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Fiche lecture: Marc Augé - Impossible voyage

Publié le 14/08/2012

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d) La ville entre imaginaire et fiction  Selon Marc Augé pour rêver debout, même si on essai cela n’évite pas les jugements de valeur et les clichés qu’il prétend dénoncer. « Le voyage n’existe plus, le monde devient de plus en plus identique, les plages lointaines se montre rarement à la hauteur de nos espérances «. Marc Augé parle d’un monde où la réalité se confond de plus en plus à travers le filtre de la fiction et du rêve où les villes italiennes auront toujours quelque chose de stendhalien et les villes américaines un petit air de Gotham city.  e) Une ville de rêve  La ville de rêve est illustrée ici par Paris,  Comment et pourquoi vous êtes-vous intéressé à l’architecture ?  Sans raison particulière. Il y a eu des rencontres antérieures à mon essai sur les non-lieux, et évidemment il a créé des occasions plus grandes. D’abord, j’ai toujours été fasciné par les architectes dans la mesure où, à travers leur capacité à changer un paysage, ils m’apparaissent comme les démiurges du monde actuel ? 

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« Selon Marc Augé pour rêver debout, même si on essai cela n'évite pas les jugements de valeur et les clichés qu'il prétend dénoncer.

« Le voyage n'existe plus, lemonde devient de plus en plus identique, les plages lointaines se montre rarement à la hauteur de nos espérances ».

Marc Augé parle d'un monde où la réalité seconfond de plus en plus à travers le filtre de la fiction et du rêve où les villes italiennes auront toujours quelque chose de stendhalien et les villes américaines un petitair de Gotham city.e) Une ville de rêveLa ville de rêve est illustrée ici par Paris,Comment et pourquoi vous êtes-vous intéressé à l'architecture ?Sans raison particulière.

Il y a eu des rencontres antérieures à mon essai sur les non-lieux, et évidemment il a créé des occasions plus grandes.

D'abord, j'ai toujoursété fasciné par les architectes dans la mesure où, à travers leur capacité à changer un paysage, ils m'apparaissent comme les démiurges du monde actuel ? Ensuite unecertaine demande est venue des architectes, préoccupés et supportant mal d'être accusés de tous les péchés au regard des constructions des années 1960.

Il est vraiqu'ils ne les ont pas décidées, et ce qui s'est construit dans les banlieues n'apparaissait pas au départ comme stigmatisant des gens pauvres mais au contraire commeapportant du progrès et du confort et de la modernité.

Toute l'histoire des années 1970, avec de l'apparition du chômage et du racisme qui lui est lié et la dégradationdes bâtiments, n'est pas la faute des architectes, mais ils ont quand même mauvaise conscience.

Et puis certains « grands récits » d'architectes sont aussi graves queceux de certains penseurs de la chose politique …. »

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