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Résumé sur le discours des sciences et des arts de Rousseau

Publié le 17/04/2012

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discours

Dans la première partie, Rousseau affirme que les sciences et les arts ont amené des choses magnifiques que l'on n'aurait jamais crues possible auparavant étant donné que l'Europe se trouvait dans une période où elle était dans un état pire que l'ignorance. Par contre, elles ont brimées la liberté dont l'être humain serait supposé de bénéficier. Les sciences et les arts viennent créer une sorte d'esclavage chez les êtres humains en voulant les transformer en un peuple civilisé.
 
De plus, selon lui, l'homme bien ne se vêtit point de parures, puisque celles-ci l'empêchent de montrer sa vraie nature et elles viennent s'opposer à sa vertu. L'homme bien est nu, car il ne veut nullement cacher ses défauts qui ne feront que le rendre plus fort plutôt que de venir le gêner. Depuis le rétablissement des sciences et des arts, nos moeurs ont perdu de leur authenticité. Elles étaient peut-être simples par le passé, mais personne ne doutait de l'exactitude de celles-ci.

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« Étant donné qu'il y a encore trop de mystères et d'incertitudes reliées au savoir découvert par les sciences et les arts, celui-cis'avère inutile.

Bref, il faudrait les détacher de tout ce qui n'a pas attrait à eux, ce qui veut dire ne pas les rendre responsablede tous les maux et plutôt les considérer en eux-mêmes et en ce qu'ils sont capable de nous donner.

Deuxième partie Dans la deuxième partie de son discours, Rousseau commence en disant que les sciences et les arts sont nés des vices, ce quiveut dire ceux-ci sont corrompus.

Il les dit impliqués dans plusieurs échecs sociaux, moraux et politiques, car les erreurs qu'ilsapportent peuvent amener de graves conséquences.

Souvent, ce sont plus les erreurs qu'ils ont commis que l'on retientplutôt que la vérité amenée par leurs découvertes.

Par la suite, Rousseau démontre que les sciences et les arts ont créé un luxe à cause de la facilité qu'ils ont amenée.

Ce luxe acréé une fainéantise et une paresse chez l'homme qui n'existait pas au Moyen-Âge.

Ceux-ci veulent un succès et des résultatsimmédiats bien qu'ils viennent normalement des fruits d'un long et difficile travail.

Les modes de pensées ont pris unetournure radicale vers le commerce et le revenu, tandis qu'auparavant l'importance était mise autour des traditions, desvaleurs et de la vertu.

Rousseau continue en disant que les sciences et les arts n'aident point les qualités guerrières et lesqualités morales, puisqu'aujourd'hui les gens sont plus ingénieux, mais ils n'ont plus la force d'accomplir les actes qu'unguerrier devrait être capable de faire.

De plus, ils apprennent plein de chose qui remplissent leur esprit et quimalheureusement finiront par être oublier dans un court laps de temps.

Les sciences et les arts s'avèrent donc inutiles et nefont que faire régresser la population.

À l'époque de Rousseau, ce n'est que le talent qui est devenu important.

Peu importe si un homme est bon ou pas, s'il a dutalent, il aura la gloire et la reconnaissance.

Donc, une inégalité commence à exister entre les hommes est créé entre ceux quiont le talent et ceux qui ne l'ont pas, mais qui sont bons.

Vers la fin de son discours, Rousseau avoue qu'il y a des grands savant dans ce monde et que ceux-ci méritent le titre qu'onleur donne, car ils ont réussi à triompher malgré les obstacles sur leur chemin.

Il proclame que les prochains seront ceux quicomme les autres grands savants auront trouvé leurs propres chemins sans être guidé et qui arriveront à devancer leursprécurseurs.

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