Compte rendu critique de la pièce Tranchées
Publié le 23/10/2011
Extrait du document
Tout récemment, dans une petite salle du théâtre Prospero, se tenait le début des représentations de la pièce Tranchées. Cette dernière est composée de cinq comédiens, soit le metteur en scène lui même, Marc-André Thibault et avec une généreuse collaboration de Karyne Lemieux. Sans oublier le reste de la troupe qui ont été fascinants, Lucien Abbondanza-Bergeron, Olivier Berthiaume et Alexandra Cyr. Thibault s’est inspiré des textes de Hanokh Levin, un certain écrivain israélien, afin d’en concevoir par la suite des tableaux consécutifs avec lesquels il en combine le tout. Disponible du 20 septembre au 8 octobre 2011, elle saura envouter son public.
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Tout récemment, dans une petite salle du théâtre Prospero, se tenait le début des
représentations de la pièce Tranchées. Cette dernière est composée de cinq comédiens, soit le
metteur en scène lui même, Marc-André Thibault et avec une généreuse collaboration de
Karyne Lemieux.
Sans oublier le reste de la troupe qui ont été fascinants, Lucien
Abbondanza-Bergeron, Olivier Berthiaume et Alexandra Cyr.
Thibault s’est inspiré des
textes de Hanokh Levin, un certain écrivain israélien, afin d’en concevoir par la suite des
tableaux consécutifs avec lesquels il en combine le tout.
Disponible du 20 septembre au 8
octobre 2011, elle saura envouter son public.
Au premier abord, sur ces tableaux, il est clair que personne n’en ressort indifférent.
Chaque représentation dégage un thème qui, ma foi, décris très bien les rapports entre
individus.
En effet, il y a un tableau en particulier qui témoigne largement sur ce cas, soit
celui du chapeau-cabas (Blue).
À un certain moment, deux des personnages discutent et l’un
portait un chapeau en se vantant qu’il possède une fonction deux en un.
Grâce à lui, plus
besoin de se préoccuper de tout autres soucis.
Évidemment, l’autre personnage vient à
l’envier et tient absolument à s’en procurer un semblable, se disant bien entendu que lui
aussi, tous ses problèmes s’envoleraient sans ennui.
Ce que l’on en tire finalement, c’est que
cela ne diffère pas entièrement du commerçant tenant à tout prix de vendre sa marchandise
aux clients.
Aujourd’hui encore, tristement, plusieurs dorlotent leurs consommateurs avec
des volontés qui suscitent leurs intérêts.
Ils finissent donc par s’y accrocher et cèdent.
Peu de
temps après, s’y débarrassent.
Autrement dit, Thibault a construit ce tableau, dans lequel lui-
même interprète un des personnages et dans lequel il nous laisse sur une exclamation.
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