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Prosper Mérimée

Publié le 17/01/2022

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(1803 - 1870) En marge du courant romantique, l'oeuvre de Mérimée est peu abondante, mais d'une densité remarquable. Pendant une quarantaine d'années, il fut le maître incontesté du récit bref. Un maître de la nouvelle. Prosper Mérimée fit des études classiques avant d'entrer à l'École de droit. Ami de Stendhal, il fréquentait les salons et les milieux littéraires et artistiques, tout en se tenant à l'écart des cénacles romantiques ; esprit agnostique et voltairien, il n'éprouvait aucun attrait pour les effusions lyriques. Ses premières oeuvres sont des mystifications : le Théâtre de Clara Gazul (1825), recueil de pièces brèves prétendument écrites par une actrice espagnole, et La Guzla (1827), ballades faussement attribuées à un poète illyrien.

« t i PROSPER MÉRIMÉE (1803-1870) Un romantique sage ? Les goûts littéraires de Mérimée lui viennent peut-être d'une famille cultivée et artiste.

Ils se révèlent au cours d'études convenables et dans ses premiers essais littéraires, notamment dramatiques.

C'est alors le temps d'une jeunesse romantique et byronienne, faite d'un peu d'examens de droit, mais surtout de rencontres (Mme Récamier, Stendhal, dont il parlera dans H.B.

[1850], Cuvier, Hugo, Musset, Delacroix, etc.}, d'amours et de voyages nombreux (en Angleterre, en Espagne aussi, où il va connaître une petite fille qui deviendra l'impératrice Eugénie).

Ses premiers livres sont des œuvres-mystifications, comme le recueil de. »

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