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Publié le 12/12/2013

Extrait du document

histoire
Analyse de document:       À partir de la fin du XIXème siècle, les médias jouent un rôle important dans l'économie et la société française, nous ammenant a des situations comme, par exemple, les crises politiques. Ainsi, l'affaire Dreyfus a été l'une des crises politiques les plus importantes qu'a jamais connu la France. Elle a en effet divisée les français, et provoqué des combats et des conflits d'idées d'une grande importance. Cette histoire voit le jour à la fin du XIXème siècle, moment où la presse écrite est à son apogée, qui voit sa diffusion et son influence augmenter considérablement. L'affaire Dreyfus devient donc sujet de polémique dans la presse, et prend position dans divers débats, formant une opinion publique diversifiée. C'est précisemment cela que nous pouvons voir dans le document à analyser. Il s'agit d'une illustration faisant la page de couverture du journal hebdomadaire « Le sifflet », du 15 septembre 1898 (nº33) déssinée par H.-G. Ibels, qui nouis montre une image caricaturale d'un officier devant Marianne déposant une bombe qui a marquée dessus « affaire Dreyfus », le journal defandant ainsi une position clairement dreyfusarde, critiquand avec cette caricature la position qu'adopte le journal « Psst... ! », rival antydreyfusard du sifflet. Ainsi, nous pouvons nous demander quels rôles jouent la presse et l'opinion publique au moment de l'affaire Dreyfus. Nous allons, dans un premier temps, voir en quoi cette affaire pourait être considérée comme polémique, et, dans un deuxième temps, nous étudierons la position de la presse et l'opinion publique dans l'affaire.     I-Une affaire polémique :       A. Une affaire singulière :   A.1 : Une accusation prévisible : En 1894, l'armée française est sois-disant victime d'espionnage, et l'on suspecte que quelqu'un de l'armée française procure des informations à l'All...
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«       A.

Une affaire singulière :   A.1 : Une accusation prévisible : En 1894, l'armée française est sois-disant victime d'espionnage, et l'on suspecte que quelqu'un de l'armée française procure des informations à l'Allemagne.

Est alors accusé Alfred Dreyfus, officier frannçais travaillant à l'État majeur, d'ascendance alsacienne et juive.

Ce fut une accusation, au début, innatendue, mais il était l'accusé parfait pour une société anti-sémite et en conflit avec l'Allemagne (étant d'ascendance juive et alsacienne.

  A.2 : Accusation prévisible mais incohérente : Il n'y avait pas de preuve concrète et cohérente pour accuser Dreyfus, et, pour cela, les gens doutaient de la légitimité de l'affaire, étant l'officier le candidat parfait pour être accusé.

Une partie de la population française doutait donc des faits, et ne savaient pas si se méfier de ce qui était sentencié.

Cette idée de mensonge et manipulation par rapport à l'affaire reste présente pendant un moment : nous pouvons voir ça dans la couverture du journal « Le Sifflet », où, comme commentaire de l'illustration, l'on nous dit « Marianne- Elle éclatera : malgré ton vieux flair d'artilleur, tu l'as trop chargée de sulfate de faux ! » : cette phrase, quelque peu satirique, nous montre bien qu'une partie des français ne croient pas en la culpabilité de Dreyfus.     B.

Un pretexte politique :     B.1 : Un contexte particulier :. »

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