« Au Bonheur des Dames » de ZOLA

« * Il fallut aller jusqu'au boulevard.

Déjà le soleil chauffait, […] d'une transparence de cristal.

(page 198) Baugé l'amant de Pauline, devait venir prendre Pauline et Denise à huit heures, sur la place Gaillon.

De là, ils iraient en fiacre jusqu'à la gare de vinciennes.C'est pendant cette promenade que Denise décrit le paysage autour d'elle. * Anonymat * Bouthemont, qui devenait célèbre sur la place, […] on ne connaissait pas son pareil.

(page 85) La personne qui décrit la description de Bouthemont n'est pas connue.

Ce n'est pas à travers le regard d'un personnage. * Hérédité * Dans un des accès de brusque franchise, dont il accablait parfois ses familiers, il déclara qu'il était au fond plus juif que tous les juifs du monde : il tenait de sonpère, auquel il ressemblait physiquement et moralement, un gaillard qui connaissait le prix des sous ; et, s'il avait de sa mère ce brin de fantaisie nerveuse, c'est làpeut-être le plus clair de sa chance car il sentait la force invisible de sa grâce à tout oser.

(page 81) Pour Zola, certaines caractéristiques son héréditaire.

Comme la ressemblance physique entre lui et son père, mais également le fait d'aimer l'argent et d'être radin.

Desa maman, il a plutôt le coté de ce brin de fantaisie nerveuse.On peut voir tout au long du livre que Mouret prend des décisions sur un coup de tête comme par exemple le fait de vendre la soie moins chère pour attirer lesclientes en espérant se faire plus de sous. * Le naturaliste Au Bonheur des Dames est un roman naturaliste, car dans son livre, Zola reprend bien les 3 critères.Le premier, c'est la reproduction de la vie réelle.

On peu le constater avec les lieux existants et les personnages. En second, Zola ne porte pas de jugement sur les personnages, il les décrit tel quel, mais reste neutre. Et comme dernier critères, il y le fait de ne pas agrandir le héros, mais le tuer c'est-à-dire qu'il ne donne pas de super pouvoir aux personnages, il les représentecomme vous et moi, avec leur défauts et qualités.Par contre, Zola dans ce roman ne reprend pas tout à fait ce critère, car il présente Denise comme une femme sans défauts, même avec les coups durs qu'elle a enétant au Bonheur des Dames, elle ne réplique jamais, continue de travailler sans souci, …. »