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La Condition humaine d'André Malraux (fiche de lecture)

Publié le 10/05/2011

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malraux

Le 11 avril  Clappique reçoit la visite de Chpilewski, un aristocrate polonais qui travaille avec la police. Celui-ci lui conseille de quitter Shanghaï, car il va être arrêté à cause de l'affaire du bateau. Kyo est également menacé d'arrestation.  Tchen marche dans les rues, sa bombe dans une serviette sous le bras. Il rencontre son ancien maître, le pasteur Smith-son. Leurs voies ont divergé, Tchen est désormais étranger aux leçons du christianisme et ressent encore davantage sa solitude. Il manque son attentat contre Chang Kaï-Shek car il est gêné au moment de jeter la bombe par l'antiquaire de la boutique où il est entré pour surveiller la rue.  Ses camarades Peï et Souen n'ont pu également jeter leur bombe. Déçus, ils vont chez Hemmelrich qui refuse de les recevoir car il ne veut pas exposer sa famille. Hemmelrich est humilié de cette situation. Il voudrait être libre de risquer sa vie pour la cause, comme ses camarades. Torturé par un sentiment de culpabilité, Tchen décide désormais d'agir seul. Pour ne pas rater sa cible, il se jettera sous la voiture avec la bombe. Il demande à ses camarades de continuer après sa mort l'action terroriste.   

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« Le 22 mars 1927Ferrai est le président de la Chambre de Commerce française en Chine, il dirige le Consortium, c'est un hommepolitique et financier très important, représentant du grand capital.

A 11 h, il traverse en voiture la foule desmanifestants en grève.

Il se rend chez Martial, le chef de la police française.

Ils discutent de la situation explosive,désastreuse pour les intérêts français en Chine.

Les rapports de force sont incertains.

Mais il y a une scission chezles communistes entre le Comité Central favorable à l'alliance avec Chang Kaï-Shek et les dirigeants locaux quipréparent l'insurrection.

En rentrant chez lui, Ferrat a dans les yeux l'image « d'une ville à l'affût ».Il est 5 h, Tchen et son groupe attaquent un poste de police et s'emparent des armes.Pendant ce temps, Ferrai apprend les progrès de l'insurrection : tous les points stratégiques tombent les uns aprèsles autres.

Il décide alors de payer Chang Kaï-Shek pour que celui-ci liquide les communistes.

Les expropriationspratiquées par ceux-ci lèsent les officiers du Kuomintang, l'organisation dirigée par Chang-Kaï-Shek.

Celui-ci ne peutlaisser faire.

Ferra) rentre chez lui où il retrouve sa maîtresse du moment, Valérie, une riche couturière.

Mais entreeux, le malentendu est latent. Le 23 mars 1927Tous les groupes sont armés, l'insurrection gagne du terrain, de nombreux soldats gouvernementaux rejoignent lesrangs des insurgés.

Le dernier obstacle est le train blindé qui résiste encore.

D'un magasin d'horloger transformé enpermanence, Kyo observe le train blindé.

Il consulte Tchen et Katow pour prendre une décision.

Ils ne sont pasd'accord avec la politique du Comité Central dont le siège est à HanKéou, grand port ouvrier tenu par lescommunistes près de Shangaï.

Le Comité Central veut s'entendre avec Chang KaïShek dont les troupes sont àprésent toutes proches.

Tchen propose d'assassiner Chang Kaï-Shek.

Un officier du Kuomintang, l'organisation deChang Kaï-Shek, vient demander aux communistes de leur livrer des armes.

Il affirme avoir reçu l'accord dugouvernement de Han-Kéou.

Tandis que le train blindé sombre sous les coups de l'artillerie révolutionnaire, Kyodécide d'aller à Han-Kéou pour convaincre le Comité Central de la nécessité de ne pas rendre les armes et decombattre Chang Kaï-Shek. TROISIÈME PARTIE Le 29 mars 1927Kyo arrive à Han-Kéou et trouve une ville paralysée par la grève.

Kyo se rend compte que la situation ne correspondpas à celle qu'on s'imagine à Shangaï.

Les compagnies étrangères n'ont pas encore été réquisitionnées.

Il est reçu àla Délégation de l'Internationale par Vologuine qui lui signifie que l'ordre de rendre les armes a déjà été donné.

Il estvrai que la moitié des sections seulement a obtempéré.

Vologuine fait comprendre à Kyo que la ligne imposée parMoscou est l'entente provisoire avec Chang Kaï-Shek.

Puis il lui apprend que Tchen est venu proposer d'assassinerChang.

Vologuine refuse ce projet aventuriste.

Le Kuomintang est trop fort pour qu'on s'attaque à lui.

On peutseulement le noyauter, l'infiltrer.

Kyo sort très angoissé, très déchiré de cette conversation.

Il est de coeur avec labase qui répugne à se laisser désarmer et veut continuer la lutte.

Mais il a le sens de la discipline révolutionnaire.Tchen persiste dans sa volonté de tuer Chang.

Mais Possoz, militant suisse, un vieux bolchevik de toute confiance,recommande l'obéissance au parti.

Tout en écoutant Possoz, Kyo est persuadé que Tchen, bien que sans visa, estdéjà parti de Han-Kéou comme il l'avait annoncé, pour commettre l'irrémédiable.

QUATRIÈME PARTIE Le 11 avrilClappique reçoit la visite de Chpilewski, un aristocrate polonais qui travaille avec la police.

Celui-ci lui conseille dequitter Shanghaï, car il va être arrêté à cause de l'affaire du bateau.

Kyo est également menacé d'arrestation.Tchen marche dans les rues, sa bombe dans une serviette sous le bras.

Il rencontre son ancien maître, le pasteurSmith-son.

Leurs voies ont divergé, Tchen est désormais étranger aux leçons du christianisme et ressent encoredavantage sa solitude.

Il manque son attentat contre Chang Kaï-Shek car il est gêné au moment de jeter la bombepar l'antiquaire de la boutique où il est entré pour surveiller la rue.Ses camarades Peï et Souen n'ont pu également jeter leur bombe.

Déçus, ils vont chez Hemmelrich qui refuse de lesrecevoir car il ne veut pas exposer sa famille.

Hemmelrich est humilié de cette situation.

Il voudrait être libre derisquer sa vie pour la cause, comme ses camarades.

Torturé par un sentiment de culpabilité, Tchen décidedésormais d'agir seul.

Pour ne pas rater sa cible, il se jettera sous la voiture avec la bombe.

Il demande à sescamarades de continuer après sa mort l'action terroriste.Clappique est venu chez Gisors pour prévenir Kyo.

Il a une conversation sur l'art et la philosophie de l'Orient avecGisors et avec Kama, le beau-frère de Gisors, un peintre japonais.

Contrairement à l'artiste occidental, l'artisteoriental cherche avant tout l'harmonie avec le monde.

Clappique transmet à Kyo l'information que lui a donnéeChpilewski et promet de lui communiquer des renseignements plus précis le soir à 11 h 30 au Black Cat.Kyo et Gisors ont une discussion sur les tactiques à adopter.

Gisors est persuadé comme Kyo que Chang Kaï-Shekva écraser les communistes mais il est hostile à l'idée de l'attentat terroriste.

Mieux valait, d'après lui, temporiser,reprendre pied à Canton et attendre une conjoncture plus favorable pour commencer une nouvelle campagne duNord.

Kyo reçoit du Comité Central l'ordre d'enterrer les armes.

Il décide d'aller à Han-Kéou.

Son père comprend qu'il. »

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