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tir. n.m., action ou art de lancer un projectile avec

Publié le 11/12/2013

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tir. n.m., action ou art de lancer un projectile avec une arme. Le tir de chasse et de combat. L'origine du tir remonte à l'invention de la fronde rotative, il y a environ 30 000 ans. Le projectile était alors une simple pierre. Les hommes apprirent ensuite à propulser ces pierres au moyen de bâtons de jet. Puis l'arc et la flèche firent leur apparition, approximativement 10 000 ans avant J.-C. L'arbalète fut inventée un millier d'années avant J.-C. On mit ensuite au point les armes à feu lourdes - mortiers et bombardes - au XIe siècle, et les armes à feu portatives au XVe siècle, avec leurs projectiles respectifs, boulets et balles. Dans la seconde moitié du Moyen Âge, le tir, réservé jusqu'alors aux actions de combat ou de chasse, commença à être pratiqué comme sport en Europe. Le tir à l'arme portative silencieuse (arc, arbalète...) ou à feu (pistolet, fusil, carabine...) a pour objectif d'atteindre la cible avec la plus grande précision possible. La visée peut faire appel à des dispositifs optiques (lunette, viseur-collimateur...) ou mécaniques (hausse et guidon, bande de visée...). Avec les armes rudimentaires, tel l'arc, elle peut n'utiliser qu'un simple repère sur le corps de l'instrument. Avec les armes à feu lourdes (mitrailleuse, canon...), la visée, également appelée « pointage » pour les pièces les plus imposantes, s'effectue avec des systèmes comparables à ceux des armes légères, ou avec des mécanismes optiques plus élaborés autorisant des corrections automatiques du tir, après analyse de l'impact précédent. Dans tous les cas, le tir doit prendre en compte la vitesse du projectile, les effets du vent et l'action de la pesanteur qui influent sur la trajectoire. On emploie parfois le terme « tir » pour les engins autoguidés (missiles) ou les bombes - comme synonyme de lancement pour les missiles et de largage pour les bombes - du fait de la recherche, là aussi, d'une grande précision d'impact. Le tir sportif. C'est en 1858 que les règles élémentaires du tir sportif furent fixées. Des sociétés de tir furent créées en Suisse vers 1860. En 1886, soixante et une sociétés se regroupèrent pour former l'Union des sociétés de tir de France. Un an plus tard était créée l'Union internationale de tir. En 1896, le tir fut admis aux jeux Olympiques ; il y a toujours figuré, à l'exception de ceux de 1928 à Amsterdam. Le tir figure également au programme des jeux Olympiques d'hiver dans l'épreuve du biathlon, qui remplaça en 1960 l'ancienne course militaire de patrouilles. Il existe également des championnats du monde. Les premiers se déroulèrent à Lyon en 1897. De nombreux Français ont remporté des titres mondiaux, en particulier Michel Carrega à la fosse olympique (en 1970, 1971, 1974 et 1979), Jean-Luc Tricoire au sanglier courant (en 1983 et 1987), Jean-Pierre Amat à la carabine à air comprimé à 10 m (en 1989). Dans cette même discipline, Philippe Heberlé a été champion olympique en 1984, tandis que Jean-Pierre Amat, médaille de bronze de l'épreuve en 1996, conquérait aussi la médaille d'or de la carabine libre à trois positions. Au total, le programme olympique de tir comprend dix épreuves masculines : pistolet vitesse olympique à 25 m (60 coups), pistolet libre à 50 m (60 coups), pistolet à air comprimé à 10 m (60 coups), cible mobile à 10 m (carabine à air comprimé, deux fois 30 coups), carabine à air comprimé à 10 m (60 coups debout), carabine libre à 50 m trois positions (trois fois 40 coups), carabine libre à 50 m position couchée (60 coups), skeet olympique (150 plateaux), fosse olympique (150 plateaux), double trap, et cinq épreuves féminines : pistolet sport à 25 m (deux séries de 30 coups), pistolet à air comprimé à 10 m (40 coups), carabine à air comprimé à 10 m (40 coups debout), carabine à 50 m trois positions (trois fois 20 coups), double trap. Pour les épreuves sur cibles, on utilise des armes rayées et pour les épreuves sur plateaux, des armes lisses. Complétez votre recherche en consultant : Les livres armes - tireur de ball-trap, page 361, volume 1 tir au pistolet, page 5201, volume 10 tir - le Français Philippe Heberlé, page 5201, volume 10 tir - la Chinoise Zhang Shan lors des Jeux Olympiques de 1992, à Barcelone, page 5201, volume 10 tir - le tir sur plateaux, ou ball-trap, page 5201, volume 10 Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats arbalète arbalétrier armes - Les armes à feu portatives armes - Les armes de jet armes - Les armes de trait balistique carabine chasse - Les techniques de chasse - Les principales techniques actuelles fusil missile Olympiques (jeux) - Les programmes olympiques pistolet projectile revolver tir à l'arc visée (instruments de)

« positions (trois fois 40 coups), carabine libre à 50 m position couchée (60 coups), skeet olympique (150 plateaux), fosse olympique (150 plateaux), double trap, et cinq épreuves féminines : pistolet sport à 25 m (deux séries de 30 coups), pistolet à air comprimé à 10 m (40 coups), carabine à air comprimé à 10 m (40 coups debout), carabine à 50 m trois positions (trois fois 20 coups), double trap.

Pour les épreuves sur cibles, on utilise des armes rayées et pour les épreuves sur plateaux, des armes lisses. Complétez votre recherche en consultant : Les livres armes - tireur de ball-trap, page 361, volume 1 tir au pistolet, page 5201, volume 10 tir - le Français Philippe Heberlé, page 5201, volume 10 tir - la Chinoise Zhang Shan lors des Jeux Olympiques de 1992, à Barcelone, page 5201, volume 10 tir - le tir sur plateaux, ou ball-trap, page 5201, volume 10 Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats arbalète arbalétrier armes - Les armes à feu portatives armes - Les armes de jet armes - Les armes de trait balistique carabine chasse - Les techniques de chasse - Les principales techniques actuelles fusil missile Olympiques (jeux) - Les programmes olympiques pistolet projectile revolver tir à l'arc visée (instruments de). »

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