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histoire crise de 1929

Publié le 09/10/2021

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Dm Histoire Introduction : Avant même la crise de 1929, l’Amérique latine connaît déjà de sérieuses difficultés économiques du fait de la chute des prix mondiaux des matières premières comme le Blé, le coton ou encore le café) . Ils sont en situation de dépendance vis -à-vie de l’Europe et des Etats-Unis vers lequel ils exportent leurs matières première et leurs productions agricoles. Mais le krach de 1929 accentue ce ralentissement de l’activité économique. Le commerce s’effondre, le chômage fait son apparition et les conditions de vie se dégradent pour les ouvriers et les agriculteurs. Le mécontentement populaire se traduit par une instabilité politique qui débouche parfois sur l’apparition de régimes autoritaires. L’Amérique latine est particulièrement touchés par la crise de 1929 et la dépression des années 1930 ce qui a donc provoqués des effets dévastateurs sur le plan économique, social et politique. I a)L’amerique latine connaît des économies d’exportation en difficulté, juste avant le krack boursier la surproduction d’une matière première agricole menaçais les pays riches cela amenais à une monoculture industrielle d’exportation. Le revenus agricole est vulnérable ce qui provoque la chute des cours c’est à dire la chute des prix via une économie de rente comme on le voit sur le document Texte : « Des économies d’exportation en difficulté », A. Musset, J.-Y. Piboulès (dir.), Géopolitique des Amériques, Nathan, 2017. L’industrie de l’Amérique latine subit la demande européenne Les difficultés sont aussi augmenté par la hausse des taux d’intérêt de new york ce qui provoque l’endettement des pays états d’Amérique latine qui subit la hausse des taux d’intérêt. La crise s’accroît donc. Les fragilit&...
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« surproduction.

Le volume des exportation dans les pays d’Amérique latine augmente aussi en 1932 pour atteindre 85,4 en 1934.

L’Augmentatio n du volume des importations lui augmentent moins nettement car l’on insiste à une chute brutal de 1929 à 1932 en passant d’indice 100 en 1929 à un indice 40 en 1932 puis une légère hausse pour arriver à un indice de 52,5 en 1934 ce qui montre bien que les pays d’Amérique latine ont une politique de développent autocentré et un replis sur sois.

Selon le Diagramme : « La crise en chiffres ». L'Amérique latine s'enfonce dans une spirale déflationniste , à l'image du café brésilien brûlé dans les locomotives.

Afin de soutenir les prix du café, qui s'effondrent pendant la crise, face à la suproduction et à la chute des cours consécutives à la crise de 1929 l'État brésilien organise la destruction des stocks de café en l’utilisant comme combustible et en le brûlant dans des locomotives avec la Photographie : « Une manifestation de la crise, la chute des cours du café » II) La crise engendre la déstabilisation politique le populisme est une réponse latino-américaine de la crise.

Cette crise balaie en quelque année la plupart des régimes politiques latino-américaine mise en place : L’argentine , le brésil, l’équateur , le Guatemala le Pérou le vénézuéla sont victimes de coups d’état entre 1930 et 1933 Au chili, en Uruguay, en Colombie et au Mexique le changement de régime s’est fait sous forme d’élections.

Au Nicaragua les élections serons supervisé par les état unis Doc.

5 p.

31 – Carte : « Des régimes politiques dans la tourmente » Les régimes démocratiques dominaient entre 1928 et 1930.

L’autoritarisme militaire devient prépondérant en 1932-1934.

Au chili Marmaduque Grover réunira le plus de suffrage, en Uruguay Colorados obtiendra une large victoire.

Nulle part comme au Mexique, des gouvernements latino-américains parviennent à contrôler le mouvement ouvrier.

Au mexique Abelardo Rodriguez crée un nouveau parti , le PNR (Parti National Révolutionnaire).

Le PNR œuvre pour un rapprochement puis d’une fusion des forces politiques .

Il opère une centralisation de la scène politique qui contribue à stabiliser le système politique mexicain.

La crise de 1929 provoque une chute drastique du pouvoir d’achat, mais les gouvernements se montrent de plus en plus enclins à tenter d’attirer les capitaux étrangers Les relations entre le régime et les forces sociales prennent une nouvelle forme sous la présidence de Lazaro Cardenas (1934-1940) au mexique et institutionnalise la révolution.

Le populisme s’intalle donc dans la plupart des pays d’Amérique latine et marque de son empreinte les année 1930-1950 : le brésil avec vargas (1930-1954, le mexique avec cardenas (1934-1940) l’équateur avec ibira (1935-1956) et l’argentine avec peron (1943-1955).

III social Cette crise provoque aussi une mobilisation social forte.

La Bolivie et le Paraguay, deux pays enclavés, s’affrontent dans une guerre au cours des années 1930, la guerre du Chaco .

Les activités d’exportations sont dévastées, le chômage progresse partout et les campagnes sont vidées par l’exode rural.

Dans les campagnes , la contraction de l’activité a pour conséquence la diminution du nombre des ouvrier agricoles et un processus de concentration des terres.

Il engendre des mouvements de migration massive vers d’autres zones rurales ou vers les villes.

Dans ces villes, le ralentissement de l’activité des secteurs. »

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