers à l'organisme). Les substrats produits lors de ces réactions dégagent des odeurs spécifiques (pas forcément perceptibles par l'Homme), attirant ainsi les premiers insectes qui vont pondre leurs oeufs dans les orifices naturels (sphincters, pores de la peau) et dans les blessures. La putréfaction s'opère ensuite, avec l'intervention des germes. L'intestin contient des bactéries, non pathogènes, qui normalement ne passent pas à travers la paroi. Mais lors de la dégradation des cellules de la muqueuse (couche qui recouvre les intestins) par autolyse, les microbes, champignons peuvent passer et entrer dans les vaisseaux. Ils vont alors être acheminés dans tout le corps par la circulation post mortem: le système artériel va se vider par gravité. Les enzymes des microbes agissent directement sur les tissus et l'organisme ne peut plus se défendre. L'action des enzymes entraine alors la liquéfaction des cellules et l'apparition de bulles de putréfaction. Les germes aérobiques en proliférant libèrent des gaz, ce qui entraine les odeurs liées à la putréfaction ( des gaz comme le méthane et le dioxyde de carbone sont libérés. ) La putréfaction aboutit à termes à la lyse des cellules. Le mécanisme de putréfaction est une gêne dans l'interprétation des médecines légales. b)Quelles différences et pourquoi ? En enlevant les organes et en remplissant la cavité intérieure de natron sec, on préservait les tissus corporels Post-mortem : La putréfaction est la décomposition des tissus organiques sous l'influence prépondérante des bactéries hébergées par l'individu, surtout celles de la flore intestinale, ensuite des mycètes saprophytes et des bactéries minéralisantes qui envahissent le cadavre.Les divers mycètes se succèdent en groupes déterminés et cette flore se modifie suivant les altérations progressives du substrat qui constitue ainsi, à une époque donnée, un habitat d'élection pour certaines espèces de mycètes et pas pour d'autres. La putréfaction du cadavre due aux bactéries et aux mycètes saprophytes accentuant l'altération amorcée par l'autolyse, lisse des déchets que les bactéries minéralisantes feront rentrer dans le cycle des déchets de la biosphère. L'autolyse: c'est une autodestruction spontanée de la cellule sous l'action des enzymes lysosomales libérées dans le cytoplasme lors de l'altération de la membrane limitante de ses organites.Ce phénomène survient normalement après la mort cellulaire, ou dans une cellule victime d'une agression traumatique.L'autolyse dépend de quelques enzymes hydrolytiques Les phénomènes morphologiques correspondant sont la fragmentation de la chromatine en morceaux (pycnose) et la lyse cellulaire dont les fragments sont phagocytés par les macrophages Bibliographie : Oeuvres littéraires : « Un corps pour l'éternité Autopsie d'une momie « de JOSSET et GOYON, le Léopard d'or, 1988 « L'enquête « de HERODOTE collection folio classique, Gallimard 1964 Le Roman de la momie est un roman de Théophile Gautier paru en 1858. Sites internet : http://fr.wikipedia.org/wiki/Momification_en_%C3%89gypte_antique#Les_.C3.A9tapes_de_la_momification - http://membres.multimania.fr/renejacquemet/expo/momification/momification.html - http://www.bonjour-docteur.com/actualite-sante-pourquoi-le-corps-devient-il-rigide-apres-la-mort--1673.asp?1=1 -http://forumeducation.mnhn.fr/index.php?p=topic&t_id=265&sid=4465a072bdb2cfb8c9d8ccff6f1dd335 - http://thanatos-tpe.e-monsite.com/pages/degradation-du-corps-apres-la-mort-au-niveau-macroscopique-et-microscopique.html - http://www.guichetdusavoir.org/viewtopic.php?t=30486

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