Devoir de Philosophie

É tude du comportement musical dans toutes les sociétés dites

Publié le 27/10/2013

Extrait du document

É tude du comportement musical dans toutes les sociétés dites « primitives « et, par extension, dans les cultures populaires traditionnelles, l'ethnomusicologie s'attache plus spécifiquement à trois objets : l'étude de la musique dans ses rapports avec l'organisation sociale, matérielle et symbolique des sociétés ; l'analyse comparée des instruments de musique inconnus et oubliés en Europe ; la compréhension de tous les systèmes musicaux non écrits, et des pratiques musicales non savantes, sur la base de l'enregistrement systématique des musiques traditionnelles survivantes dans le monde. L'objet de l'ethnomusicologie est d'étudier la musique des peuples de tradition orale.Elle est souvent considérée comme une branche de la musicologie, qui consiste à appréhender la musique dans son contexte social. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats musicologie Du récit de voyage à l'enregistrement collecté Discipline relativement récente, l'ethnologie n'a commencé à se développer vraiment qu'au début du XXe siècle. Des observations rapportées par des voyageurs et des missionnaires, aux XVIIIe et XIXe siècles, constituent les premiers documents sur lesquels s'est fondée ensuite l'ethnomusicologie. En 1768, Jean-Jacques Rousseau mentionna des musiques extra-européennes dans son Dictionnaire de musique, mais les premières études scientifiques furent celles du père Joseph Amiot (Mémoire sur les musiques des Chinois, tant anciens que modernes, 1779) et celles, ordonnées par Bonaparte pendant la campagne d'Égypte, de Guillaume Villoteau (Rapport de l'état actuel de l'art musical en Égypte, 1809 ; Description historique, technique et littéraire des instruments de musique des Orientaux, 1813 ; Mémoire sur la musique antique d'Égypte, 1816). Les Anglais, quant à eux, traitaient de la musique de l'Inde (William Jones ou le capitaine Day). En 1882, Theodor Baker rédigea une thèse sur les Indiens Senecas de l'État de New York, où, pour la première fois, l'observation ethnographique et la description musicologique se côtoyaient. Karl Stumpf publia Lieder der Bellakula Indianer ( 1886) ; Alexander John Ellis, dans On the Musical Scale of Various Nations ( 1885), observa que l'échelle musicale n'était ni unique ni naturelle, et François Joseph Fétis, auteur de l' Histoire générale de la musique (1869-1876), affirma que « l'histoire de la musique embrasse celle du genre humain «. Cependant paraissaient les premiers ouvrages traitant des origines et des fonctions de la musique : en Allemagne, ceux de Karl Bücher et Karl Stumpf ; en Grande-Bretagne, ceux d'Henry Balfour et, en France, de Jules Combarieu. En 1929, deux publications, de Robert Lachman et de Curt Sachs, furent à l'origine de la « musicologie comparée «. Cette tendance, encore actuelle, de l'ethnomusicologie consiste à sélectionner un trait particulier dans une société donnée et à en examiner les manifestations dans le monde entier. Mais c'est avec le développement des techniques de l'enregistrement (sur le terrain ou « en chambre «, à partir d'enregistrements collectés ou réalisés hors contexte) que l'étude des musiques de tradition orale prit vraiment son essor. En 1890, l'Américain J. Walter Fewkes réalisa les premiers enregistrements phonographiques chez les Indiens Zuñis du Nouveau-Mexique et les Indiens Passamaquoddy du Maine. En Europe, les premiers enregistrements furent produits par Béla Vikar en 1896, en Hongrie, et par Evguenia Linjova en 1897, en Russie. En France, pour l'Exposition universelle de 1900, le docteur Azoulay exhiba des cylindres au Musée phonographique de la Société d'anthropologie. Les premiers instituts d'archives furent créés à Vienne, Paris, Berlin. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Dictionnaire de musique ethnologie ethnologie - Fondation de l'ethnologie scientifique Fétis François Joseph Sachs Curt Anthropologie ou musicologie Le concept d'ethnomusicologie associe deux termes, ethnologie et musicologie ; la spécificité de la discipline tient véritablement à la synthèse des deux approches. De l'histoire sont nés, sinon des « écoles «, du moins trois grands foyers : Berlin, l'Amérique et l'Europe de l'Est. À Berlin, les études ethnomusicologiques se sont fondées avant tout sur les archives sonores. Les principaux chercheurs sont Eric von Hornbostel (qui, de 1905 à 1932, a dirigé la collection de phonogrammes de la Staatliche Hochschule für Musik, que Georg Herzog avait emportée avec lui, aux États-Unis, quand il y avait émigré), Otto Abraham et Kurt Sachs. Aux États-Unis, on a développé les études sur le terrain : Franz Boas chez les Indiens Kwakiutls (1895), Franck Speck chez les Indiens Creeks et Juchis (1905), Helen Roberts, Georg Herzog chez les Indiens du Nord et les Esquimaux. Marius Barbeau a étudié le folklore des Canadiens français. Vers 1932, les ethnomusicologues berlinois, fuyant les persécutions hitlériennes, ont fourni un apport fondamental. Sachs publia des ouvrages majeurs ; von Hornbostel influença Jaap Kunst, musicologue néerlandais auquel on doit le terme d'ethnomusicologie et qui a formé à son tour de nombreux ethnomusicologues, dont Mantle Hood, directeur de l'Institut d'ethnomusicologie de l'université de Californie (UCLA). Mantle Hood a mis en pratique le concept de bimusicalité, c'est-à-dire l'étude pratique des musiques extraeuropéennes auprès des musiciens professionnels occidentaux. Vers 1950, Alan P. Merriam a développé l'approche proprement anthropologique de la musique, attachant autant d'importance aux structures sociales qu'aux structures musicales. Il a été suivi par John Blacking (1928-1990) et, avec des outils statistiques, par Alan Lomax. L'ethnomusicologie en Europe de l'Est est caractérisée par la collecte et la transcription de corpus propres à une aire culturelle donnée. Cette tradition est ancienne puisque Mily Alexeïevitch Balakirev (1837-1910), compositeur du groupe des Cinq, avait harmonisé quarante mélodies populaires préalablement recueillies auprès des moujiks. En Hongrie, après Béla Vikar (véritable précurseur qui, en 1899, recueillit les chants épiques de la Carélie et fonda la première phonothèque), Béla Bartók a entrepris avec Zoltán Kodály ses enquêtes sur la musique folklorique de la Hongrie et des pays voisins. Il a énoncé, en 1936, ses méthodes d'investigation (l'enregistrement et sa transcription) et de classification (la détermination de grands types). Il a confronté les répertoires de régions différentes afin de dégager les éléments communs et ceux qui leur appartiennent en propre. Cette tendance au comparativisme a été reprise par Constantin Br?iloiu. Aujourd'hui, l'ethnomusicologie se divise en deux tendances fondamentales : la tendance anthropologique, qui aborde la production musicale des peuples dans son rôle social (Hugo Zemp, Musique dan : la place de la musique dans la pensée et la vie sociale d'une société, 1971), et la tendance musicologique, qui s'attache à l'étude strictement musicale des musiques orales, afin d'en dévoiler les principes structurels (Simha Aroh, Polyphonies et polyrythmies instrumentales d'Afrique centrale : structures et méthodes , 1985). Malgré des divergences méthodologiques, certains principes fondamentaux restent communs à ces deux tendances : - les musiques traditionnelles liées aux rituels (classes d'âge, cérémonies propitiatoires, funéraires, etc.) sont les plus étudiées, car elles sont menacées par l'évolution sociale et technique ; - l es musiques dotées de systèmes de notation et de théorie musicale souvent très élaborées sont elles aussi examinées : s'y attachent Alain Danielou pour l'Inde, Tran Van Khe pour le Viêt-nam, Jean During pour l'Iran, Hab?b Hassan Touma pour la musique arabe, ou Pierre Landry pour la Turquie ; - l'investigation ethnomusicologique s'enrichit des outils contemporaine : photographie, film et vidéo, informatique musicale. de la technologie Après avoir recherché les traditions authentiques, l'ethnomusicologue travaille de plus en plus sur les phénomènes d'acculturation et de métissage (minorités ethniques des pays industrialisés, musiques afro-américaines) et revient en Occident étudier les musiques « alternatives «. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Australie - Arts - Musique Balakirev Mili Alexeïevitch Bärenreiter Bartók Béla Boas Franz Brailoiu Constantin Gomidas (Soghomian Soghomon, dit) Kodály Zoltán Lajtha László musicologie Sachs Curt Schaeffner André Les livres Bartók Béla, page 564, volume 1 ethnomusicologie - fête à Carnac, page 1776, volume 4 ethnomusicologie - orchestre de balafons, page 1777, volume 4 ethnomusicologie - musique tzigane, page 1777, volume 4 ethnomusicologie - danses en Papouasie, page 1777, volume 4 ethnomusicologie - la tradition japonaise, page 1778, volume 4 Hongrie - Béla Bartók jouant du piano à Budapest, en 1936, page 2405, volume 5 Musique et vie quotidienne Le travail, la chasse, la pêche et la religion motivent que l'on chante et que l'on danse pour une meilleure productivité ou pour s'attirer les bonnes grâces des esprits. Les sociétés à traditions orales ont une musique qui leur est propre et qui prend sa source dans la vie quotidienne, le métier, la culture, comme le montrent les exemples qui vont suivre. Les approches sont différentes selon qu'il s'agit de traditions musicales classiques, c'est-à-dire pour lesquelles il existe d'anciens systèmes théoriques en partie écrits, ou de musique de tradition purement orale, dont l'étude est difficilement dissociable du contexte social global. La musique du bouddhisme tibétain est d'une grande complexité. Indissociable des traditions anciennes, elle exige une parfaite connaissance des textes transmis par la tradition orale. Elle joue un rôle essentiel dans les monastères. Dans les cérémonies religieuses, les salles de prières, pour donner le signal du début de la méditation des moines dans leur cellule, sur le toit du monastère ou à l'extérieur, partout la musique a sa place. Liée à la vie religieuse, elle est exécutée par les moines eux-mêmes, qui ont été formés depuis leur plus jeune âge aux différentes techniques vocales et ont appris à jouer des instruments. Différentes notations ont été consignées dans des manuels. Plus que la hauteur, ces notations indiquent les variations de volume ou certains détails d'émission de la voix. Ils ne constituent qu'un aide-mémoire, inutilisable sans le secours de la tradition orale. Le son des trompes symbolise la voix des divinités agressives, celui du hautbois correspond à la voix des divinités pacifiques. La clochette symbolise à la fois le savoir et le pouvoir sacré de la parole. La symbolique des sons « sombres « et des sons « clairs « est directement liée à la représentation religieuse du monde chez les Tibétains. Vouée à la vie spirituelle, la musique n'est jouée que pour les dieux. Les pêcheurs de perles du golfe Persique aiment chanter pendant leur travail. Cette tradition ancienne a donné naissance à un genre musical particulier, l'ifgeri. Chaque manoeuvre à bord s'accompagne d'un chant précis : au moment où on lève l'ancre, pendant que les marins rament, lorsqu'on hisse les voiles... L'ifgeri se compose d'une suite de passages chantés par un soliste et un choeur formé par le reste de l'équipage. La structure musicale varie selon la manoeuvre à effectuer. Aux temps des pauses marquées par les hommes au moment où ils lèvent l'ancre correspondent, à intervalles réguliers, de fortes expirations. Les paroles décrivent les dangers de la mer et la dure existence des marins et invoquent le nom d'All?h. À terre, les pêcheurs se retrouvent dans des maisons communautaires pour boire le thé, chanter et danser, ils jouent l'ifgeri en s'accompagnant d'instruments à percussion. Pour les 'Are 'Are, population mélanésienne des îles Salomon, la musique est une création de l'homme. Des récits mythiques, des chants, des histoires, rapportent que l'oiseau porare, qui dévastait les plantations, est à l'origine de la musique des flûtes en bambou et que l'invention du couteau de pierre a permis la création des tambours de bois. Les 'Are 'Are distinguent vingt types de musiques, qu'ils classent en quatre catégories d'inégale importance : la musique des instruments de bambou, les rythmes de tambours de bois, les chants et les jeux sonores dans l'eau. Ensembles de tambours de bois et orchestres de flûtes de pan apparaissent au cours des grandes fêtes rituelles liées au culte des ancêtres et au prestige des « grands hommes «. Le tambour de bois joué en solo envoie des messages dans un langage tambouriné compréhensible des seuls autochtones. La musique instrumentale est une musique descriptive ; chaque morceau porte un titre. Si la musique est bien jouée, les gens sont contents, ainsi que les ancêtres. Chez les Touaregs, nomades du centre du Niger, les instruments de musique ne sont joués que par les femmes. Instruments éphémères, ils sont fabriqués avec des objets usuels : demi-calebasse pour la vièle monocorde anzad ; mortier à piler le mil recouvert d'une peau de bouc pour le tambour tendey, q ui est accompagné d'un tambour d'eau constitué d'une cuvette remplie d'eau où flotte une demi-calebasse retournée, que l'on frappe avec une baguette à l'unisson des battements de mains. Construits pour une circonstance précise, ils retrouvent leur fonction première après usage. Si l'homme chante le plus souvent en soliste ou accompagné par l'anzad, la femme ne chante jamais avec l'anzad, mais avec le tendey, accompagnée d'un choeur de femmes. Comme dans nombre de sociétés traditionnelles, on ne chante ni ne joue d'un instrument à n'importe quel moment. Les occasions de faire de la musique sont les séances de « chants pour les génies «, au cours desquelles on joue de l'anzad ou du tendey avec ou sans accompagnement vocal, pour guérir une personne malade, pour « chasser les génies de son corps «, et les fêtes collectives (mariages, baptêmes), qui donnent lieu pour les hommes à « une ronde des chameaux « autour de la tambourinaire. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Afrique noire Salomon (îles) Tibet Touaregs Les livres ethnomusicologie - orchestre balinais, page 1778, volume 4 ethnomusicologie - monastère lamaïste de Tzun, à Oulan Bator, en Mongolie, page 1779, volume 4 ethnomusicologie - fête annuelle des Ouadias, en Kabylie (Algérie), page 1779, volume 4 instruments de musique - joueur de sitar à Jaipur (Inde), page 2548, volume 5 instruments de musique - tambourineurs du Rwanda, page 2548, volume 5 instruments de musique - joueurs de gong (Japon), page 2548, volume 5 Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats ethnologie folklore Les médias ethnomusicologie - l'ethnomusicologie chez soi : les musiques de France Les livres ethnomusicologie - procession religieuse en Espagne, accompagnée par un orchestre, page 1776, volume 4 ethnomusicologie - musiciens du Rajastan jouant du tabla et du sitar, page 1778, volume 4 Les indications bibliographiques J. Blacking, le Sens musical, Minuit, Paris, 1980. C. BrUailoiu, Problèmes d'ethnomusicologie, Minkoff reprints, Genève, 1973. A. Daniélou, Traité de musicologie comparée, Hermann, Paris, 1987.

« Les corrélats Dictionnaire de musique ethnologie ethnologie - Fondation de l'ethnologie scientifique Fétis François Joseph Sachs Curt Anthropologie ou musicologie Le concept d'ethnomusicologie associe deux termes, ethnologie et musicologie ; la spécificité de la discipline tient véritablement à la synthèse des deux approches.

De l'histoire sont nés, sinon des « écoles », du moins trois grands foyers : Berlin, l'Amérique et l'Europe de l'Est.

À Berlin, les études ethnomusicologiques se sont fondées avant tout sur les archives sonores.

Les principaux chercheurs sont Eric von Hornbostel (qui, de 1905 à 1932, a dirigé la collection de phonogrammes de la Staatliche Hochschule für Musik, que Georg Herzog avait emportée avec lui, aux États-Unis, quand il y avait émigré), Otto Abraham et Kurt Sachs.

Aux États-Unis, on a développé les études sur le terrain : Franz Boas chez les Indiens Kwakiutls (1895), Franck Speck chez les Indiens Creeks et Juchis (1905), Helen Roberts, Georg Herzog chez les Indiens du Nord et les Esquimaux.

Marius Barbeau a étudié le folklore des Canadiens français. Vers 1932, les ethnomusicologues berlinois, fuyant les persécutions hitlériennes, ont fourni un apport fondamental.

Sachs publia des ouvrages majeurs ; von Hornbostel influença Jaap Kunst, musicologue néerlandais auquel on doit le terme d'ethnomusicologie et qui a formé à son tour de nombreux ethnomusicologues, dont Mantle Hood, directeur de l'Institut d'ethnomusicologie de l'université de Californie (UCLA).

Mantle Hood a mis en pratique le concept de bimusicalité, c'est-à-dire l'étude pratique des musiques extra- européennes auprès des musiciens professionnels occidentaux.

Vers 1950, Alan P.

Merriam a développé l'approche proprement anthropologique de la musique, attachant autant d'importance aux structures sociales qu'aux structures musicales.

Il a été suivi par John Blacking (1928-1990) et, avec des outils statistiques, par Alan Lomax. L'ethnomusicologie en Europe de l'Est est caractérisée par la collecte et la transcription de corpus propres à une aire culturelle donnée.

Cette tradition est ancienne puisque Mily Alexeïevitch Balakirev (1837-1910), compositeur du groupe des Cinq, avait harmonisé quarante mélodies populaires préalablement recueillies auprès des moujiks.

En Hongrie, après Béla Vikar (véritable précurseur qui, en 1899, recueillit les chants épiques de la Carélie et fonda la première phonothèque), Béla Bartók a entrepris avec Zoltán Kodály ses enquêtes sur la musique folklorique de la Hongrie et des pays voisins.

Il a énoncé, en 1936, ses méthodes d'investigation (l'enregistrement et sa transcription) et de classification (la détermination de grands types).

Il a confronté les répertoires de régions différentes afin de dégager les éléments communs et ceux qui leur appartiennent en propre.

Cette tendance au comparativisme a été reprise par Constantin Br āiloiu. Aujourd'hui, l'ethnomusicologie se divise en deux tendances fondamentales : la tendance anthropologique, qui aborde la production musicale des peuples dans son rôle social (Hugo Zemp, Musique dan : la place de la musique dans la pensée et la vie sociale d'une société , 1971), et la tendance musicologique, qui s'attache à l'étude strictement musicale des musiques orales, afin d'en dévoiler les principes structurels (Simha Aroh, Polyphonies et polyrythmies instrumentales d'Afrique centrale : structures et méthodes , 1985). Malgré des divergences méthodologiques, certains principes fondamentaux restent communs à ces deux tendances : - les musiques traditionnelles liées aux rituels (classes d'âge, cérémonies propitiatoires, funéraires, etc.) sont les plus étudiées, car elles sont menacées par l'évolution sociale et technique ;. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles