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Les koalas et les autres animaux arboricoles

Publié le 27/03/2012

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Avec le kangourou et l'ornithorynque, le koala est l'animalle plus connu d'Australie. Parfois, on l'apparente à un ourson, mais il s'agit en réalité d'un marsupial arboricole. A cause de sa belle fourrure, la koala a failli être entièrement exterminé. A l'heure actuelle, sa situation semble s'être améliorée. Il vit dans les vastes régions situées le long de la côte est de l'Australie. Les koalas prospèrent à merveille dans une réserve d'environ huit hectares près de Brisbane. Mais, dans la nature, ils sont loin d'être aussi nombreux qu'autrefois.

« grands qu'une souris.

Ils se nourrissent principalement d'insectes.

En captivité, il leur arrive cependant aussi de manger du sucre ou du miel.

A l'instar de nombreux au­ tres marsupiaux, comme les kangourous , et bon nombre de mammifères dépourvus de poche marsupiale, les loirs­ opossums se caractérisent également par un système de reproduction qu'on appelle l'implantation retardée.

L'oeuf fécondé se développe et forme une petite boule de cellules qui se transforme ultérieurement en un embryon.

L'embryon ne continue à se développer qu'au moment où le petit précédent a quitté la poche marsupiale.

Si un trouble survient à un petit plus âgé, alors qu'il se trouve encore dans la poche, l'embryon implanté se développera plus rapidement afin de regagner le temps perdu.

Sauf le chat domestique et les uraètes audacieux, les mar­ supiaux arboricoles ont peu d'ennemis .

C'est la raison pour laquelle leur nombre est toujours important.

Le phalanger volant continue à former un groupe assez nombreux, bien qu'on ait cru pendant longtemps que l'espèce était éteinte.

Pourtant, en 1961, on en redécou­ vrit dans les épaisses forêts montagneuses du haut­ plateau central australien.

Auparavant, on ne connaissait pas cet animal, car on n'avait découvert que cinq indivi­ dus entre 1867 et 1909.

Ci-dessus: Les loirs-opossums so nt des grimpeurs particulière­ ment agiles.

On peut les voir so uvent descendre d'un arbre à toute vitesse, la tête dirigée vers le bas.

Pour grimper, ils se ser­ vent de leur queue préhensile.

A g auche : Tout comme les koa­ las, les phalangers volants ont des doigts opposables aux pot­ tes antérieures, qui leur permet­ tent de bien s'agripper aux bronches.

Et, tout comme quel­ ques outres de leurs congénères, ils possèdent des molaire s parti­ culiè rement bien adapt ées pour mâcher finement les feuilles qu'ils dévorent.

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