Flux de mondialisation

« + en + imp pr le pétrole (5% du trafic pétrolier mondial en 2006), dps l'ouverture en 2001 d'un nveau terminalpétrolier russe sur la mer Noire à Novorossisk, et l'augmentation de la prod pétrolière des républiques d'Asie centrale.Le déroit d'Ormuz est le passage le + hautement stratégique pr les échges mondiaux de pétrole (le Golfe représente1/3 de la prod mondiale et 60% des réserves prouvées).

Le 1/3 du commerce mondal de pétrole y transite.Le détroit de Bab el Mandeb et le canal de Suez reliant l'océan Indien à la Méditerranée est aussi une artère imp prle trafic pétrolier, essentiellement en direction de l'Europe.Le canal de Panama ne voit passer qu'1% des échges maritimes mondiaux ms il est en revanche essentiel pr lesEtats -Unis : 23% de leurs échges y transitent. C'est le lg de ces détroits ou à leurs débouchés que s'échelonnent les ports majeurs du commerce mondial,dessinant de vastes façades maritimes :le Northern Range s'appuie sur Rotterdam, Anvers, Hambourg, Le Havre avec des spécialisations : terminauxpétroliers à Rotterdam, Anvers et Le Havre, terminaux pr porte-conteneurs à Felixstowe (au nord de Londres) ouHambourg.Singapour au débouché du détroit de Malacca.Les ports chinois : Hong Kong, Shenzhen (à la frontière de la RAS de Hong Kong et à l'embouchure de la rivière desPerles), Shanghaï, Qingdao, Tianjin (qui fait office de port de Beijing).La mégalopole japonaise de Tokyo-Chiba à Osaka-Kobé. 5)Les défis géopol et géostratégiques : sécuriser et ctrl les détroits et passages maritimesLes risques sont de plusieurs ordres :immigration clandestine : le pb est très net pr les détroits générant transversalement des relations de type Sud -Nord, particulièrement pr Gibraltar qui est devenu une des frontières les + sensibles de l'UE.

Immigration clandestineégalement de la Somalie vers le Yémen à travers le détroit de Bab el Mandeb.contrebande et trafics de stupéfiants : de nb activités de contrebande transforment les détroits en des zones denon -droit.

Réseaux du cannabis en provenance du Rif marocain traversant Gibraltar, trafics de ttes sortes entreSomalie et Yémen…accidents et risques environnementaux : le risque est d'abord lié aux accidents de tankers qui ne représententpourtant que 17% de la pollution marine.

Aux accidents s'ajoutent les déballastages volontaires.

Les risquesdemeurent très élevés car les ctrl des bateaux -poubelles ss pavillon de complaisance st rares et inefficaces.

LePas-de-Calais est ainsi régulièrement marqué par des accidents : si la fréquence des pollutions par hydrocarburestend à diminuer, celles par produits chimiques et par conteneurs (40% des trafics) tendent à augmenter.

Lesdétroits turcs st également particulièrement concernés : le dvpt récent de l'exploitation des hydrocarbures ds lespays de la mer Caspienne a accru considérablement les risques.

La Turquie a mis en place un dispositif de séparationde trafic en 2003 étendu à la mer de Marmara en 2007.pb de sécurité et risque de déstabilisation : le risque de blocage de la circulation maritime ds les détroits affecteprincipalement les pays importateurs d'hydrocarbures.

Ormuz représente à cet égard le passage le + stratégique etl'Iran constitue ds cette zone la ppale menace de perturbation de la navigation.

Les risques terroristes sontégalement imp, notamment ds le détroit de Bab el Mandeb (cf les attentats perpétrés ctre des navires occidentauxau large des côtes yéménites : USS Cole en oct 2000 et pétrolier français Limbourg en oct 2002.

Le détroit deMalacca n'est pas exempt aussi de risques terroristes : la menace vient là de la Jemaah Islamiyah dt l'obj estd'instaurer un Etat islamique en Indonésie.

La piraterie peut constituer également un danger, notamment ds ledétroit de Malacca et aux larges de la Somalie.

Pr pallier ces risques, 2 solutions s'offrent essentiellement et peut-être une 3è à moyenne échéance: 1) la militarisation des espaces à risques : l'essentiel du ctrl est assuré par lesEtats-Unis, seul pays capable d'être présent sur ts les océans du globe mais localement, d'autres pays jouent cerôle : la marine française est ainsi présente ds la région du Golfe Persique grâce à la base mili de Djibouti et la futurebase d'Abu Dhabi, le Royaume -Uni à Oman, la Chine dispose dps 1994 de bases navales accordées par le Myanmarà l'entrée nord du déroit de Malacca (îles de la mer d'Andaman).

2) le contournement des oléoducs pr leshydrocarbures avec la construction de gazoducs et d'oléoducs : la SUMED pr le canal de Suez ; la Petroline traversela péninsule arabique d'est en ouest et rejoint le port de Yanbu sur la mer Rouge ; répondant à la x aux souhaits USet europ, vient d'être mis en service l'oléoduc Bakou-Tbilissi - Ceyhan (BTC) construit par un consortiumcomprenant notamment ConocoPhilips ENI et Total et piloté par BP (lg de 1.800 km, il traverse l'Azerbaïdjan et laGeorgie pr aboutir au port méditerranéen de Ceyhan, en Turquie.

Evitant le territoire russe, le BTC a égalementl'avantage d'aboutir directement en Méditerranée et de court-circuiter le goulet d'étranglement du Bosphore, déjàjonché d'épaves et très dangereux à la navigation).

3) avec le réchauffement climatique, Occidentaux et Russespeuvent espérer utiliser de nvelles voies maritimes en Arctique : la route du Nord -Est au large des côtes russes etcelle du Nord -Ouest au nord du Canada.

Des routes ont déjà été mises en place mais elles st saisonnières etnécessitent le recours à des brise-glaces.

L'enjeu éco est également imp : auj, pr acheminer des marchandisesentre Londres et Yokohama, les navire doivent passer par le canal de Panama ; le passage du Nord-Ouestraccourcirait le trajet de 30% (16.000 km au lieu de 23.300). II - La globalisation financièreLes marchés financiers st encore bien + mondialisés que les échges de march. A - Facteurs et étapes de la globalisation financièreAccélération de la globalisation financière + rapide et généralisée que pr les biens à partir des 70'.. »