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Investissement et emploi

Publié le 10/02/2013

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Investissement et emploi . Accroche : phrase d'Helmut Schmidt ou évoquer le plan Gallois cherchant à susciter l'I avec le crédit d'impôt pou les entreprises innovantes. . Définir l'I puis l'emploi - I : l'investissement est une dépense immédiate en vue de recettes futures ou d'économie de coûts, en comptabilité nationale : FBCF + variation des stocks. . L'I peut être effectué par les entreprises, les ménages et les administrations, et il est destiné à être utilisé pensant au moins un an pour produire des biens et services. . Son calcul : FBCF / PIB (taux en France en 2006 : 19.5 % du PIB) . Les différents types : matériel (équipement, terrains, bâtiments) / immatériel (brevets, études de marché, recherche développement, formation = investissement en capital humain... ), financier. I de remplacement, productivité, capacité. - emploi : Au niveau macroéconomique, l'emploi représente l'ensemble du travail fourni au sein d'une économie nationale, par l'ensemble de la population active qui n'est pas au chômage. L'emploi peut être dans le secteur public ou dans le secteur privé. D'autre part on distingue l'emploi au niveau quantitatif (nombre de personnes, quantité d'heures travaillées....) et qualitatif (niveau de formation, de compétences....). On peut s&eac...

« A) Les effets négatifs de l’I sur l’emploi  I de productivité = le but  est le co ût  du facteur,  donc  parfois  le co ût  du travail  est >  à celui  du capital  = effet de substitution =   destruction  à court terme de certains emplois (surtout les – qualifi és)  IDE = d élocalisations……..  Les  emplois  cr éés en g énéral  peuvent   être conditionn és  à un certain niveau de qualification = condition  pas  toujours  remplie  de  la   part des personnes = ch ômage  Selon certaines th éories, l’I peut aboutir  à la crise = harrod et domar (sur le fil du rasoir), mandell (crise de surproduction)  Marx   pense   que   les   I   en   capital   se   font   au   d étriment   du   facteur   travail,   seule   source   de   plus   value.

  Ceci   aboutira   à  la   fin   du   capitalisme  I financiers = contre productifs = csq d ésastreuses lors d’une crise financi ère (2008), crise  économique ensuite….  Endettement g énéralis é possible (si toutes les entreprises s’endettent pour investir)  D épendance possible de l’ étranger si le financement des I se fait gr âce  à l’épargne  étrang ère B) Les solutions possibles · Attirer les IDE en France   : comment   ? par la fiscalit é, par une main d’œuvre  comp étente, par les infrastructures, par une s écurit é   politique, par des centres locaux dynamiques (p ôles de comp étitivit é par ex)…. par qui   ? par l’ état et par les entreprises  · Politiques  actives  de  l’emploi,  politiques  structurelles   : subventions,  aides,  formations,  flexibiliser le march é du travail.

 Le  but  est   que l’investissement se fasse dans un environnement favorable au recrutement. · Poss éder un taux d’int érêt bas   : pour permettre le financement de l’I, pour dissuader l’ épargne et permettre la consommation.  Conclusion   :  Il s’av ère donc que la relation entre l’investissement des entreprises et l’emploi n’est pas exclusive. En effet, en fonction de sa nature ses   effets seront tr ès diff érents sur le volume ou la nature de ce dernier. Il n’en demeure pas moins que la tendance dans les pays d évelopp és   serait   à  la  cr éation  d’activit és  n écessitant   une   main  d’œuvre   de   plus  en  plus  qualifi ée.

  De   m ême,   certains   investissements   contribuent   aussi   à   des   d éplacements   d’emplois   notamment   dans   le   cas   des   d élocalisations. Toutefois, l’investissement ne constitue qu’une variable explicative parmi d’autres du volume et de la nature des emplois mobilis és dans le   cadre  de   la  cr éation   de  richesses.

  Certains   autres   facteurs   explicatifs,   comme   les  r églementations   nationales   concernant   les  contrats   de   travail, la fiscalit é, le mode d’insertion dans le commerce international, m ériteraient  également une  étude approfondie………………..  ….

autre ouverture : face  à l’éveil  économique des pays  émergents, la France pourra­t­elle se contenter longtemps de sa faiblesse en   mati ère d’investissement   ? Ou ………….

ne   devrait­on   pas   organiser   une   r éelle   coordination   des   politiques   économiques   au   niveau   europ éen   pour   concilier   l’investissement et l’emploi   ?. »

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