Devoir de Philosophie

1137 Mort de Louis VI.

Publié le 10/04/2015

Extrait du document

1137 Mort de Louis VI. Tué en quelque sorte par sa gloutonnerie, qui l'a rendu obèse et lui a valu le surnom de " le Gros ", à cinquante-six ans, Louis VI n'en laisse pas moins le royaume pacifié et bien administré. Sur son lit de mort il dit à son fils, qui va devenir Louis VII : " Souvenez-vous, mon fils, que la royauté n'est qu'une charge publique, dont vous rendrez un compte rigoureux à Dieu, qui seul dispose des sceptres et des couronnes. " 1589 Assassinat de Henri III. Le roi est à Saint-Cloud lorsqu'un moine demande à le voir pour lui communiquer d'importantes informations. Alors qu'il est agenouillé devant le roi, qui le reçoit, le moine Jacques Clément le frappe au bas-ventre d'un coup de couteau. " Ah ! le méchant moine, il m'a tué ! ", ...

« encombrés des navires français ne permettent pas une riposte au rythme des tirs ennemis.

Seuls quatre vaisseaux français parviennent à échapper à la furie anglaise.

Dans la nuit le bilan dressé est terrible : onze bâtiments ont été pris, cinq autres ont coulé avec 4 000 hommes.

Le 19, Bonaparte écrit au Directoire : “ Faites réunir tous vos vaisseaux qui sont à Toulon, Ancône, Corfou, Alexandrie, pour pouvoir encore nous trouver une flotte.

” 1815 Licenciement de l’armée impériale. Le 22 juin 1815, Napoléon a abdiqué sans condition.

Le 15 juillet il est monté à bord du Bellérophon, qui a appareillé pour Sainte-Hélène.

En ce 1er août, le roi Louis XVIII , qui est entré dans Paris le 8 juillet, dissout l’armée impériale sans solde. 1914 Mobilisation générale. Sur les murs des communes de France apparaissent les affiches de la mobilisation générale : “ Par décret du président de la République, la mobilisation des armées de terre et de mer est ordonnée, ainsi que la réquisition des animaux, voitures et harnais nécessaires au complément de ces armées.

Le premier jour de la mobilisation est fixé au 2 août 1914.

Tout Français soumis aux obligations militaires doit, sous peine d’être puni avec toute la rigueur des lois, obéir aux prescriptions du fascicule de mobilisation (pages colorées placées dans son livret).

” Cependant le président de la République, Raymond Poincaré , dit encore : “ La mobilisation n’est pas la guerre.

” Le maréchal Lyautey , à l’annonce du conflit qui s’engage, grogne : “ La plus monumentale ânerie que le monde ait faite… ”. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles