L'étranger de Camus (l'excipit)

« - Agression physique : « je l’avais pris par le collet de sa soutane » - Meursault était un personnage passif, changement : maintenant il devient violent : « on m’arrachait l’aumônier des mains » 4) Révolte émotionnelle / intérieur - Révolte émotionnelle menée de joie mais aussi de colère : « avec des bondissements mêlés de joie et de colère » - Naissance des sentiments chez Meursault qui était un homme insensible. La libération de la parole chez Meursault est lié à une libération du corps et une explosion qui va mener à la reconnaissance de l’absurdité du monde. AXE II : 1) L’assurance du personnage - Répétition de « sûr » : « mais j’étais sûr, sûr de moi, sûr de tout..

» → gradation, élargissement du rythme de la phrase - Opposition avec l’aumônier : « il n’était pas sur » - Répétition de raison : « J’avais eu raison, j’avais encore raison, j’avais toujours raison » 2) Accès à la vérité - « Je tenais cette vérité autant qu’elle me tenait » : Chiasme qui met en valeur ce rapport avec la vérité qui est nouveau pour Meursault. - Parallélisme (énumération d’exemple) : « Qu’importait si..

Qu’importait si..

» → jugement personnel sur sa mère, sur le chien de Salamano, sur Marie.. 3) Sens de la vie et évocation de la mort - Série d’antithèse : « J’avais vécu de telle façon et j’aurai pu vivre de telle autre.

J’avais fais ceci et je n’avais pas fais cela..

» + répétition de « faire » : chiasme → meursault montre un caractère ridicule de la vie - « Rien, rien n’avait d’importance » → affirme que la vie n’a pas d’importance ne vaut pas le coup d’être vécu.. »