Cambodge de 1980 à 1989 : Histoire
Publié le 01/12/2018
Extrait du document

Parallèlement aux raids vietnamiens contre les camps du Front national de libération du peuple khmer (FNLPK), soutenu par les États-Unis, et des Khmers rouges, les négociations se poursuivent entre les différentes parties engagées au Cambodge. D'une part, entre le Viêt-nam, dont les forces armées occupent le pays depuis 1978, et la Chine populaire, qui aide les Khmers rouges à poursuivre leur résistance à l'occupation vietnamienne; d'autre part, entre les Khmers rouges, les Khmers Serci et les partisans du prince Norodom Sihanouk qui se disputent le contrôle des camps de réfugiés; et enfin, entre Phnom Penh et les pays membres de l'ASEAN (Indonésie, Malaysia, Philippines, Singapour, Thaïlande), qui, comme les pays occidentaux, dénoncent avec force la présence vietnamienne au Cambodge et la soumission du gouvernement Heng Samrin aux autorités de Hanoï. La Thaïlande, qui s'estime menacée par la présence de blindés vietnamiens à 250 kilomètres de Bangkok, souhaite l’instauration d’un régime pro-occidental capable d’endiguer la progression communiste dans la région. Malgré les divergences entre Pékin et Hanoï
Liens utiles
- LA RÉVOLUTION PHILIPPINE. LE CONFLIT TCHADIEN. AFRIQUE DU SUD: LA FIN DE L’APARTHEID ? LE CAMBODGE. CHINE: LA DÉCENNIE DE DENG XIAO-PING. L’ALGÉRIE de 1980 à 1989 : Histoire
- LA Peinture de 1980 à 1989 : Histoire
- Pakistan de 1980 à 1989 : Histoire
- Ouganda de 1980 à 1989 : Histoire
- Nouvelle-Zélande de 1980 à 1989 : Histoire